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Fondation, fondementAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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consiste à faire des disciples de Christ à un travail de construction, Paul souligna l’importance de construire avec des matériaux ininflammable sur le fondement qui avait été posé, savoir Jésus Christ, afin de ne pas subir une perte. — I Cor. 3:10-15.
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FontaineAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FONTAINE
Voir SOURCE.
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Fontaine (Porte de la)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FONTAINE (PORTE DE LA)
{Article non traduit.}
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Fontaine du Grand SerpentAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FONTAINE DU GRAND SERPENT
L’expression hébraïque désigne la fontaine, la source ou le puits d’un monstre marin ou terrestre et elle est traduite diversement par la Source du Dragon (AC; Dh; Os; Sy; TOB), la fontaine du Dragon (Jé; Li; Ostervald; ZK), la “source du chacal” (Da) ou la fontaine du Grand Serpent (MN). La Septante, toutefois, l’appelle “le puits des figuiers”.
Cette source d’eau se trouvait sur la route qu’emprunta Néhémie lorsqu’il inspecta pour la première fois la muraille en ruine de Jérusalem (Néh. 2:12, 13). Puisqu’on ne retrouve ce nom nulle part ailleurs dans les Écritures, si cette fontaine ou puits est mentionnée dans un autre passage, ce doit être sous une appellation différente. On avance fréquemment le nom d’En-Roguel. — Voir EN-ROGUEL.
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ForceAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FORCE
Voir PUISSANCE, ŒUVRES DE PUISSANCE.
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ForêtAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FORÊT
Autrefois, la Palestine était couverte d’abondantes forêts composées de nombreuses espèces d’arbres. Les renseignements que la Bible fournit sur les forêts, les régions boisées et l’usage du bois révèlent qu’il s’y trouvait beaucoup plus d’arbres qu’aujourd’hui (II Chron. 27:4; Juges 9:48, 49). La description des animaux sauvages confirme cette observation en montrant que les forêts étaient suffisamment importantes pour abriter des ours (II Rois 2:23, 24), des lions (I Sam. 17:34; I Chron. 11:22) ainsi que d’autres représentants du règne animal. — Ézéch. 34:25.
De même que la Bible a utilisé des arbres pour symboliser des personnages et des rois, elle s’est également servie des forêts pour représenter les peuples, les nations et leurs dirigeants. La méchanceté du royaume apostat de Juda était comparable à une flamme qui dévorait le peuple (És. 9:18). Les guerriers assyriens seraient abattus et deviendraient clairsemés, comme les arbres d’une forêt (És. 10:19, 34). La colère de Jéhovah allait consumer le royaume du Sud (Juda) par un feu inextinguible (Ézéch. 20:46-48). Des prophéties semblables furent prononcées contre les nations païennes et ennemies du peuple de Dieu. — Ps. 83:14, 15; Jér. 46:22, 23.
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FornicationAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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FORNICATION
Rapports sexuels par consentement mutuel, entre deux personnes qui ne sont pas unies par les liens du mariage. Dans la Bible, ce mot ne se limite pas aux relations immorales entre célibataires. Au contraire, il s’agit d’un terme générique qui peut s’appliquer aux actes commis soit par des célibataires, soit par des gens mariés. Le terme grec original désigne toutes sortes de fautes sexuelles graves, y compris l’homosexualité. — Jude 7.
Lorsque Dieu célébra le premier mariage, il déclara: “C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et il devra s’attacher à sa femme, et ils devront devenir une seule chair.” (Gen. 2:24). Il établissait ainsi pour tous les humains le principe de la monogamie et proscrivait par là même les relations sexuelles immorales. D’autre part, il n’avait pas prévu que l’homme et la femme puisse divorcer et se remarier.
Dans la Société patriarcale, les serviteurs fidèles de Dieu haïssaient la fornication, qu’elle fût commise par des personnes célibataires, fiancées ou mariées, et ils la considéraient comme un péché contre Dieu. — Gen. 34:1, 2, 6, 7, 31; 38:24-26; 39:7-9.
SOUS LA LOI
Sous la loi de Moïse, l’homme qui commettait la fornication avec une jeune fille non fiancée devait l’épouser et verser à son père le prix d’achat fixé pour les vierges (50 sicles d’argent). En outre, il ne pouvait divorcer d’avec elle, tous ses jours durant. Si le père refusait de lui donner sa fille en mariage, il devait quand même lui payer le pris d’achat (Ex. 22:16, 17; Deut. 22:28, 29). En revanche, si la jeune fille était fiancée, l’homme devait être lapidé. Si la vierge fiancée avait crié lorsque l’homme l’avait saisie, on ne devait pas la punir, mais si elle ne l’avait pas fait (montrant par là son consentement), il fallait également la mettre à mort. — Deut. 22:23-27.
Le caractère sacré du mariage était encore souligné par la loi qui prévoyait la peine capitale pour la femme qui avait commis la fornication en secret, puis qui se mariait en prétendant faussement être vierge. Si un mari accusait à tort sa femme d’avoir commis une telle faute, il couvrait d’opprobre la maison de son père. À cause de sa calomnie, les juges devaient le “discipliner”, peut-être par un châtiment corporel, lui imposer une amende de cent sicles d’argent et donner cette somme au père de la femme (Deut. 22:13-21). Si la fille d’un prêtre se prostituait, elle déshonorait la fonction sacrée de son père. C’est pourquoi on devait la mettre à mort, puis la brûler au feu, comme une chose détestable (Lév. 21:9; voir aussi Lévitique 19:29). La fornication entre personnes mariées (l’adultère) constituait une violation du septième commandement qui appelait la peine de mort pour les deux coupables. — Ex. 20:14; Deut. 5:18; 22:22.
Si un homme commettait la fornication avec une servant désignée pour être la femme d’un autre homme, servante qui n’avait été ni rachetée ni libérée, tous deux devaient être punis. Cependant, on ne devait pas les mettre à mort (Lév. 19:20-22), sans doute parce que la femme n’était pas encore libre ni pleinement maîtresse de ses actes, comme une autre fiancée l’aurait été. Le prix de rachat n’avait pas encore été payé, du moins pas intégralement; aussi restait-il l’esclave de son maître.
INTERDITE AUX CHRÉTIENS
Jésus Christ rétablit le principe originel de la monogamie (Mat. 5:32; 19:9) et dénonça toute la méchanceté de la fornication en la mettant au même rang que les raisonnements méchants, les meurtres, les vols, les faux témoignages et les blasphèmes. Il expliqua que ces choses viennent de l’intérieur de l’homme, de son cœur, et qu’elles le souillent (Mat. 15:19, 20; Marc 7:21-23). Plus tard, en l’an 49, le collège central de la congrégation chrétienne composé des apôtres et des anciens de Jérusalem écrivit aux chrétiens afin de les
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