Chapitre 10
Témoignages vivants attestant l’existence d’un Créateur
TOUT imparfait qu’il est, l’homme, par la structure complexe de son corps, constitue un témoignage vivant attestant l’existence d’un Être supérieur qui l’a créé. Cette constatation incita jadis le psalmiste David à déclarer concernant son Créateur : “Je te rends grâces d’avoir fait de moi une créature si merveilleuse ; tes œuvres sont admirables, et mon âme se plaît à le reconnaître.” — Psaume 139:14.
Or, les raisons de nous étonner des fonctions remarquables de notre corps ne sont pas moindres de nos jours qu’à l’époque de David. Au contraire, malgré l’imperfection de l’organisme humain, notre admiration et notre émerveillement deviennent d’autant plus grands que nous parvenons à mieux connaître notre corps. En 1966, le Dr W. W. Akers, technicien de l’Université Rice, qui collaborait avec des chirurgiens à la construction d’un cœur artificiel, s’exprima en ces termes : “Notre corps est une perfection, le nec plus ultra de la technique. Quelle que soit la machine que l’on inventera, — aussi complexe soit-elle, — on trouvera mieux dans notre organisme199.” La formation d’un enfant dans le sein de sa mère est un processus particulièrement impressionnant.
Vous avez commencé à exister sous la forme d’un œuf fécondé, une cellule unique plus petite que le point qui termine cette phrase. À partir de ce début simple et minuscule, votre corps s’est développé jusqu’à devenir un organisme extrêmement complexe doté d’un cerveau qui pense, de deux yeux qui voient, d’oreilles qui entendent et de bien d’autres organes spécialisés. Ce mécanisme très compliqué atteste qu’il y a un Créateur ou Organisateur intelligent. Le livre Les neuf premiers mois (angl.) décrit en ces termes le début de ce processus extraordinaire :
“Lorsque le noyau du spermatozoïde atteint le noyau de l’ovule, les deux noyaux s’accolent l’un à l’autre pendant que leurs contenus respectifs s’unissent. Au cours de la demi-heure qui suit, d’innombrables caractères du nouvel individu sont déterminés à l’intérieur de cet œuf minuscule200.”
Lors du fusionnement de ces deux cellules, en l’espace de quelques minutes les plans d’un nouvel individu sont arrêtés au sein du facteur génétique appelé l’ADN.
Les transformistes ne peuvent avancer aucune explication convaincante des merveilleux processus qui, suivant un plan manifestement préétabli, permettent au corps humain et à tout autre organisme de se reproduire et de former des organes fort complexes. L’évolutionniste sir James Gray le reconnaît, dans l’ouvrage La science d’aujourd’hui (angl.). Il y parle d’un “plan prédéterminé” et d’un “principe directeur”, déclarant entre autres :
“Tout ce processus ressemble bien plutôt au développement d’une structure organisée à partir d’un système relativement plus simple. Les molécules de protéine et de matière grasse dans le jaune d’œuf paraissent y avoir été disposées de façon à former un système ordonné et très complexe, un peu comme une maison est construite de briques, de bois et de verre, suivant un plan prédéterminé. (...) Autrement dit, la machine semble fonctionner dans un but bien défini, si bien qu’on a pu parler à ce sujet d’un ‘organisateur’. (...) Quelque principe directeur semble y être à l’œuvre201.”
L’embryon de tout organisme vivant se développe suivant un plan, mais à la différence de la Bible, la théorie de l’évolution est incapable d’expliquer ce déterminisme et cette organisation intelligente. L’évolutionniste C. H. Waddington admet qu’autre chose que des processus chimiques entre en ligne de compte. Dans son ouvrage La Nature de la vie (angl., 1962), il reconnaît que les cellules sont disposées “en organes ayant une morphologie et une structure bien définies”. Puis il ajoute :
“J’ai le regret de dire que les biologistes sont obligés d’admettre qu’ils n’ont pour ainsi dire aucune idée de la façon dont cela se passe. — Nul doute qu’il s’agit d’autre chose que de simples processus chimiques. (...)
