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Le terme “Mésopotamie” a été employé diversement aussi bien dans le passé que de nos jours. Fondamentalement, dans son sens le plus large, la Mésopotamie embrasse toute la région comprise entre le Tigre et l’Euphrate, depuis le golfe Persique, au sud, jusqu’aux montagnes de Turquie et d’Iran, au nord. Elle inclut donc la plaine alluviale de l’ancienne Babylonie, qui s’étend sur une distance de quelque 400 kilomètres au sud de Bagdad (voir BABYLONIE). Dans un sens plus restreint, toutefois, seule la partie septentrionale, à l’exclusion de la Babylonie, est appelée Mésopotamie. Cette région est un plateau de faible altitude, accidenté, entrecoupé de bassins.
Que ce terme était utilisé dans son sens large au premier siècle de notre ère, c’est ce qui ressort des paroles d’Étienne rapportées en Actes 7:2. Il dit d’Abraham qu’il était en “Mésopotamie”, alors que celui-ci vivait à Ur, une ville de Babylonie. Par contre, il est impossible de déterminer avec certitude si le mot hébreu “Aram-Naharaïm” incluait lui aussi la Babylonie. Dans les Écritures hébraïques, chaque fois que l’on peut fixer approximativement les limites géographiques du territoire désigné sous le terme “Aram-Naharaïm” (Mésopotamie), celui-ci inclut la région septentrionale autour de Haran (Gen. 24:2-4, 10) ou le pays montagneux du nord, aux environs de Péthor (Deut. 23:4; voir Nombres 23:7). Bien qu’on ne sache pas exactement jusqu’où s’étendait la domination du roi mésopotamien Cuschan-Rischathaïm (qui opprima Israël au temps du juge Othniel), il se peut que le siège de son gouvernement ait été lui aussi dans le nord (Juges 3:8-10). C’est probablement de la Mésopotamie du nord que le roi ammonite Hanun prit à sa solde des chars et des cavaliers pour combattre le roi David. — I Chron. 19:6, 7.
Parmi les Juifs et les prosélytes qui se trouvaient à Jérusalem pour la fête de la Pentecôte en 33 de notre ère, il y avait des habitants de la Mésopotamie (Actes 2:1, 2, 9). Un certain nombre d’entre eux venaient peut-être de la partie méridionale de ce pays, autrement dit de la Babylonie. À ce sujet, on notera avec intérêt que l’historien Josèphe rapporte qu’il y avait un “fort grand nombre de Juifs” en Babylonie au premier siècle avant notre ère. — Histoire ancienne des Juifs, liv. XV, chap. II, par. 1.
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MESSAGER
Personne chargée de transmettre un message, oral ou écrit, ou envoyée en mission (Gen. 32:3-6; Juges 6:34, 35; 11:12-27; II Sam. 5:11; I Rois 19:2; II Rois 19:8-14; Luc 7:18-24; 9:52). Ce rôle était parfois assumé par les coureurs (II Chron. 30:6-10; Jér. 51:31). Quand la communication était urgente, on envoyait les messagers à cheval (II Rois 9:17-19; Esther 8:10-14; voir COURRIER). Les messagers des temps anciens comprenaient aussi les hérauts qui proclamaient publiquement les décrets du roi ou de la nation (Dan. 3:4-6; 5:29). Les rois se servaient parfois de messagers pour faire des propositions de paix (És. 33:7), pour demander une aide militaire (II Rois 16:7; 17:4) ou pour exiger d’une ville le tribut ou la reddition (I Rois 20:1-9; II Rois 18:17-35). On leur délivrait un sauf-conduit pour qu’ils puissent accomplir leur mission. Maltraiter des messagers royaux venus d’une autre nation en délégation amicale était une offense assez grave pour provoquer la guerre. — II Sam. 10:1-7.
Les mots hébreu et grec pour “messager” peuvent s’appliquer à des envoyés spirituels, c’est-à-dire à des anges (Ps. 104:4; Jean 1:51). Le contexte permet de déterminer si ces messagers sont angéliques ou humains. Par exemple, le “messager personnel” de Jéhovah mentionné en Ésaïe 63:9 était de toute évidence un ange, puisqu’il sauva les Israélites. — Voir Exode 14:19, 20.
