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Le livre “ Paradis ” aide les gens à voir la véritéLa Tour de Garde 1962 | 1er septembre
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fut baptisé à l’assemblée de district de San Francisco.
LU PAR ÉQUIPE
Alors qu’il allait de porte en porte dans le ministère pendant l’assemblée de district de Milwaukee, un témoin de Jéhovah rencontra un homme qui venait de sortir de l’hôpital. L’homme raconta au Témoin que son compagnon de chambre à l’hôpital lisait le livre Paradis. Il désirait le lire lui aussi et avait demandé à son voisin de lit de le lui passer mais ce dernier était si absorbé par sa lecture qu’il la prolongeait très tard le soir. Aussi, afin d’en prendre connaissance, lui aussi, il essaya de se réveiller très tôt afin de profiter du sommeil de son voisin pour prendre le livre. Puis il demanda au Témoin de lui en procurer un exemplaire. Elle accepta et le lui apporta un peu plus tard ce jour-la : “ Vous pouvez revenir ”, lui dit-il, “ si cela vous fait plaisir, mais comme je sais à quel point vous êtes occupés, vous, les Témoins, je vais étudier avec mon jeune fils de sept ans ; j’épargnerai ainsi votre peine. ”
À L’ÉCOLE
Un maître d’école du Texas demanda aux élèves d’une certaine classe de préparer pour le lendemain le compte rendu oral d’un livre. Une jeune témoin de Jéhovah, rentrée chez elle, fit le compte rendu du livre Paradis, et, le lendemain, le donna devant toute la classe. À mesure que notre jeune témoin développait son exposé, elle montrait à la classe les belles illustrations contenues dans l’ouvrage. Alors que les exposés de ses camarades durèrent de cinq à dix minutes, le sien se prolongea pendant quarante-cinq minutes : on lui posa une quantité de questions auxquelles il lui fallut du temps pour répondre. Quand elle eut fini de parler, le maître et les dix élèves de la classe lui demandèrent de leur procurer le livre Paradis. La semaine suivante, elle commença une étude biblique avec l’une de ses compagnes de classe.
LES IMPRIMEURS
Une lettre provenant d’un habitant de l’Illinois, porte l’en-tête du “ Service d’imprimerie ” d’une université. Elle est ainsi conçue : “ Votre article intitulé “ L’imprimerie, une invention révolutionnaire ” [paru dans Réveillez-vous ! du 8 juillet 1961], est le meilleur que j’aie lu à ce sujet. Veuillez m’en adresser encore dix exemplaires car je désire les utiliser pour mes cours. ”
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Questions de lecteursLa Tour de Garde 1962 | 1er septembre
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Questions de lecteurs
● Pourquoi Jéhovah permit-il aux Israélites de subir, à deux reprises, la défaite devant les armées de Benjamin alors qu’il leur avait tout d’abord permis d’infliger un châtiment mérité aux Benjamites pour le crime de Guibea ? (Juges 20) — P. G., Écosse.
Le dix-neuvième chapitre des Juges nous relate le comportement crapuleux de certains hommes de Guibea qui abusèrent d’une femme une nuit durant, au point qu’elle en était morte à l’aurore. Les habitants de Guibea commirent alors le crime affreux de pardonner ce péché aux citoyens de leur ville. La tribu de Benjamin partagea cette responsabilité ; elle refusa d’accéder à la requête des autres tribus réclamant la mise à mort de ces scélérats. Cette condition d’immoralité était un défi à la fidélité des tribus du peuple choisi de Dieu.
L’égorgement de tant d’hommes fut une grande épreuve pour les tribus fidèles, particulièrement quant à la justesse de leur cause. En laissant les tribus fidèles subir une telle perte, quarante mille hommes en deux jours, Jéhovah les éprouvait pour voir s’ils persisteraient dans leur effort déterminé d’extirper ce mal grave en Israël, bien que cela leur causât tant de pertes à eux-mêmes.
Les milliers de fidèles qui tombèrent lors de cette campagne punitive moururent pour une cause juste. Les survivants vainqueurs se justifièrent devant Jéhovah Dieu et devant tous les lecteurs de sa Parole. Cette justification en valait la peine, et la nation d’Israël fut purgée d’une immoralité dégradante.
● Puis-je inviter chez moi et même, si besoin est, héberger pour la nuit mon frère charnel qui vient me rendre visite avec sa famille depuis une autre ville, si celui-ci est exclu ? — E. T., États-Unis.
L’exclusion d’un membre d’une famille n’exclut pas les liens de chair et de sang naturels. Par exemple, une exclusion ne rompt pas les liens
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