-
VœuAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
-
-
de la viande qui a été offerte aux idoles avant d’être vendue au marché, c’est une affaire de conscience. — Rom. 14:5, 6, 17, 22, 23; I Cor. 10:25-30.
-
-
Voie (La)Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
-
-
VOIE (LA)
Ce terme peut être appliqué à une route, à une rue, à un chemin ou à un sentier; il désigne aussi une manière d’agir ou de se conduire, une bonne ligne de conduite ou méthode. Dans les Écritures, ce mot est souvent utilisé en rapport avec une ligne de conduite qui est soit approuvée, soit désapprouvée par Jéhovah Dieu (Juges 2:22; II Rois 21:22; Ps. 27:11; 32:8; 86:11; És. 30:21; Jér. 7:23; 10:23; 21:8). Après la venue de Jésus, quiconque voulait jouir de bonnes relations avec Dieu et s’approcher convenablement de lui par la prière devait accepter le Christ. C’est pourquoi le Fils de Dieu a déclaré: “Je suis le chemin, et la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.” (Jean 14:6; Héb. 10:19-22). On disait de ceux qui étaient devenus disciples de Jésus Christ qu’ils faisaient partie de “La Voie”, c’est-à-dire qu’ils adhéraient à un mode de vie axé sur la foi en Jésus Christ et qu’ils suivaient son exemple. — Actes 9:2; 19:9, 23; 22:4; 24:22.
-
-
VoileAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
-
-
VOILE
{Article non traduit.}
-
-
VoisinAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
-
-
VOISIN
Voir PROCHAIN.
-
-
VoixAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
-
-
VOIX
Les sons émis par une personne qui parle ou qui chante, ou produits par un animal, sont désignés dans les Écritures en hébreu par le mot qôl, en araméen par le terme qal et en grec par le vocable phônê (Gen. 3:8, 10; 21:17; Job 4:10; Dan. 4:31; Mat. 27:46). Le mot qôl peut également signifier “tonnerre”, “son”, etc. (Gen. 45:16; Ex. 20:18; 28:35.) De même, le terme phônê peut avoir les sens de “bruit” et de “langue, langage” en même temps que celui de “voix”. — Jean 3:8; I Cor. 14:10, 11; Héb. 12:26.
LES ÊTRES SPIRITUELS
L’apôtre Paul parle des “langues des hommes et des anges”, indiquant par là que les êtres spirituels jouissent de la parole et ont un langage (I Cor. 13:1). Des hommes ont entendu des anges, et Jéhovah Dieu lui-même, parler dans des langues qui leur étaient audibles et intelligibles. Cependant, on ne peut pas en déduire que c’est avec cette voix-là que les êtres spirituels communiquent entre eux dans les cieux. En effet, il faut une atmosphère d’une certaine composition, comme celle qui existe autour de la terre, pour propager les ondes sonores, et ainsi rendre la voix audible et intelligible à l’oreille humaine.
Par conséquent, lorsque Dieu ou des anges se sont exprimés d’une voix distincte pour l’homme, il devait s’agir de leur parole transformée en ondes, tout comme les apparitions d’anges exigeaient soit une matérialisation, soit la transmission à l’esprit d’une image. De nos jours, les scientifiques peuvent prendre la voix d’une personne et la transformer en impulsions électriques, de sorte qu’elle soit transmise par un micro et un amplificateur de manière audible, très semblable à celle de l’orateur.
La “voix” de Jéhovah
Le récit biblique rapporte trois occasions où Jéhovah a parlé d’une manière perceptible aux hommes. 1) Lors du baptême de Jésus (29 de n. è.), Jéhovah déclara: “Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé.” Jésus et Jean le Baptiseur ont sans aucun doute entendu tous deux cette voix (Mat. 3:17; Marc 1:11; Luc 3:22). 2) Lors de la transfiguration de Jésus (32 de n. è.), en présence des apôtres Pierre, Jacques et Jean, presque les mêmes mots ont été prononcés (Mat. 17:5; Marc 9:7; Luc 9:36). 3) En 33 de notre ère, peu avant la dernière Pâque célébrée par Jésus, répondant à la requête que Christ avait adressée à Dieu pour lui demander de glorifier son nom, une voix qui venait des cieux déclara: “Je l’ai glorifié et je le glorifierai encore.” La foule pensa qu’il avait tonné ou qu’un ange avait parlé à Jésus. — Jean 12:28, 29.
S’adressant à un groupe de Juifs incroyants, vers l’époque de la Pâque de l’an 31, Jésus leur dit: “De plus, le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n’avez jamais entendu sa voix ni vu sa forme; et vous n’avez pas sa parole demeurant en vous, car celui-là même que lui a envoyé, vous, vous ne le croyez pas.” (Jean 5:37, 38). Cette foule incrédule n’avait jamais entendu la voix de Dieu, ni même obéi à sa parole ou accepté le témoignage que lui apportaient les œuvres de Jésus visiblement soutenu par Dieu. De toute façon, seuls Jésus et Jean le Baptiseur avaient entendu la voix audible de Jéhovah, les deux autres occasions rapportées dans la Bible où Jéhovah avait parlé n’ayant pas encore eu lieu à ce moment-là.
La Bible mentionne parfois la “voix” de Jéhovah pour parler de l’autorité de son commandement comme “la voix du Dieu Tout-Puissant”. — Ézéch. 10:5, Jé.
Voix angéliques
En d’autres occasions où il est dit que Jéhovah a parlé, ce sont des anges qui ont été utilisés pour le représenter sur le plan vocal. Des anges parlèrent au nom de Dieu à Moïse, qui était sur le mont Horeb, et à tout Israël, qui se tenait au pied de la montagne (Ex. 34:4-7; 20:1-17; Gal. 3:19). Parfois, ils ne se montraient pas sous une apparence visible, comme lorsque la voix sortit de la montagne qui tremblait et fumait (Ex. 20:18, 19; Deut. 4:11, 12; Héb. 12:18, 19). En d’autres circonstances, ils apparaissaient dans des visions (Dan. 8:1, 15, 16; Rév. 14:15-18) et, plusieurs fois, sous une forme humaine matérialisée pour transmettre des messages verbaux aux hommes. — Gen. 18:1-3, 20; 19:1; Josué 5:13-15.
ÉCOUTER LA VOIX DE DIEU
‘Écouter la voix de Dieu’ ne signifie pas nécessairement entendre une voix. Il s’agit plus souvent d’accepter et d’obéir à ce qu’il a fait écrire dans sa Parole, transmise par les serviteurs terrestres qui le représentent (I Jean 2:3, 4). Ainsi, le terme “voix” désigne “toute déclaration qui sort de la bouche de Jéhovah”, ses commandements, qu’ils soient présentés verbalement par Dieu lui-même, par des anges, par des hommes, ou rapportés dans des écrits inspirés. — Ps. 103:20; Mat. 4:4; voir OBÉISSANCE.
ÉCOUTER LA VOIX DE JÉSUS
Jésus Christ parla de lui-même comme de “l’excellent berger”. Les brebis “écoutent sa voix, (...) et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix. (...) elles ne connaissent pas la voix des étrangers”. (Jean 10:2-5, 11.) Ceux qui s’identifient aux “brebis” du Christ
-