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L’alcoolisme — la cause et le remèdeLa Tour de Garde 1974 | 15 novembre
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Dieu”. Cela aura lieu dans l’ordre nouveau que Dieu instaurera et qui établira la paix sur la terre et redonnera la santé à tous ceux qui aiment la justice et la vérité. — Rom. 8:20-22.
Un nombre croissant de gens ont trouvé une compagnie très saine en fréquentant les témoins de Jéhovah dans leurs Salles du Royaume et ont ainsi trouvé une espérance solide et appris d’excellents principes, qui leur permettent de résoudre leurs problèmes journaliers. Parmi eux, nombreux sont ceux qui ont souffert de l’alcoolisme ou qui avaient d’autres problèmes aussi graves, et qui les ont maintenant résolus. N’hésitez donc pas à profiter de l’aide que les témoins vous offrent au moyen de la Bible.
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Regard sur l’actualitéLa Tour de Garde 1974 | 15 novembre
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Regard sur l’actualité
ROME, CHAMP D’ACTIVITÉ POUR LES MISSIONNAIRES ?
Parmi les pénuries qui affectent le monde, il en est une qui affecte les Églises : la pénurie de prêtres. D’après un rapport récent du Vatican, 3 009 prêtres seulement ont été ordonnés dans le monde en 1973, alors que 4 025 prêtres sont morts au cours de la même année.
Rome tout particulièrement est durement touchée. Dernièrement, le journal italien “Il Mondo” a rapporté que dans cette ville de trois millions d’habitants seuls six prêtres ont été ordonnés en 1971. D’après ce journal, si cette tendance continue Rome pourrait être un “champ d’activité pour les missionnaires” dans un quart de siècle.
Certes, il y a plusieurs milliers de prêtres à Rome mais la plupart sont employés au Vatican. Enfin “Il Mondo” dit que l’Église a été obligée de faire venir des prêtres étrangers pour s’occuper des activités paroissiales courantes. Actuellement, un peu plus de la moitié des églises de Rome sont attribuées à ces “prêtres remplaçants” appelés d’Espagne, d’Angleterre, d’Allemagne, de l’Inde et de divers pays africains. Quinze églises de Rome ont maintenant des curés ou des vicaires chinois.
En vérité, d’étranges situations apparaissent aujourd’hui dans le monde. Toutefois, la prophétie biblique permet de discerner qu’elles font partie d’un tout. Les problèmes qui tourmentent actuellement les religions du monde ne sont que des signes avant-coureurs d’une ruine prochaine représentée dans la prophétie comme la destruction de “Babylone la Grande”, l’empire mondial de toute la fausse religion. — Rév. 17:1, 16.
MALADIE OU PROBLÈME DE LA PERSONNALITÉ ?
En Russie, l’alcoolisme est un problème grave. Récemment, la publication officielle “Literaturnaya Rossiya” a insisté pour qu’il soit considéré comme une “maladie” et non comme une ‘survivance du temps des tsars’.
Partout, il est aujourd’hui courant de qualifier l’alcoolisme de “maladie”, manière de voir qui est approuvée par les Alcooliques anonymes (d’anciens alcooliques qui s’efforcent d’aider d’autres alcooliques à devenir sobres) et par l’Association américaine des médecins. Cette désignation est censée affranchir l’alcoolique d’une grande honte et inciter les autres à plus de compréhension. Aux États-Unis, elle permet aux organisations qui soignent les alcooliques d’obtenir des crédits du gouvernement — crédits alloués pour le traitement des maladies et non des problèmes de la personnalité. Toutefois, les médecins ne sont pas tous d’accord pour qualifier l’alcoolisme de “maladie”.
Dans la chronique qu’il tient périodiquement dans un journal, le Dr Theodore R. Van Dellen reconnaît que quiconque boit à l’excès et nuit à son foie, à son cerveau et à son cœur est effectivement “malade”. “Cependant, dit-il, l’habitude, la personnalité, le caractère et la responsabilité entrent quelque part en ligne de compte.”
Pareillement, le Dr David M. Gimlett, écrivant dans l’“American Medical News”, dit qu’en qualifiant l’alcoolisme de maladie, “on court réellement le risque de donner à entendre aux malades et au personnel qui les soigne que l’individu n’est pas responsable de son état et que par conséquence, l’attribution d’une responsabilité individuelle ne fait pas nécessairement partie du ‘traitement’”.
Au premier siècle, un médecin du nom de Luc cita Jésus Christ, qui déclara : “Prenez garde à vous-mêmes, de peur que vos cœurs ne s’alourdissent dans les excès de table, les excès de boisson et les inquiétudes de la vie, et que soudain ce jour-là [du jugement de Jéhovah] ne soit tout de suite sur vous, comme un piège.” (Luc 21:34, 35). C’est dans le cœur qu’est la clé du problème, et quand la détermination de l’individu est sincère, l’alcoolisme peut être vaincu.
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