Si Jéhovah s’est servi d’anges pour communiquer avec ses créatures terrestres et pour accomplir d’autres tâches (voir ANGE), il a aussi maintes fois fait appel à des messagers humains. Ses prophètes et ses prêtres étaient chargés de transmettre ses messages à la nation d’Israël (II Chron. 36:15, 16; Aggée 1:13; Mal. 2:7). Les déclarations de ses prophètes devaient se réaliser à coup sûr, car Jéhovah est “Celui qui exécute intégralement le conseil de ses messagers”. — És. 44:26.
“LE MESSAGER DE L’ALLIANCE”
En accomplissement de Malachie 3:1 parut Jean le Baptiseur, le messager qui fraya le chemin devant Jéhovah en préparant les Juifs à la venue du principal représentant de Dieu, Jésus Christ, le “messager de l’alliance”. (Mat. 11:10, 11; Marc 1:1-4; Luc 7:27, 28.) C’est à ce titre que Jésus Christ vint au temple et le purifia (Mat. 21:12, 13; Marc 11:15-17; Luc 19:45, 46). L’alliance dont il était le messager ne pouvait être que l’alliance abrahamique, car c’est sur la base de celle-ci que les Juifs se virent offrir en priorité la possibilité de devenir héritiers du Royaume. C’est cette alliance que Pierre invoqua quand il exhorta les Juifs à se repentir. On notera également avec intérêt que Zacharie, père de Jean le Baptiseur, mentionna l’alliance abrahamique lorsqu’il annonça que Jéhovah avait suscité “une corne de salut dans la maison de David”, cette corne étant le Messie. — Voir Matthieu 10:5-7; 15:24; 21:31; Luc 1:69-75; Actes 3:12, 19-26.
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MESSIE
Terme dérivé de mâshaḥ, racine hébraïque signifiant “enduire” et, par suite, “oindre”. “Messie” (mâshiaḥ) signifie “oint” ou “celui qui est oint”. Le mot grec équivalent est Khristos ou Christ.
Dans les Écritures hébraïques, l’adjectif mâshiaḥ est utilisé pour qualifier de nombreux hommes. David fut établi officiellement roi quand on l’eut oint d’huile. Il est donc question de lui comme de “l’oint” ou littéralement du “messie”. (II Sam. 19:21; 22:51; 23:1; Ps. 18:50.) Les expressions “oint” ou “l’oint de Jéhovah” sont également utilisées à propos d’autres rois, y compris Saül et Salomon (I Sam. 2:10, 35; 12:3, 5; 24:6, 10; II Sam. 1:14, 16; II Chron. 6:42; Lament. 4:20). On employait aussi ce genre d’expression pour parler du grand prêtre (Lév. 4:3, 5, 16; 6:22). Les patriarches Abraham, Isaac et Jacob sont appelés les “oints” ou meshiḥim (LXX, khristoï) de Jéhovah (I Chron. 16:16, 22). Le roi perse Cyrus est appelé l’“oint” de Dieu en ce sens que celui-ci l’avait désigné pour accomplir un certain dessein. — És. 45:1.
Dans les Écritures grecques chrétiennes, on trouve, transcrit de l’hébreu, Messias en Jean 1:41 suivi de cette explication: “Ce qui, traduit, veut dire Christ.” (Voir aussi Jean 4:25). Parfois, le mot Khristos est employé seul à propos de celui qui est ou qui affirme être le Messie ou l’Oint (Mat. 2:4; 22:42; Marc 13:21). Mais dans la plupart des occurrences de ce terme, Khristos est accompagné du nom personnel Jésus, donnant ainsi des expressions comme “Jésus Christ” ou “Christ Jésus”, afin d’identifier Jésus au Messie. Parfois, le terme est employé seul, mais il désigne explicitement Jésus en laissant entendre que Jésus est le Christ, comme dans la déclaration: “Christ est mort pour nous.” — Rom. 5:8; Jean 17:3; I Cor. 1:1, 2; 16:24.