“Manifestement il ne suffit pas de dire que les processus que nous étudions nous obligent à penser en fonction de théories impliquant une organisation. Le tout est de savoir d’où vient cette organisation202.”
Une finalité magistrale est apparente également dans l’habitacle prévu pour l’enfant dans le ventre de sa mère. La revue américaine Life, du 30 avril 1965, expliquait en ces termes comment les éléments de ce logement remarquable se développent conformément aux informations codées renfermées dans la cellule fécondée :
“L’œuf fécondé contient au sein de son noyau minuscule non seulement toutes les instructions génétiques en vue de la formation du corps humain, mais encore un manuel complet expliquant comment construire tout l’équipement de protection, — amnios, cordon ombilical, placenta, etc., — qui rend possible le séjour de l’embryon dans l’utérus203.”
L’embryon a besoin d’un tel logement protecteur dans le ventre maternel, car dès l’instant où l’œuf est fécondé, celui-ci devient un corps étranger. Or, le système de défense d’un organisme normal tend à rejeter tout corps étranger. Mais l’ovule fertilisé est équipé pour se protéger contre ce système de défense. C’est à juste titre que David attribua au Créateur cette protection, en disant : “Tu m’as tenu couvert dans le ventre de ma mère.” (Psaume 139:13, Traduction du monde nouveau et LXX, cf. Pirot et Clamer n. m.). Ce passage de la Bible est en accord avec les faits.
Ainsi, pour mettre l’embryon à couvert, l’une des premières instructions émises par l’ADN concerne la fabrication des cellules du trophoblaste. Ces cellules ont pour fonction, en premier lieu, de former pour l’embryon un petit nid dans l’utérus. L’article de Life poursuivait en ces mots :
“La paroi de l’utérus est épaisse et spongieuse. Les cellules du trophoblaste l’attaquent et y ouvrent une brèche, détruisant les cellules utérines et puisant de la nourriture dans le sang maternel, pour la transmette aux premières cellules embryonnaires. Ensuite elles se servent du tissu cicatriciel de la lésion qu’elles ont provoquée, pour former un caillot temporaire destiné à protéger le minuscule parasite.
“L’utérus doit se protéger contre d’autres incursions des cellules agressives du trophoblaste. La manière précise dont il procède demeure un mystère, car aucune autre partie du corps n’est capable d’agir de la sorte. (...)
“Dès que l’embryon est solidement implanté, il commence à sécréter une hormone qui contribue à maintenir en place la muqueuse utérine pendant toute la durée de la grossesse. Sans l’action de cette hormone, la menstruation se produirait et l’embryon ne survivrait pas204.”
Qui a pu prévoir la nécessité de tels dispositifs, sinon un Créateur intelligent ? Ce ne furent sûrement pas les cellules elles-mêmes, agissant au gré du hasard. D’autre part, une fois que l’embryon est mis à couvert dans l’utérus maternel, comment peut-il se nourrir, respirer, éliminer ses déchets et accomplir d’autres fonctions vitales ? Il fait tout cela grâce à un organe extraordinaire : le placenta.
“Au cours des jours, des semaines et des mois, l’embryon se niche solidement dans la paroi utérine, et les cellules du trophoblaste se transforment en placenta. Organe dynamique, ce dernier se modifie constamment pour s’adapter aux besoins sans cesse changeants de l’embryon. Entre autres, il est capable d’accomplir des tâches réservées normalement aux poumons, au foie, aux reins, aux intestins et aux glandes endocrines. (...)
“Agissant en guise de poumon, le placenta puise de l’oxygène dans le sang maternel et l’introduit dans le sang de l’embryon. Il puise encore dans le sang de la mère toutes sortes d’éléments nutritifs, et souvent il les prédigère et les dissout avant de les transmettre à l’embryon. Le placenta est à ce point compétent qu’une heure ou deux après que la mère a absorbé de la nourriture, l’embryon en reçoit sa part. (...) Le placenta sécrète également, à l’intention de la mère, des hormones vitales qui compensent certains des éléments qu’il lui enlève205.”
