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CrachatAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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9:1-7). Du fait que les résultats obtenus par Jésus étaient miraculeux et que ces prodiges s’opéraient par la puissance de Dieu, le Christ n’a pas utilisé sa salive dans ces différents cas comme si elle avait eu quelque propriété curative naturelle.
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CraieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CRAIE
Le mot hébreu sérédh n’apparaît dans la Bible qu’en Ésaïe 44:13 où il désigne la craie rouge que les sculpteurs sur bois utilisaient pour tracer leurs dessins.
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CrainteAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CRAINTE
Au sens le plus courant, la crainte est un sentiment par lequel on appréhende un mal ou une douleur; il s’agit généralement d’une émotion douloureuse caractérisée par l’angoisse, la peur et l’inquiétude. Mais la crainte peut également signifier reconnaître ou considérer avec calme ce qui est susceptible de blesser ou de causer du tort, au point d’être amené à se montrer raisonnablement prudent et perspicace.
Selon la Bible, il y a la crainte qui convient et celle qui ne convient pas. Ainsi, la crainte peut être salutaire, en ce sens qu’elle incite l’individu à agir avec prudence face au danger et par là même à conjurer la menace, ou alors, elle peut être morbide, au point de tuer l’espoir et d’affaiblir la résistance nerveuse de la personne, voire d’entraîner la mort. La crainte de Dieu est saine; elle consiste à respecter et à vénérer profondément le Créateur, à ne rien faire qui lui déplaise, parce qu’on apprécie sa bonté et sa bienveillance, mais aussi parce qu’on est pleinement conscient qu’il est le Juge suprême et le Tout-Puissant, et qu’il a le pouvoir d’infliger un châtiment ou la mort à ceux qui lui désobéissent. C’est le même genre de crainte qui incite aussi le chrétien à respecter les autorités, sachant que lorsqu’elles punissent le coupable, elles ne font qu’exprimer indirectement la colère divine. — Rom. 13:3-7.
Adam et Ève n’ont pas eu la crainte de Dieu, crainte qui est salutaire, aussi lui ont-ils désobéi. Cet acte de désobéissance a suscité en eux une peur morbide, une terreur qui les a poussés à se cacher de devant Dieu. Adam dit: “J’ai entendu ta voix dans la jardin, mais j’ai eu peur.” (Gen. 3:10). Caïn, fils d’Adam, ressentit une peut semblable après qu’il eut tué son frère Abel, et il se peut que cette peur fut un facteur déterminant dans sa décision de bâtir une ville. — Gen. 4:13-17.
En Genèse 9:2, le mot “crainte” est utilisé en rapport avec la création animale. Dieu dit à Noé et à ses fils: “Une crainte de vous et une terreur de vous demeureront sur toute créature vivante et sur la terre. Pendant l’année ou Noé et sa famille séjournèrent dans l’arche, cette crainte des animaux à l’égard de l’homme leur permit de tenir dans la soumission les bêtes qui étaient enfermées avec eux. Aussi, quand ils sortirent de l’arche après le déluge, Jéhovah donna à Noé l’assurance que cette crainte subsisterait. L’expérience humaine en témoigne éloquemment. Le docteur George Goodwin, conservateur adjoint du Muséum américain d’histoire naturelle (section mammifères), déclara: “Normalement, le léopard n’attaque pas l’homme; mais si on le provoque ou s’il est blessé, l’animal se retourne contre l’homme pour le combattre.” Selon ce que rapporte Raymond Ditmars (dans son livre Reptiles of the World), si l’occasion leur en est offerte, les serpents venimeux connus pour leur agressivité, tels que le mamba et le cobra royal, préfèrent s’éloigner prudemment de l’homme plutôt que de l’attaquer. Bien que les humains aient maltraité certains animaux et qu’ils en aient fait des créatures sournoises, on peut dire qu’en général cette crainte restrictive a subsisté. Cela est conforme à la déclaration divine renfermée en Genèse 1:26-28, selon laquelle, dès l’origine de l’homme, la création animale devait lui être soumise.
La crainte de Jéhovah Dieu est capitale pour ceux qui le servent. Cette crainte révérentielle profonde que l’on éprouve à l’égard de Jéhovah est “le commencement de la sagesse” (Ps. 111:10), “le début de la sagesse”. (Prov. 9:10.) Elle n’a rien de commun avec la crainte morbide qui est destructrice; “la crainte de Jéhovah est pure.” (Ps. 19:9). Cette crainte est ainsi définie en Proverbes 8:13: “La crainte de Jéhovah signifie la haine du mal.” Elle empêche le chrétien de suivre une mauvaise voie, car “dans la crainte de Jéhovah on se détourne du mal”. — Prov. 16:6.
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CramoisiAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CRAMOISI
{Article non traduit.}
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Crâne (Lieu du)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CRÂNE (LIEU DU)
Voir GOLGOTHA.
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CréationAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CRÉATION
Action de créer ou d’appeler quelqu’un ou quelque chose à l’existence, ou encore état de ce qui a été créé ou amené à l’existence.
Tout au long de ses pages, la Bible identifie Jéhovah Dieu au Créateur. Sa première création fut son “Fils unique” (Jean 3:16), “le commencement de la création de Dieu”. (Rév. 3:14.) Jéhovah se servit de ce “premier-né de toute création” pour créer toutes les autres choses, aussi bien dans le ciel que sur la terre, tant les ‘choses visibles que les invisibles’. (Col. 1:15-17.) Sous l’inspiration divine, l’apôtre Jean rendit témoignage que “toutes choses vinrent à l’existence par son entremise [la Parole] et, [qu’]en dehors de lui, pas même une seule chose ne vint à l’existence”; puis il identifia la Parole à Jésus Christ, qui devint chair (Jean 1:1-4, 10, 14, 17). Ce personnage apparaît ailleurs comme la sagesse personnifiée et déclare: “Jéhovah lui-même m’a produite comme le commencement de sa voie”, puis il se pose comme l’“habile ouvrière” qui a collaboré avec Jéhovah Dieu, le Créateur. — Prov. 8:12, 22-31.
Après avoir créé son Fils unique, Jéhovah se servit de lui pour appeler les anges du ciel à l’existence. C’était avant que la terre ne fût fondée, comme le révèle cette question que Jéhovah adressa à Job: “Où te trouvais-tu quand j’ai fondé la terre? (...) quand les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie et que tous les fils de Dieu se mirent à pousser des acclamations?” (Job 38:4-7). Les cieux matériels, la terre et tous les éléments ne vinrent à l’existence qu’après la création de ces créatures spirituelles célestes. Comme, en dernier ressort, Jéhovah demeure à l’origine de toute cette œuvre créatrice, c’est à lui qu’on l’attribue. — Néh. 9:6; Ps. 136:1, 5-9.
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