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“La Parole de vérité” — Assemblées des témoins de JéhovahLa Tour de Garde 1966 | 1er juillet
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enseignement. Les assemblées de “La Parole de vérité” ont été, pour les habitants de nombreux pays, un nouveau témoignage puissant de l’atmosphère merveilleuse de paix qui règne lorsque les chrétiens mettent en pratique la Parole de vérité.
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Questions de lecteursLa Tour de Garde 1966 | 1er juillet
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Questions de lecteurs
● Sur quel animal Jésus-Christ fit-il son entrée triomphale dans Jérusalem ? Matthieu 21:7 parle d’une ânesse et d’un ânon.
Jésus dit aux disciples qu’il envoya à Jérusalem : “Vous trouverez aussitôt une ânesse attachée, et un ânon avec elle ; détachez-les et amenez-les-moi.” (Mat. 21:2). Il y avait donc une mère, l’ânesse, et un ânon qui était encore avec sa mère. Puis, dans Matthieu 21:7, nous lisons : “Ils amenèrent l’ânesse et l’ânon, et ils mirent sur ceux-ci leurs vêtements de dessus, et il s’assit dessus.”
Nous comprendrons plus facilement de quel animal Jésus se servit réellement si nous lisons d’abord la prophétie que Jésus accomplit. Traduit directement de l’hébreu, le passage de Zacharie 9:9 (NW), est ainsi rendu : “Sois très joyeuse, ô fille de Sion. Pousse des cris de triomphe, ô fille de Jérusalem. Voici ! Ton roi lui-même vient à toi. Il est juste, oui, sauvé ; humble, et monté sur un âne, oui sur un animal adulte, le petit d’une ânesse.” Par conséquent, le Messie devait utiliser un animal “adulte”, issu “d’une ânesse”.
Les récits de Marc, Luc et Jean ne parlent que d’un seul animal, celui sur lequel Jésus était monté. Ils le désignent à la fois sous les noms d’“âne” et d’“ânon”. Il est évident que cet animal pouvait être identifié d’une façon satisfaisante par l’un ou l’autre de ces termes (Marc 11:2-7 ; Luc 19:30-35 ; Jean 12:14, 15). Il est intéressant de noter que Marc et Luc, en parlant de l’“ânon”, disent que c’est un animal “sur lequel aucun homme ne s’est encore assis”. Bien que ce fût un mâle ayant atteint son plein développement, il n’avait pas encore été séparé de sa mère et utilisé comme monture. C’est pourquoi les disciples amenèrent à Jésus l’ânesse et son petit, mais Jésus s’assit sur le mâle, l’ânon.
Le récit nous apprend que les disciples “mirent sur lui leurs vêtements de dessus, et [Jésus] s’assit dessus”. C’est ainsi que Jésus s’assit, non pas sur l’ânesse et sur son petit, mais sur les vêtements de dessus que les disciples avaient mis sur l’ânon. Puis le Christ entra à Jérusalem.
● Puisque Jude 7 montre que Sodome et Gomorrhe sont devenues un “exemple d’avertissement en subissant le châtiment judiciaire d’un feu éternel”, ce fait n’indique-t-il pas que les habitants de ces villes sont indignes d’une résurrection ?
Si nous nous bornions à la lecture de ce texte biblique, sans prendre en considération ce que dit le reste de la Bible sur cette question, nous pourrions aboutir à cette conclusion. Mais d’autres passages des Écritures présentent des faits supplémentaires dont il faut tenir compte si nous voulons tirer la bonne conclusion.
Par exemple, dans Matthieu 11:23, il est écrit : “Si les œuvres puissantes qui ont eu lieu au milieu de toi [Capernaüm] avaient eu lieu dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.” Il est évident que cela signifie, non pas que les habitants de Sodome au temps de sa destruction auraient encore vécu plus de 1 900 ans plus tard, à l’époque où Jésus prononça ces paroles, mais que la ville aurait subsisté en tant que lieu habité.
Le verset suivant se réfère au Jour du Jugement ; il est écrit : “Aussi je vous le dis, ce sera plus supportable pour la terre de Sodome au Jour du Jugement que pour toi.” (Mat. 11:24). De même, Matthieu 10:15 rapporte les paroles suivantes de Jésus : “En vérité je vous le dis, ce sera plus supportable pour la terre de Sodome et de Gomorrhe au Jour du Jugement que pour cette ville” dont les habitants rejetèrent le message que les disciples de Jésus leur apportaient. Pour que le jugement soit “plus supportable pour la terre de Sodome et de Gomorrhe” que pour d’autres, il serait nécessaire que les anciens habitants de ce pays fussent présents au Jour du Jugement. Ce n’est pas le pays au sens littéral, le sol, qui sera jugé. D’après le chapitre
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