-
Réunions pour le service du champMinistère du Royaume 1979 | juin
-
-
Réunions pour le service du champ
4-10 JUIN
Comment se présenter
1. Pourquoi est-il avantageux de ne pas toujours se présenter de la même façon?
2. Notre introduction doit-elle être a) guindée? b) gaie? c) chaleureuse et amicale? Pourquoi?
3. Selon vous, quelle sorte d’introduction convient au territoire? Que faut-il éviter?
11-17 JUIN
Utilisation de questions
1. Pourquoi est-il bien d’utiliser des questions pour inclure l’interlocuteur dans la conversation? (Voir Luc 10:36.)
2. Selon vous, quelles sortes de questions est-il préférable d’éviter, et pourquoi?
3. Pourquoi ne faut-il pas poser trop de questions?
4. Que pouvons-nous faire lorsque la personne ne répond pas à nos questions?
18-24 JUIN
Comment commencer des études bibliques
1. Connaissez-vous un moyen efficace de commencer des études?
2. Comment faites-vous pour maintenir l’intérêt de la personne lorsqu’il ne vous est pas possible de commencer immédiatement une étude?
3. Comment commencer une étude de façon que la personne ne se sente pas sous contrainte?
25 JUIN-1er JUILLET
Visite complète du territoire
1. Pourquoi est-il important de revisiter les absents? Dans quelle mesure?
2. Pourquoi ne faut-il pas manquer de revisiter chaque personne qui a manifesté de l’intérêt?
3. Que comptez-vous faire aujourd’hui pour ce qui est des absents et de ceux qui ont manifesté de l’intérêt?
-
-
Étude de livreMinistère du Royaume 1979 | juin
-
-
Étude de livre
Programme d’étude du livre “La vie a bien un but”
9 juillet: pages 5, § 1, à 11, § 16
16 juillet: pages 12, § 17, à 22, § 13
23 juillet: pages 22, § 14, à 30, § 13
30 juillet: pages 30, § 14, à 37, § 26
-
-
Prêchons la “bonne nouvelle”Ministère du Royaume 1979 | juin
-
-
Prêchons la “bonne nouvelle”
1 Jésus avait tellement à cœur l’œuvre d’évangélisation qu’il déclara: “Je dois annoncer la bonne nouvelle [évangile] du royaume de Dieu.” (Luc 4:43). C’est pourquoi il passait de nombreuses heures par jour à répandre la “bonne nouvelle”. Il était même disposé à renoncer à se reposer ou à manger pour enseigner les amis de la vérité au sujet de son Père céleste (Marc 6:31-34). Combien cet état d’esprit contribuait à toucher les hommes!
2 Paul avait pour l’œuvre d’évangélisation la même attitude que Jésus. Pour lui, la prédication était une obligation dont il devait s’acquitter (I Cor. 9:16). Ressentons-nous avec la même urgence le désir de participer à la proclamation de la “bonne nouvelle”? Paul était disposé à se dépenser de toute son “âme” pour accomplir l’œuvre (Actes 20:24). Si nous adoptons cet excellent point de vue, nous saurons mieux nous acquitter de l’œuvre d’évangélisation qu’on nous a confiée.
3 Il y a de nombreuses façons de communiquer la “bonne nouvelle” aux personnes qui recherchent la vérité. Jésus mit l’accent sur l’importance de contacter personnellement les gens chez eux (Mat. 10:11-13). Lui-même allait de ville en ville et de village en village (Mat. 9:35). Paul donnait le témoignage “sur la place du marché avec ceux qui s’y rencontraient”. (Actes 17:17.) Il abordait également des groupes au hasard (Actes 16:13). Philippe parla de la vérité à un voyageur, sur la route (Actes 8:26-30). André communiqua la “bonne nouvelle” à quelqu’un de sa famille (Jean 1:40, 41). Nous avons donc de nombreux excellents exemples à suivre.
4 Peut-être que certains d’entre nous, en se rendant prochainement à un congrès, trouveront l’occasion de communiquer la “bonne nouvelle” à une personne. Ou il se peut que, pendant les vacances, nous ayons une conversation sans formalité et spontanée avec quelqu’un. De temps à autre, on peut visiter pendant nos vacances des parents qui ne sont pas dans la vérité, mais qui réagiront peut-être favorablement à une simple conversation biblique.
5 Lorsque nous voyageons d’une ville à une autre et nous arrêtons à une station-service pour prendre de l’essence, ou à un restaurant pour un repas, nous avons parfois l’occasion de donner le témoignage à un employé ou à un serveur. Peut-être nous demanderont-ils d’où nous sommes et si nous faisons bonne route. Pareille occasion se présentera, par exemple, lorsque nous nous rendons à un congrès ou en revenons. Ce sera peut-être le moment de laisser à la personne rencontrée une publication appropriée qui contribuera à répandre la “bonne nouvelle” et à planter dans son cœur des graines de vérité. De plus, si nous demeurons à l’hôtel, peut-être aurons-nous la possibilité d’avoir une conversation avec le directeur ou l’un des employés. Naturellement, notre conduite dans ces différents endroits est aussi un témoignage pour ceux qui nous observent. — Tite 2:1-14.