LE MESSIE DANS LES ÉCRITURES HÉBRAÏQUES
En Daniel 9:25, 26, le mot mâshiaḥ s’applique exclusivement au Messie à venir (voir SOIXANTE-DIX SEMAINES), mais de nombreux autres textes des Écritures hébraïques annoncent également le Messie à venir, même si le mot mâshiaḥ ne le désigne pas lui seul. Par exemple, Psaume 2:2 s’applique de toute évidence d’abord à David, le roi oint, à l’époque où les rois philistins cherchaient à le renverser. Cependant, une seconde application, cette fois au Messie annoncé, en est faite en Actes 4:25-27 qui désigne explicitement Jésus Christ. De plus, bon nombre des hommes qui furent appelés “oints” préfiguraient ou représentaient sous divers aspects Jésus Christ et l’œuvre qu’il allait accomplir. Citons, entre autres, David, le grand prêtre d’Israël et Moïse (dont il est question comme d’un oint en Hébreux 11:23-26).
Des prophéties qui n’utilisent pas le mot “Messie”
De nombreux autres textes des Écritures hébraïques, qui ne renferment pas expressément le mot “Messie”, ont néanmoins été compris par les Juifs comme autant de prophéties qui s’appliquaient bien au Messie. A. Edersheim a répertorié 456 passages auxquels “l’ancienne Synagogue se référait comme étant messianiques”, et l’on trouve 558 passages dans les écrits rabbiniques les plus anciens qui appuient ces applications (Life and Times of Jesus the Messiah, t. I, p. 163; t. II, pp. 710-737). Par exemple, Genèse 49:10 annonçait prophétiquement que le sceptre de la domination appartiendrait à la tribu de Juda et que de celle-ci viendrait Schilo. Les targums d’Onkelos et de Jérusalem ainsi que le Midrasch reconnaissent que le terme “Schilo” s’applique au Messie.
Les Écritures hébraïques renferment de nombreuses prophéties qui fournissent maints détails sur l’origine du Messie, sur ses actions, sur l’époque de son apparition, sur le traitement qui lui serait infligé et sur son rôle dans le dessein divin. L’ensemble de ces indications relatives au Messie brossait un tableau extraordinaire qui allait aider les vrais adorateurs à l’identifier. Cela leur permettrait d’exercer la foi en lui, en le reconnaissant comme le Conducteur envoyé par Jéhovah. Bien que les Juifs n’aient pas reconnu à l’avance toutes les prophéties relatives à l’Oint, les Évangiles prouvent à l’évidence que leur connaissance était suffisante pour leur permettre d’identifier le Messie lorsqu’il s’est présenté à eux.
L’INTELLIGENCE DES PROPHÉTIES MESSIANIQUES AU PREMIER SIÈCLE
Grâce aux renseignements historiques disponibles aujourd’hui, on peut savoir en gros l’idée que les Juifs du premier siècle se faisaient au sujet du Messie. Ces renseignements nous sont essentiellement fournis par les Évangiles.
Roi et fils de David
Il était communément admis parmi les Juifs que le Messie serait un roi de la lignée de David. Quand les astrologues s’enquirent de “celui qui est né roi des Juifs” auprès d’Hérode le Grand, celui-ci comprenait qu’ils s’informaient au sujet du “Christ”. (Mat. 2:2-4.) Lorsque Jésus demanda aux Pharisiens de qui, selon eux, le Christ ou Messie serait le descendant, ceux-ci, bien que ne croyant pas à Jésus, n’ignoraient pas que le Messie serait fils de David. — Mat. 22:41-45.
Né à Bethléhem
Michée 5:2, 4 annonçait que c’était de Bethléhem que sortirait celui qui serait “chef en Israël” et qui deviendrait “grand jusqu’aux extrémités de la terre”. Les Juifs comprenaient que ces paroles s’appliquaient au Messie. Quand donc Hérode le Grand demanda aux prêtres en chef et aux scribes où le Messie devait naître, ils lui répondirent: “À Bethléhem de Judée”, et ils citèrent Michée 5:2 (Mat. 2:3-6). Même des gens du peuple savaient cela. — Jean 7:41, 42.
Un prophète qui opérerait des signes
Par l’entremise de Moïse, Dieu avait annoncé la venue d’un grand prophète (Deut. 18:18). Or, aux jours de Jésus, les Juifs attendaient ce prophète (Jean 6:14). La façon dont l’apôtre Pierre cita (selon Actes 3:22, 23) les paroles de Moïse laisse entendre qu’il savait que le caractère messianique de celles-ci serait accepté même par les adversaires religieux, ce qui prouve que Deutéronome 18:18 était bien compris par beaucoup. La Samaritaine près de la fontaine pensait elle aussi que le Messie serait un prophète (Jean 4:19, 25, 29). Le peuple s’attendait à ce que le Messie opère des signes. — Jean 7:31.
