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La “bonne nouvelle” — Qui veut l’entendre?Réveillez-vous ! 1978 | 8 novembre
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Quand un homme en proie à des difficultés financières se voyait obligé de vendre une possession héréditaire, mettons une pièce de terre, ni lui ni sa famille ne perdaient tout espoir de la récupérer un jour. Cette possession devait être restituée à la famille lors de l’année du Jubilé, qui se célébrait tous les cinquante ans (Lév. 25:8-10, 13, 23, 24). Cette disposition faisait bien de Jéhovah le “Dieu qui donne l’espérance”, puisque quand la loi du Jubilé était observée, une telle famille ne perdait jamais tout espoir de retrouver son patrimoine.
De nos jours encore, Dieu ne nous laisse pas sans espérance. Qui plus est, sa Parole inspirée, la Bible, nous propose un mode de vie qui nous permet d’améliorer dès maintenant nos conditions d’existence. Il est intéressant de noter que l’Institut d’études internationales et le Projet d’amélioration de l’environnement patronné par les Nations unies ont récemment formé une commission chargée d’étudier à l’échelle mondiale les effets de l’environnement sur la santé humaine. Dans le rapport établi ensuite par Erik Eckholm, on peut lire que “les véritables obstacles à l’amélioration de la santé (...) sont dus à des carences d’ordre politique”, c’est-à-dire au fait que les nations se révèlent incapables d’organiser la situation de manière à neutraliser le péril biologique lié aux problèmes de l’environnement. Une revue parla également des “erreurs commises individuellement par ceux qui adoptent un mode de vie autodestructeur”. Le rapport sur l’environnement conclut qu’en ce qui concerne la population des pays riches, “toute amélioration notable de la santé publique implique nécessairement l’abandon de certaines pratiques”, au nombre desquelles nous citerons l’usage du tabac, la suralimentation et les excès de boisson.
Mais ceux qui réagissent favorablement à l’annonce de la “bonne nouvelle du Dieu heureux”, Jéhovah, tirent déjà profit des excellents conseils donnés dans sa Parole (I Tim. 1:11). Ils suivent cette recommandation: “Ne te trouve pas parmi les buveurs de vin, parmi ceux qui se gorgent de chair. Car l’ivrogne et le glouton tomberont dans la pauvreté, et la somnolence vous revêtira de haillons.” (Prov. 23:20, 21). En obéissant à la bonne nouvelle, ces personnes font en sorte de préserver leur santé et s’abstiennent des pratiques nuisibles, telles que l’usage du tabac. — II Cor. 7:1.
Qui, dans ces conditions, veut entendre la bonne nouvelle? Pas tout le monde, bien sûr. Mais si vous préférez les bonnes nouvelles aux sombres tableaux de l’actualité courante, alors ne manquez pas les occasions qui vous sont offertes d’écouter le message biblique. Il vous est apporté à domicile par les témoins chrétiens de Jéhovah, le “Dieu qui donne l’espérance” et qui vous réserve la plus excellente de toutes les nouvelles.
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Un homme l’a écoutéeRéveillez-vous ! 1978 | 8 novembre
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Un homme l’a écoutée
Récit recueilli par notre correspondant en Birmanie
JE SUIS né dans une famille catholique très pratiquante. Deux de mes oncles faisaient partie de l’ordre enseignant des Frères catholiques romains. À l’âge de trois semaines, je fus baptisé. Selon la croyance catholique, un enfant qui meurt avant d’avoir pu être baptisé va dans un endroit appelé “limbes”, qui n’est ni le ciel ni l’enfer.
Durant le temps que je passai au collège Saint-Paul de Rangoon, en Birmanie, je fus énergiquement endoctriné par les Frères catholiques romains, qui nous affirmaient que le catholicisme était la seule vraie religion. Comme j’étais jeune et impressionnable, j’étais très fier d’être catholique. Par contre, j’étais navré de savoir que cette chance avait été refusée à certains de mes camarades. On nous répétait souvent qu’appartenir à la vraie religion était
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