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‘Voyez le bien pour tout votre dur travail’La Tour de Garde 1977 | 15 décembre
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impatience le temps où “assurément le Souverain Seigneur Jéhovah essuiera les larmes de tous les visages” et où il “fera pour tous les peuples (...) un banquet de mets bien huilés”, ce qui, avec toutes les autres choses que Dieu a créées avec amour, leur procurera une joie parfaite. — És. 25:6-8.
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Soyez sage — fuyez l’aviditéLa Tour de Garde 1977 | 15 décembre
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Soyez sage — fuyez l’avidité
“OUVREZ l’œil et gardez-vous de toute espèce de convoitise, car même si quelqu’un est dans l’abondance, sa vie ne procède pas des choses qu’il possède.” — Luc 12:15.
À quelle occasion Jésus déclara-t-il cela ? Une grande foule était en train de l’écouter quand un homme s’écria : “Dis à mon frère de partager l’héritage avec moi.” (Luc 12:13). Une telle requête n’était certainement pas fondée, puisque la Loi mosaïque stipulait que le fils premier-né devait recevoir deux parts de tout ce qui avait appartenu à son père. Il est donc évident que c’est la convoitise qui poussait cet homme à demander à Jésus de prononcer un jugement en sa faveur.
Les paroles de Jésus à propos de la convoitise, rapportées ci-dessus, étaient adressées à la foule qui avait entendu la demande de l’homme. Ces paroles montraient qu’une personne doit estimer les choses à leur juste valeur pour pouvoir fuir la convoitise ou l’avidité. Elle ne devrait pas perdre de vue le fait que, quel que soit l’objet de son désir, il ne peut en aucune façon contribuer à préserver sa vie. En fait, l’avidité peut mener au désastre.
Ceci est bien illustré par ce qui arriva à Guéhazi, le serviteur du prophète hébreu Élisée. Naaman, chef de l’armée syrienne, avait été guéri par Élisée de cette maladie repoussante qu’est la lèpre et voulut lui offrir un présent pour le remercier de cette guérison miraculeuse. Mais le prophète le refusa, ne voulant pas tirer profit de la fonction et des pouvoirs que Jéhovah lui avait donnés. Guéhazi, cependant, convoitait le présent en se disant qu’il convenait de l’accepter. Il courut
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