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RimmonAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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que l’on peut identifier Rimmon à Hadad, puisque ces rois portaient sans doute le nom ou le titre de leur dieu principal. — I Rois 15:18.
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RimmonoAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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RIMMONO
{Article non traduit.}
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Rimmon-PérezAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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RIMMON-PÉREZ
{Article non traduit.}
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RinnahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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RINNAH
{Article non traduit.}
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RiphatAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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RIPHAT
{Article non traduit.}
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RireAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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RIRE
(héb. tseḥoq, de tsaḥaq, “rire”).
Mot formé par onomatopée, c’est-à-dire qui suggère par imitation phonétique la chose nommée; tseḥoq, prononcé en hébreu, imite le son du rire (comme en français les interjections “ha! ha!” ou “hi! hi!”). Le nom Isaac, yitsḥaq, qui signifie aussi “rire”, présente la même caractéristique.
Abraham et Sara ont tous deux ri lorsque l’ange leur a annoncé qu’ils allaient avoir un fils dans leur vieillesse. Seule Sara a été reprise pour avoir ri et elle a même essayé de le nier. Il semble donc que le rire d’Abraham ait été la manifestation de sa joie face à l’étonnante perspective d’avoir un fils de Sara dans sa vieillesse. Quant à Sara, elle a certainement ri parce que cette annonce l’a ébahie et lui a paru quelque peu comique: l’idée qu’une femme de son âge, qui avait toujours été stérile, puisse avoir un enfant, lui est tout d’abord apparue comme une éventualité un peu absurde. Toutefois, ni le rire d’Abraham ni celui de Sara n’étaient une manifestation de mépris ou de moquerie délibérée, et le récit nous montre que tous deux exercèrent la foi dans la promesse de Dieu (Rom. 4:18-22; Héb. 11:1, 8-12). Lorsque ce fils est né, ses parents se sont certainement réjouis, car ils désiraient cette naissance de tout leur cœur et depuis des années. Abraham appela leur fils Isaac, après quoi Sara dit: “Dieu m’a préparé du rire: quiconque l’apprendra rira de moi.” (Gen. 17:17; 18:9-15; 21:1-7). Ceux qui apprenaient qu’Abraham et Sara avaient ainsi été bénis de la main de Jéhovah étaient sans aucun doute très surpris et se réjouissaient de cette bonne nouvelle.
UN TEMPS POUR RIRE
Jéhovah est le “Dieu heureux”, et il veut que ses serviteurs soient heureux (I Tim. 1:11). Néanmoins, les Écritures nous montrent que le rire n’est pas toujours bienséant. Il y a “un temps pour pleurer et un temps pour rire”. (Eccl. 3:1, 4.) Le sage roi Salomon nous donne ce conseil: “Va, mange ton pain avec allégresse et bois ton vin d’un cœur bon, car déjà le vrai Dieu s’est complu à tes œuvres.” Toutefois, nous n’avons vraiment aucune raison de nous réjouir si notre comportement reflète un certain mépris pour les justes voies de Dieu. — Eccl. 9:7.
LE RIRE PEUT ÊTRE DÉPLACÉ
Ce qui compte, c’est de vivre de façon à se faire un beau nom auprès de Jéhovah. Ainsi, dans le présent système de choses, le rire peut parfois être tout à fait déplacé, voire néfaste. Essayant de ‘saisir la sottise jusqu’à ce qu’il ait vu ce qu’il y avait de bon pour les fils des humains dans ce qu’ils font’, Salomon s’est dit en son cœur: “Viens donc, que je t’éprouve par l’allégresse. De plus, vois le bien.” Mais il s’est rendu compte que c’était une poursuite vaine. Il a compris que la gaieté et le rire en eux-mêmes ne sont pas vraiment satisfaisants, car ils ne peuvent procurer le bonheur véritable et durable. Pour que la joie soit édifiante et durable, elle doit reposer sur de vrais fondements. Salomon exprime ainsi ses sentiments: “J’ai dit au rire: ‘Démence!’ et à l’allégresse: ‘Qu’est-ce que cela fait?’” — Eccl. 2:1-3.