6 L’occasion peut également nous être donnée de visiter un territoire qui ne l’est pas souvent. Par exemple, des congrégations sont peut-être en mesure de visiter des territoires ruraux et de communiquer la “bonne nouvelle” à leurs habitants. Par ailleurs, le territoire de certaines congrégations comporte des quartiers de villégiature où il est possible de rencontrer de nombreuses personnes aux périodes de vacances.
7 Dans les transports publics, les autobus, les trains ou les avions, nous pouvons aussi entamer une conversation avec une personne assise auprès de nous. En effet, au cours de leurs déplacements, certaines gens aiment bien parler des conditions mondiales, des perturbations que connaissent les services publics, ou d’autres difficultés, autant de sujets qui conduisent à une discussion biblique.
8 Nous pouvons nous servir efficacement de l’offre du mois de juin (deux livres de poche et un livre de 384 ou 416 pages) pour répandre la “bonne nouvelle”.
9 Ainsi, de nombreuses occasions nous sont offertes de communiquer la “bonne nouvelle” à tous ceux qui cherchent la vérité. Nous avons les excellents exemples des hommes fidèles du passé qui se vouèrent à Dieu pour donner un témoignage à fond. Ils se sentaient obligés de s’acquitter de la mission que Jéhovah Dieu et Jésus Christ leur avaient confiée. Certains accomplissaient cette œuvre de maison en maison, tandis que d’autres le faisaient occasionnellement, sur les places de marché, sur les rivages et le long des routes en voyageant. Nous pouvons agir de même et éprouver les joies qu’il y a à prendre part à l’œuvre d’évangélisation. Nous avons pour mission de communiquer la “bonne nouvelle” au plus grand nombre possible de personnes. Le temps qui reste à ce système de choses est limité. Nous devrions donc faire tout notre possible pour mener à terme notre œuvre d’évangélisation.
10 Ne serait-il pas bien de prier individuellement et avec notre famille que Jéhovah bénisse notre travail? Nous pouvons, par exemple, le faire avant de partir dans le champ. Il est certain que Jéhovah bénira nos efforts si nous lui exprimons notre désir de faire connaître la “bonne nouvelle” cet été au plus grand nombre possible de personnes.
-
-
Notre témoignage porte-t-il du fruit?Ministère du Royaume 1979 | juin
-
-
Notre témoignage porte-t-il du fruit?
1 Que signifient pour nous les paroles de Jésus rapportées en Matthieu 24:14 et 28:19, 20? En tant que disciples du Fils de Dieu, sommes-nous conscients du besoin urgent qu’il y a, non seulement de proclamer là “bonne nouvelle”, mais encore de faire des disciples de ceux qui accueillent favorablement ce message, les enseignant à observer les commandements de Jésus? Le fait de nous acquitter de ce mandat donne vraiment un but à l’œuvre que nous accomplissons dans le service du champ. Nous ne chercherons pas uniquement à placer des publications, mais plutôt à discuter de la Bible avec nos interlocuteurs. Notre principal objectif sera de commencer des études bibliques, afin d’aider les gens à devenir de vrais disciples. Gardant cet objectif présent à l’esprit, nous prendrons également note de ceux qui n’ont manifesté que peu d’intérêt pour le message du Royaume.
2 Notre attitude est capitale. Désirons-nous vraiment faire des disciples pour Christ? Sommes-nous prêts à faire les efforts nécessaires? Au lieu de ne consacrer que quelques heures au service du champ de temps à autre, sommes-nous désireux de réserver régulièrement du temps pour conduire une étude biblique? Si oui, notre témoignage portera plus de fruit.
3 Trouver des brebis et conduire une étude biblique, cela fait-il l’objet de nos prières (I Jean 5:14)? Si oui, nous décourageons-nous facilement lorsque ces prières semblent rester sans réponse pendant quelque temps? Ou bien persévérons-nous dans la prière et agissons-nous conformément à ce que nous demandons?
4 Nous savons bien, évidemment, que tous les gens que nous rencontrons ne vont pas accepter une étude biblique. Souvent, ils rejettent le message du Royaume. Est-ce là une raison pour renoncer à faire des disciples? Imaginons les sentiments que Jérémie a dû éprouver après avoir prêché pendant quarante ans sans obtenir pratiquement de résultat. Certes, il se découragea; mais il se reprit et continua d’accomplir l’œuvre que Jéhovah lui avait confiée (Jér. 20:9). Il n’a pas eu la joie d’aider un grand nombre de personnes à changer d’attitude pour faire la volonté de Dieu, mais il a néanmoins vu le fruit de son travail. Ébed-Mélec et les fils de Jonadab ont été épargnés lors de la destruction de Jérusalem.
5 De même, aujourd’hui, il y a des proclamateurs qui participent au service du champ depuis de nombreuses années et qui n’obtiennent, selon toute apparence, que peu de résultats. Toutefois, grâce à leur persévérance ils ont eu le privilège d’aider, de façon ou d’autre, quelques personnes à prendre position pour la vérité: ainsi, celles-ci ont également la perspective de survivre à la “grande tribulation” à venir.
-