C’est seulement quand il a achevé de nombreuses tâches miraculeuses que le placenta meurt. Il est expulsé de l’utérus après la naissance de l’enfant. Tout le processus de la gestation a été résumé en ces termes : “Au cours des 266 jours qui s’écoulent depuis la conception jusqu’à l’accouchement, une cellule unique, l’œuf fécondé, se transforme en une organisation invraisemblablement complexe, composée de quelque 200 millions de cellules, le poids initial ayant augmenté de plusieurs millions de fois206.”
L’évolution est incapable d’expliquer ce processus qui est d’un déterminisme étonnant. La Bible, en revanche, reconnaît qu’il est l’œuvre d’une intelligence supérieure, d’un organisateur émérite, à savoir Dieu le Créateur. Elle tient compte du fait que là où il y a un plan, il y a un planificateur, et que plus un mécanisme est complexe, plus il faut que l’inventeur soit intelligent. Notez avec quelle exactitude David, écrivant sous inspiration, montre que ce processus fut conçu par Dieu, à qui il dit : “Tes yeux ont vu ma substance informe [hébr. mon embryon, cf. Jérusalem n. m.], et dans ton livre mes membres étaient tous écrits.” (Psaume 139:16, Darby). Dès l’origine, tous les membres de notre corps étaient “écrits” ou codés par Dieu dans l’ADN.
L’homme n’est cependant qu’une des œuvres de Dieu. De nombreuses autres créatures témoignent de l’existence d’un Créateur intelligent.
LES ANIMAUX TÉMOIGNENT DE L’EXISTENCE D’UN CRÉATEUR
Le contraste entre les inventions humaines et les facultés remarquables des animaux et des insectes a fait dire au Dr W. S. McCulloch, spécialiste de la cybernétique : “De fait, les calculateurs électroniques sont des bêtes gauches et stupides (...). Leur cervelle ne vaut pas celle d’une fourmi arriérée207.” De son côté, la revue Natural History, de novembre 1961, fit cette comparaison : “Le système nerveux d’une simple étoile de mer, avec son réseau de ganglions et de fibres, est plus complexe que le central téléphonique de Londres208.”
Tous ces systèmes hautement organisés témoignent de l’existence d’un Organisateur suprême. Il en est de même de la faculté naturelle que possèdent les animaux d’appliquer des lois physiques, d’autant plus que les hommes sont souvent incapables d’imiter leurs performances. À ce propos, nous lisons sur la page de garde du livre La bionique, science des machines “vivantes” (angl.) :
“Les ingénieurs s’inspirent de plus en plus des fonctions des animaux vivants. Cette science passionnante qui consiste à ‘singer’ les bêtes s’appelle la bionique, terme à ce point récent qu’il ne se trouve pas encore dans beaucoup de dictionnaires. (...)
“Considérez les ailes d’avion profilées d’après les ailes des oiseaux, les indicateurs de vitesse conçus à la suite d’études du vol des coléoptères, les ordinateurs, fruit des recherches sur la cellule nerveuse, les stimulateurs cardiaques implantés dans le corps grâce à l’application de l’électricité animale, enfin les tubes de télévision qui imitent l’œil du crabe ; nous constatons que l’homme applique de plus en plus les principes de la nature à ses propres besoins209.”
Entre autres, l’homme cherche à comprendre comment la baleine et le dauphin peuvent se déplacer dans l’eau à une vitesse bien plus grande que celle qu’on avait cru possible. L’ouvrage précité déclare à ce sujet :
“Pour nager à de pareilles vitesses, le dauphin et la baleine devaient soit être d’une puissance anormale ou bien avoir réalisé ce que les techniciens de l’aérodynamique et de l’hydrodynamique appellent l’‘écoulement laminaire’. Autrement dit, l’eau dans laquelle l’animal se déplace doit suivre ses contours de si près qu’aucune turbulence n’est possible. (...)