DES ESPOIRS QUI AMENÈRENT LA NATION JUIVE À REJETER LE MESSIE
Le récit de Luc montre que de nombreux Juifs attendaient avec impatience la venue du Messie à l’époque où Jésus était précisément sur la terre. Ainsi, lorsque Jésus petit enfant fut porté au temple, Siméon et d’autres Juifs ‘attendaient la consolation d’Israël’ et “la délivrance de Jérusalem”. (Luc 2:25, 38.) Pendant le ministère de Jean le Baptiseur, le peuple “était dans l’attente” au sujet du Messie ou Christ (Luc 3:15). Cependant, beaucoup de Juifs s’attendaient à ce que le Messie corresponde à l’idée préconçue qu’ils s’en faisaient. Les prophéties des Écritures hébraïques montraient le Messie dans deux rôles différents. D’une part il était “humble, et monté sur un âne”, et de l’autre il venait “avec les nuées des cieux” pour anéantir tous ses ennemis, et toute domination le servirait (Zach. 9:9; Dan. 7:13). Les Juifs ne comprirent pas que ces prophéties se rapportaient à deux apparitions différentes du Messie, et ce à deux époques très éloignées l’une de l’autre.
Les ouvrages juifs sont d’accord avec Luc 2:38 pour dire qu’à cette époque-là le peuple attendait la délivrance de Jérusalem. Une encyclopédie juive fait cette remarque: “Ils [les Juifs] languissaient après le libérateur promis de la maison de David, libérateur qui les affranchirait du joug de l’usurpateur étranger tant exécré, qui mettrait fin à la domination romaine impie et qui établirait son propre règne de paix.” (The Jewish Encyclopedia, t. VIII, p. 508). Les Juifs cherchèrent à faire de Jésus un roi terrestre (Jean 6:15), mais quand il s’avéra qu’il ne répondait pas à leur attente, ils le rejetèrent.
De faux messies
Après la mort de Jésus, les Juifs suivirent de nombreux faux messies, conformément à ce que celui-ci avait annoncé (Mat. 24:5). “Selon Josèphe, il semble qu’au premier siècle, avant la destruction du Temple [en 70], un certain nombre de messies ont fait leur apparition en promettant l’affranchissement du joug romain, et ils ont apparemment trouvé des gens prêts à les suivre.” (The Jewish Encyclopedia, t. X, p. 251). Puis, en 132, Bar Kokba (Bar Koziba), un des plus importants faux messies, fut acclamé comme le messie-roi. Lorsqu’ils matèrent la révolte dirigée par cet homme, les soldats romains tuèrent des milliers de Juifs. Si l’apparition de ces faux messies indique que beaucoup de Juifs étaient surtout intéressés par un messie politique, cela montre aussi qu’ils attendaient avec raison un messie personnel, un individu, et non pas simplement une ère ou une nation messianique. Certains croyaient que Bar Kokba était un descendant de David, ce qui appuyait ses prétentions messianiques. Mais ce n’est là qu’une affirmation gratuite, car les registres généalogiques avaient été détruits en 70. Tout individu qui affichait après cette date des prétentions à la fonction de Messie était incapable de prouver qu’il appartenait effectivement à la famille de David. (Il fallait donc que le Messie paraisse avant l’an 70, ce qui fut le cas de Jésus, pour pouvoir démontrer qu’il était héritier de David. Cela indique bien que ceux qui attendent encore la venue du Messie sur la terre se fourvoient.) Au nombre des individus qui, après 70, affirmèrent être le Messie, citons Moïse de Crète, qui prétendit qu’il allait diviser la mer entre la Crète et la Palestine, ainsi que Serenus, qui égara de nombreux Juifs en Espagne. L’encyclopédie juive citée plus haut dresse une liste de vingt-huit faux messies qui seraient apparus entre 132 et 1744.