Salomon démontre qu’il est sage de ne pas vivre uniquement pour la poursuite de l’allégresse. Il dit: “Mieux vaut aller à la maison de deuil que d’aller à la maison de banquet, parce que là est la fin de tous les humains; et le vivant doit prendre cela à cœur.” Ce texte n’est pas un encouragement à la tristesse comme si elle était supérieure à la joie. Il fait allusion au moment particulier où quelqu’un vient de mourir et où sa maison est en deuil. Il convient alors d’aller consoler les membres de la famille affligée plutôt que de se montrer insensible et de les oublier pour aller festoyer et se divertir. En rendant visite à ceux qui sont en deuil, on réconfortera bien sûr les affligés, mais une telle visite incitera aussi le visiteur à se souvenir que la vie est brève, à méditer sur le fait que la mort qui a frappé cette maison frappera tous les hommes bien assez tôt et que les vivants doivent garder cela présent à l’esprit. C’est pendant que l’on est en vie que l’on peut se faire un beau nom, et non lorsque l’on est mourant. Or, le beau nom auprès de Dieu est la seule chose qui ait vraiment de la valeur pour celui qui va mourir. — Eccl. 7:2; Gen. 50:10; Jean 11:31.
Salomon poursuit: “Mieux vaut le déplaisir que le rire, car par la morosité du visage le cœur devient meilleur.” (Eccl. 7:3). Le rire est un bon remède, mais il y a des moments où nous devons réfléchir posément sur notre vie et sur la manière dont nous la menons. Si nous nous rendons compte que nous perdons trop de temps dans des réjouissances frivoles et que nous ne nous faisons pas un beau nom en accomplissant de bonnes actions, nous avons des raisons valables d’être mécontents de nous-mêmes, d’avoir des remords et de changer; notre cœur n’en sera que meilleur. Cela nous aidera à nous faire un beau nom afin que, survienne notre mort ou notre jugement final par Dieu et Christ, ce jour-là soit meilleur pour nous que le jour de notre naissance. — Eccl. 7:1.
“Le cœur des sages est dans la maison de deuil, mais le cœur des stupides est dans la maison d’allégresse”, poursuit Salomon. “Mieux vaut entendre le blâme d’un sage que d’être l’homme qui écoute le chant des stupides.” (Eccl. 7:4, 5). Lorsqu’un sage se trouve dans une maison où est survenu un décès, son cœur s’accorde avec le sérieux qui sied à une maison de deuil et il se sent poussé à veiller à la manière dont il mène sa propre vie. Par contre, l’ambiance insouciante d’un lieu de divertissements attire le cœur du stupide, qui considère la vie avec un esprit frivole et superficiel. Si quelqu’un s’égare de la voie droite, le blâme d’un homme sage le remettra sur le chemin de la vie en le corrigeant et en l’aidant à se faire un beau nom. Mais de quelle aide pourrait être le chant d’un stupide ou ses vaines flatteries qui dissimulent les fautes et nous invitent à les répéter? Cela nous inciterait à continuer de nous faire une mauvaise réputation, sans nous soucier de nous corriger pour acquérir un beau nom auprès de Jéhovah.
“Car comme le bruit des épines sous la marmite, ainsi est le rire du stupide; et cela aussi est vanité.” (Eccl. 7:6). Les épines ne sont pas le meilleur des combustibles. Elles s’enflamment rapidement, et elles sont réduites en cendres tout aussi vite. Elles peuvent ne pas brûler assez longtemps pour terminer la cuisson de ce qui est dans la marmite; dans ce cas, le feu n’atteint pas le but pour lequel il a été allumé. Le crépitement bruyant des épines qui flamboient n’est que superficiel et s’avère futile et vain. Il en va de même pour les
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