“Depuis des décennies, les techniciens de l’aérodynamique ont essayé de réaliser l’écoulement laminaire. Malgré les appareils complexes dont ils dotent les ailes des avions, leur succès n’a été que partiel210.”
Croyez-vous que ces animaux ont acquis cette faculté par hasard, par une évolution aveugle ? N’est-il pas évident que leur corps a été conçu par un Créateur intelligent, qui comprend parfaitement les lois physiques ? Les hommes qui tirent des leçons de ces choses ne devraient-ils pas reconnaître l’existence du Maître qui les enseigne ?
L’un des témoignages les plus probants attestant le génie créateur de Dieu est l’étonnant instinct de navigation dont celui-ci a doté de nombreuses variétés d’animaux. À propos de cet instinct, que possèdent certains oiseaux, Le grand livre des animaux (1965) déclare :
“Mais le comportement des oiseaux propose à l’esprit humain un mystère indéchiffrable : comment les migrateurs tracent-ils leur chemin quand ils survolent, pendant des milliers de kilomètres, des océans qui ne leur offrent pas le moindre point de repère ? Pendant la majeure partie de l’année, on peut voir au-dessus du Pacifique, du Japon à la Californie et, vers le nord, jusqu’aux Aléoutiennes, des vols de millions de puffins qui, en dépit des distances, parviennent chaque année, le même jour, à leur territoire d’origine, au large de la côte australienne.
“Quel est leur secret ? (...)
“Les jeunes sarcelles n’avaient pas besoin de leurs aînées ; elles obéissaient à un système d’orientation ancestral et inné211.”
Les savants reconnaissent que les bêtes sont incapables d’apprendre à résoudre les problèmes complexes de la navigation, puisqu’elles ne sont pas douées de la faculté de raisonner que possède l’homme. Pourtant, certains animaux savent se servir des étoiles pour s’orienter. Cette faculté fait partie de leur patrimoine génétique. Faisant état d’expériences effectuées à ce sujet, le livre Les sens mystérieux des animaux (angl., 1965) relate ce qui suit :
“Ces expériences ont établi que la fauvette à tête noire reconnaît instinctivement certaines constellations, qu’elle ‘sait’ qu’elle traverse le ciel pendant la nuit et qu’elle ‘connaît’ les changements saisonniers des constellations. (...)
“Ces petits astronomes ailés savent encore s’orienter même si une ou deux étoiles seulement sont visibles à travers les nuages. Lorsque le ciel est complètement bouché (...) ils interrompent tout simplement leur migration. (...)
“Comment la fauvette à tête noire acquiert-elle cette faculté extraordinaire ? (...) Elle a hérité ses connaissances en astronomie et en géographie céleste. La science ne peut fournir aucune explication de la manière dont les connaissances instinctives d’un sujet aussi complexe que celui des constellations ont pu être consignées dans le plasma germinatif d’un animal212.”
Il est absolument inconcevable que les connaissances mathématiques extrêmement complexes qu’exige la navigation aient été acquises grâce à un processus évolutif dû au hasard ! La théorie évolutionniste est en désaccord avec ces faits.
Le transformisme ne parvient pas à expliquer d’où viennent les connaissances instinctives des animaux. La Bible, en revanche, en fournit l’explication. Elle montre, en effet, que la sagesse qui se voit dans tous les organismes vivants atteste que ces derniers sont l’œuvre d’un Créateur intelligent, c’est-à-dire de Dieu.
LA BIBLE EST EN ACCORD AVEC LES FAITS
Ainsi, lorsque nous comparons les données certaines de la science avec l’évolutionnisme, nous nous apercevons qu’à tous égards cette théorie contredit les faits. Si, au contraire, nous confrontons ce que la Bible enseigne relativement à la création avec les vérités scientifiques, nous constatons qu’en tous points ce livre est en accord avec les faits.
