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Remise des diplômes de l’École de Galaad à 101 marqueurs assistantsLa Tour de Garde 1969 | 15 février
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prouvé l’utilité de toute la première épître de Paul aux Corinthiens. Après quelques instants de discussion, ces élèves ont voulu imaginer et mimer une scène qui aurait pu se dérouler dans la congrégation de Corinthe, au premier siècle. Cette scène montrait la façon dont la lettre de Paul réglait, entre autres choses, la question des divisions qui régnaient parmi les Corinthiens ; elle rappelait les conseils de l’apôtre sur les mesures à prendre à l’égard d’un membre impur de la congrégation et sur la conduite à observer par les chrétiens dont le conjoint est un incroyant. Les élèves ont su accentuer avec habileté la pensée principale, savoir : les principes bibliques sont utiles pour nous tous.
Le point culminant du programme de l’après-midi fut la représentation dramatique, en costumes d’époque, de certaines scènes de la vie de la fille de Jephthé, un juge d’Israël. Ce fut un drame émouvant qui inspirait la foi, une représentation très intéressante.
Après cette représentation dramatique, toute la classe, montée sur la scène, a chanté un touchant cantique d’adieu. Puis, dans ses remarques finales, le président de la Société a exhorté les élèves à “continuer dans ce bon travail”. Sa prière finale mit fin à l’excellent programme de la remise des diplômes aux élèves de la quarante-cinquième classe de Galaad.
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Questions de lecteursLa Tour de Garde 1969 | 15 février
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Questions de lecteurs
● Quand Jésus-Christ était sur la terre en tant qu’homme, portait-il une barbe ?
C’est la Bible qui fournit le témoignage le plus digne de foi à ce sujet. Un nouvel examen sérieux de cette question nous révèle que Jésus avait effectivement une barbe.
Jésus, Juif de naissance, “vint à être sous la loi”, et il accomplit la Loi (Gal. 4:4 ; Mat. 5:17), afin de frayer la voie à l’abolition de cette dernière et à la libération des Juifs de la malédiction et de la sentence de mort qui les frappaient (Éph. 2:15 ; Gal. 3:13). Comme tous les autres Juifs, Jésus était tenu d’observer toute la Loi, dont l’un des commandements spécifiait ceci : “Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe.” (Lév. 19:27). C’est sans doute parce que certains païens avaient l’habitude de se couper la barbe d’une certaine façon pour rendre un culte à leurs dieux, que Jéhovah donna cette Loi à Israël (Jér. 9:26 ; 25:23). Néanmoins, il ne fallait pas entendre par là que le Juif devait négliger sa barbe, car, en Orient, une barbe bien soignée était une marque de dignité et de respectabilité. — II Sam. 19:24.
Dans les cas de grande douleur, de honte ou d’humiliation, on pouvait arracher les poils de sa barbe ou laisser pousser celle-ci, ainsi que la moustache, en broussaille (Esdras 9:3). Dans plusieurs déclarations prophétiques, le fait de se couper la barbe servait de symbole pour illustrer un grand deuil consécutif à une calamité (És. 7:20 ; 15:2 ; Jér. 48:37 ; Ézéch. 5:1). Fait significatif, un prophète annonçant les souffrances de Jésus déclara : “J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe.” (És. 50:6). Hanun, roi d’Ammon, outragea grossièrement les ambassadeurs que David lui avait envoyés avec bienveillance en leur faisant raser la moitié de la barbe. À cause de la profonde humiliation de ces hommes, David leur fit dire de rester à Jéricho jusqu’à ce que leur barbe ait repoussé. En agissant de la sorte, Hanun cherchait à insulter David, ce qui provoqua la guerre. — II Sam. 10:1-8 ; I Chron. 19:1-7.
En outre, même avant la conclusion de l’alliance de la Loi, les hommes avaient généralement coutume de laisser pousser leur barbe. Bien que les Hébreux n’aient élevé aucun monument les représentant eux-mêmes, nombreux pourtant sont les ouvrages d’architecture et les inscriptions mis au jour en Égypte, en Mésopotamie et dans d’autres pays d’Orient, sur lesquels Assyriens, Babyloniens et Cananéens
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