JÉSUS AFFIRMA ÊTRE LE MESSIE ET FUT ACCEPTÉ COMME TEL
Les événements historiques rapportés dans les Évangiles prouvent que Jésus était bel et bien le Messie. Des hommes qui, au premier siècle, ont pu interroger les témoins et examiner les faits ont jugé ceux-ci authentiques. Ils étaient à ce point convaincus de leur exactitude qu’ils étaient prêts à endurer la persécution et même à mourir pour leur foi qui était fondée sur ces renseignements sûrs. Les récits historiques de l’Évangile montrent que des personnes très différentes les unes des autres ont reconnu ouvertement que Jésus était le Christ ou Messie (Mat. 16:16; Jean 1:41, 45, 49; 11:27). Jésus ne leur a pas déclaré qu’elles se trompaient, et en une certaine occasion il a admis qu’il était bien le Christ (Mat. 16:17; Jean 4:25, 26). Parfois, Jésus ne disait pas expressément qu’il était le Messie ou il ordonnait même à ses auditeurs de ne pas le faire savoir (Marc 8:29, 30; 9:9; Jean 10:24, 25). Puisque Jésus se montra là où les gens pouvaient l’entendre et voir ses œuvres, il désirait qu’ils fondent leur croyance sur de telles preuves solides, sur la réalisation des Écritures hébraïques (Jean 5:36; 10:24, 25; voir Jean 4:41, 42). Aujourd’hui, nous disposons des Évangiles qui nous rapportent les paroles et les œuvres de Jésus, ainsi que des Écritures hébraïques, lesquelles fournissaient de nombreux renseignements sur ce que devait faire le Messie, ce qui permet à tous les humains de savoir et de croire que Jésus est effectivement le Messie. — Jean 20:31; voir JÉSUS CHRIST.
[Tableau, page 1008]
(Voir la publication)
PROPHÉTIES REMARQUABLES CONCERNANT JÉSUS ET LEUR ACCOMPLISSEMENT
Ps. 132:11; Né de la famille de Mat. 1:1, 6-16; 9:27;
És. 9:7; David, fils de Jessé Actes 13:22, 23;
Michée 5:2 Né à Bethléhem Luc 2:4-11; Jean 7:42
És. 7:14 Né d’une vierge Mat. 1:18-23;
Jér. 31:15 Nouveau-nés tués après Mat. 2:16-18
sa naissance
Mal. 3:1; 4:5; Le chemin est préparé Mat. 3:1-3; 11:10-14;
És. 40:3 devant lui Mat. 17:10-13;
Osée 11:1 Appelé d’Égypte Mat. 2:15
És. 61:1, 2 Chargé d’une mission Luc 4:18-21
És. 9:1, 2 Son ministère fait voir Mat. 4:13-16
une grande lumière aux
gens de Nephtali et de
Zabulon
Ps. 78:2 Il parle en illustrations Mat. 13:11-13, 31-35
És. 53:4 Il prend nos maladies Mat. 8:16, 17
És. 53:1 On ne le croit pas Jean 12:37, 38;
Ps. 69:9 Zélé pour la maison de Mat. 21:12, 13;
Jéhovah Jean 2:13-17
Ps. 69:4 Haï sans cause Luc 23:13-25;
Zach. 9:9; Entre à Jérusalem monté Mat. 21:1-9;
Ps. 118:26 sur le petit d’une Marc 11:7-11;
ânesse; acclamé comme Luc 19:28-38;
le roi, comme celui qui Jean 12:12-15
vient au nom de Jéhovah
És. 28:16; Rejeté, il devient la Mat. 21:42, 45, 46;
És. 53:3; maîtresse pierre de Actes 3:14; 4:11;
Ps. 69:8; l’angle I Pierre 2:7
És. 8:14, 15 Il devient une pierre Luc 20:17, 18;
d’achoppement Rom. 9:31-33
Zach. 11:12 Trahi pour trente Mat. 26:15; 27:3-10;
pièces d’argent Marc 14:10, 11
Zach. 13:7 Ses disciples se Mat. 26:31, 56;
dispersent Jean 16:32
Ps. 2:1, 2 Les autorités romaines Mat. 27:1, 2;
et les chefs d’Israël Marc 15:1, 15;
complotent contre Luc 23:10-12;
l’oint de Jéhovah Actes 4:25-28
És. 53:8 Jugé et condamné Mat. 26:57-68;
Ps. 27:12 Recours aux faux Mat. 26:59-61;
témoins Marc 14:56-59
És. 50:6; On le frappe, on lui Mat. 26:67;
Michée 5:1 crache dessus Mat. 27:26, 30; Jean 19:3
És. 53:12 Compté parmi les Mat. 26:55, 56;
pécheurs Mat. 27:38; Luc 22:37
