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À qui irions-nous, sinon à Jésus Christ?La Tour de Garde 1979 | 1er juin
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“Seigneur, à qui irions-nous? Tu as des paroles de vie éternelle; aussi nous avons cru et nous avons reconnu que tu es le Saint de Dieu.” (Jean 6:67-69). Il en est de même aujourd’hui. Compte tenu de tout ce qui précède, la sagesse veut que nous restions attachés à “l’esclave fidèle et avisé”. Non seulement il nous rend intelligibles les “paroles de vie éternelle”, mais il nous aide à les mettre en pratique pour notre plus grand bien présent et futur. Ne devrions-nous pas être reconnaissants à Jéhovah et à Jésus Christ de nous avoir donné cet “esclave”?
19. Comment pouvons-nous montrer à Jéhovah Dieu que nous sommes reconnaissants des services de “l’esclave fidèle et avisé”?
19 Il y a bien des manières de manifester cette gratitude. Nous pouvons le faire en coopérant avec “l’esclave fidèle” dans l’œuvre qui consiste à prêcher et à faire des disciples, en absorbant avidement la nourriture spirituelle que cet “esclave” nous sert sous forme de livres et de périodiques et en assistant aux réunions de la congrégation. N’oublions pas non plus le privilège que nous avons de pouvoir prier pour que l’esprit de Jéhovah guide et fortifie “l’esclave” dans sa mission. Selon que nos moyens nous le permettent, nous avons aussi la possibilité de contribuer matériellement aux dépenses qu’entraîne l’œuvre mondiale. Oui, ce sont là diverses façons de montrer que nous apprécions la manière dont Jéhovah Dieu se sert de “l’esclave fidèle et avisé” et le bénit, et que nous possédons une foi vivante et active qui se manifeste par des œuvres. — Jacq. 2:17, 26.
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Jusqu’à quand Dieu m’oubliera-t-il?La Tour de Garde 1979 | 1er juin
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Psaumes
Jusqu’à quand Dieu m’oubliera-t-il?
FACE à de dures épreuves, avez-vous jamais eu le sentiment que Dieu vous avait complètement oublié? Vous êtes-vous demandé s’il n’y avait pas un certain mécontentement de sa part et si, pour cette raison, il ne vous accordait pas l’aide nécessaire pour résoudre les problèmes qui vous accablaient?
David en arriva à éprouver de tels sentiments, peut-être lorsqu’il fut persécuté par le roi Saül ou, par la suite, au moment de la révolte de son fils Absalom. Quelle que soit l’époque en question, les épreuves de David durèrent si longtemps qu’elles finirent par le décourager, et qu’il en vint lui-même à se demander si Jéhovah ne l’avait pas oublié. Poussé par de tels sentiments, il s’écria: “Jusqu’à quand, ô Jéhovah, m’oublieras-tu? À jamais? Jusqu’à quand me cacheras-tu ta face?” (Ps. 13:1). Pour David, c’était comme si Jéhovah avait caché sa face en signe de mécontentement et ne voulait pas intervenir
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