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Les Amalécites : une leçon pour les adversaires de DieuLa Tour de Garde 1964 | 15 avril
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des Amalécites à l’égard des Israélites au temps où Israël, venant d’échapper aux terreurs de l’Égypte, se frayait à grand peine un chemin dans le désert, et la suivre, au cours de nombreux siècles. Elle fit une profonde et durable impression sur les Israélites.
La complète extermination des Amalécites devrait servir de continuel avertissement aux adversaires des desseins et du peuple de Jéhovah. Aujourd’hui, à la fin du monde, les hommes et les nations qui s’opposent à Dieu et à son peuple subiront un sort semblable à celui d’Amalek, car ils “sauront [qu’il est] Jéhovah”. — Ézéch. 38:16-23, AC.
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Soyez déterminé à posséder les trésors qui en valent la peineLa Tour de Garde 1964 | 15 avril
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Soyez déterminé à posséder les trésors qui en valent la peine
Quels sont les trésors durables qui valent la peine d’être recherchés ? Comment peut-on les acquérir et les garder ?
DANS toutes les parties de la terre, les hommes courent après les richesses matérielles ; oui, ils sont déterminés à posséder les trésors ou biens matériels de la vie présente. Ils mesurent le bonheur en billets de banque, nouvelles voitures et maisons. On jauge le succès et la sécurité par les richesses. Pourtant, jamais encore les hommes n’ont été aussi malheureux et ne se sont sentis aussi menacés. On présente la religion comme le moyen de faire régner la paix et la sécurité ; et beaucoup s’attachent avec zèle à ce qu’ils considèrent comme une bonne religion, mais c’est pour être finalement frustrés dans leur attente car ils ne trouvent pas le trésor durable qui rassasie l’âme. Pourquoi ? La majorité des humains rechercheraient-ils la mauvaise sorte de trésor ? Quel est le véritable trésor qui vaut la peine d’être recherché et apporte la paix, la sécurité et, surtout, la bénédiction et la faveur du Dieu de l’univers ? Pour être à même de rechercher ce trésor digne de nos efforts et qui conduit à la vie, il nous sera utile d’examiner l’histoire d’un peuple qui était en relations d’alliance avec le Dieu Très-Haut. Puis, nous examinerons notre conduite à la lumière de ce récit.
EXEMPLE DU PASSÉ
La nation juive alla en captivité en l’année 607 av. J.-C. et, pendant soixante-dix ans, servit sous le joug rude de Babylone. Or, le temps vint pour les Israélites d’être affranchis de l’esclavage, de quitter le pays de la captivité pour retourner à Jérusalem reconstruire le temple en vue de la restauration du culte de Jéhovah. Était-ce là une tâche facile ? Non ; pour quitter la terre d’exil, il fallait avoir foi en Jéhovah. À l’époque, la plupart des Israélites, nés à Babylone, avaient obéi à l’ordre de Jéhovah tel que Jérémie l’a consigné par écrit, dans Jérémie 29:5-7 (AC) : “Bâtissez des maisons et habitez-les ; plantez des jardins et mangez-en les fruits. Prenez des femmes, et ayez des fils et des filles. (...) Recherchez le bien de la ville où je vous ai menés en captivité.” Pour beaucoup, Babylone était la seule patrie qu’ils connaissaient, l’unique lieu de sécurité du point de vue matériel. Aussi la question qui se posait était-elle celle-ci : Répondraient-ils à l’invitation de retourner à Jérusalem dans l’intérêt de l’adoration de Jéhovah ? Abandonneraient-ils maisons, amis et biens matériels
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