Ps. 22:7, 8 Tourné en dérision sur Mat. 27:39-43;
le poteau Marc 15:29-32
Ps. 69:21 On lui donne du vinaigre Mat. 27:34, 48;
et du fiel Marc 15:23, 36
Ps. 22:1 Dieu l’abandonne à ses Mat. 27:46;
ennemis Marc 15:34
Ps. 34:20; Aucun de ses os n’est Jean 19:33, 36
Ex. 12:46 brisé
És. 53:5, 8, Il subit une mort Mat. 20:28;
És. 53:11, 12 sacrificielle pour ôter Jean 1:29;
les péchés, afin que Rom. 3:24; 4:25;
les humains puissent I Cor. 15:3;
être déclarés justes par Héb. 9:12-15;
Dieu I Pierre 2:24;
És. 53:9 Mis au tombeau avec le Mat. 27:57-60;
riche Jean 19:38-42
Jonas 1:17; Dans le tombeau une Mat. 12:39, 40;
Jon 2:10 partie de trois jours, Mat. 16:21; 17:23; 27:64;
puis ressuscité Mat. 28:1-7; Actes 10:40;
Ps. 16:8-11 Ressuscité avant de Actes 2:25-31;
(NW, 1957, connaître la corruption Actes 13:34-37
note)
Ps. 2:7 Jéhovah déclare qu’il Mat. 3:16, 17;
est son Fils Marc 1:9-11;
en l’engendrant de son Luc 3:21, 22;
esprit et en le Actes 13:33;
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MESURES
Voir POIDS ET MESURES.
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MÉTAUX
{Article non traduit.}
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MÉTHEG-AMMAH
{Article non traduit.}
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MÉTHUSCHAËL
{Article non traduit.}
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MÉTUSCHÉLAH
(peut-être “homme du dard”).
Fils du fidèle prophète Hénoch; père de Lamech et grand-père de Noé (Gen. 5:21-29; I Chron. 1:1-4; Jude 14, 15). Descendant d’Adam par Seth, Métuschélah appartenait à la huitième génération humaine (Luc 3:37, 38). Il vécut 969 ans, la plus longue durée de vie que mentionne la Bible; aussi la longévité de Métuschélah est-elle devenue proverbiale. Il mourut en 2370 avant notre ère, l’année où survint le déluge. Toutefois, les Écritures ne disent pas qu’il fut exécuté par Dieu lors du déluge, mais simplement qu’il “mourut”. — Gen. 5:27.
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MEULE DE MOULIN
Voir MOULIN.
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MÉUNIM
{Article non traduit.}
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MEURTRE
Dans la langue originale, les mots différemment rendus par assassiner et tuer désignent l’acte qui consiste à prendre une vie; le contexte ou d’autres passages des Écritures permettent de déterminer si la vie de la victime a été prise volontairement, de façon illicite. Par exemple, dans le commandement: “Tu ne dois pas assassiner” (Ex. 20:13), le mot hébreu rendu par “assassiner” (râtsaḥ, qui signifie littéralement “briser” ou “fracasser”) emporte ici nettement l’idée de tuer volontairement, de façon illicite. Par contre, en Nombres 35:27, le même terme fait référence à un acte que le vengeur du sang était pleinement en droit d’accomplir. Par conséquent, le commandement: “Tu ne dois pas assassiner” doit être placé dans le contexte de la loi mosaïque tout entière qui, dans certains cas, autorisait à ôter la vie humaine, pour exécuter des criminels par exemple.
LES PREMIERS MEURTRES
L’assassinat remonte pratiquement aux premiers temps de l’histoire humaine. Par sa désobéissance, Adam, le premier homme, a transmis le péché et la mort à sa descendance, devenant ainsi un meurtrier (Rom. 5:12; 6:23). C’est le Diable qui est à l’origine de la mort puisqu’il a incité Ève, la femme d’Adam, à
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