Tout ce qui précède a démontré que, d’après les faits, les animaux et les plantes ne se reproduisent qu’à l’intérieur de leur espèce. Aucun cas n’a jamais été observé où une espèce s’est transformée en une autre. Les documents fossiles le prouvent. L’étude de l’étonnant ADN a révélé que chaque organisme vivant se reproduit suivant un “plan de montage” qui lui est particulier. D’autre part, le fait que les croisements entre les grandes espèces sont stériles vérifie la loi de la constance des espèces. Or, le récit biblique de la création consigné dans le premier chapitre de la Genèse est en accord avec ces faits, puisqu’il déclare que toutes les formes vivantes furent créées “selon leur espèce”.
À la différence de l’évolutionnisme, la Bible explique l’origine de la vie. Les recherches biologiques ont prouvé que tout vivant provient d’un autre vivant, confirmant le principe de la biogenèse. Le récit génésiaque de la Bible identifie Dieu à la source de toute vie, conformément au fait de la biogenèse. S’adressant à Dieu, le Psaume 36:10 36:9, NW déclare : “Car auprès de toi est la source de la vie.”
Les faits attestent que l’homme, doté de grandes capacités intellectuelles, est apparu subitement sur la terre, si bien qu’on a pu parler d’une “explosion” d’hommes et de civilisations. Les langues anciennes furent également extrêmement complexes. Les deux premiers chapitres de la Genèse Ge 1, 2 tiennent compte de ces faits, puisqu’ils montrent que l’homme fut créé doué d’une grande intelligence et du langage articulé.
Les faits attestent encore que dans un passé relativement récent, une catastrophe sans précédent frappa la terre, exterminant des millions d’animaux, dont bon nombre furent ensevelis dans des amas de boue glacée. Même les conditions climatiques furent bouleversées. Toutes ces choses s’expliquent si l’on accepte le récit biblique d’un déluge universel qui anéantit d’innombrables animaux vivant “sur la terre sèche”. — Genèse 7:22.
Enfin, les faits révèlent que la terre est plus vieille que ne le prétendent certaines religions, qui affirment à tort qu’elle fut créée en six jours de vingt-quatre heures. L’imprécision temporelle de Genèse 1:1 nous permet d’admettre qu’après la création de la terre une période de temps très longue précéda les six jours génésiaques, dont chacun eut une durée infiniment plus longue que vingt-quatre heures. Quant aux presque 6 000 années que la Bible attribue à l’existence de l’homme, ce temps est confirmé par les documents écrits laissés par nos ancêtres.
Si donc nous faisons abstraction de toute spéculation et nous bornons à confronter les faits reconnus avec la Bible, nous constatons que l’explication biblique de l’origine de la vie est véridique. Par ailleurs, en identifiant la cause du monde vivant à un Créateur intelligent, la Bible est en accord avec les faits observés qui prouvent que plus un mécanisme est complexe, plus il faut que l’inventeur soit intelligent. — Romains 1:20.
La personne honnête qui recherche la vérité reconnaîtra qu’il existe des preuves irréfutables que l’homme est le produit, non d’une évolution, mais d’une création par Dieu.
[Schéma, page 118]
(Voir la publication)
Cavité utérine
Amnios
Cavité amniotique
Placenta
Trompe utérine
Cordon ombilical
Embryon (8 semaines)
Paroi musculaire de l’utérus
[Illustration, page 122]
La migration annuelle du sterne de l’Arctique lui fait parcourir quelque 35 000 kilomètres !
[Illustrations, page 123]
L’homme a besoin de nombreux instruments de navigation pour faire ce que les oiseaux font par instinct. Le radar, le sextant, la carte marine et la boussole témoignent de la sagesse de ceux qui les ont inventés. L’étonnant système de navigation implanté dans les oiseaux témoigne de la sagesse supérieure de leur Créateur.