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CirconcisionAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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Si, quelque temps après ce décret, Paul circoncit Timothée, ce ne fut pas pour une question de foi, mais pour éviter de susciter des préjugés chez les Juifs à qui ils allaient prêcher (Actes 16:1-3; I Cor. 9:20). L’apôtre Paul traita de la circoncision dans plusieurs de ses épîtres (Rom. 2:25-29; Gal. 2:11-14; 5:2-6; 6:12-15; Col. 2:11; 3:11). “Nous sommes, nous, ceux qui ont la vraie circoncision [celle du cœur], nous qui, par l’esprit de Dieu, servons par un service sacré”, écrivit Paul aux chrétiens non juifs de Philippes (Phil 3:3). À ceux de Corinthe, le même apôtre écrivit: “La circoncision ne signifie rien et l’incirconcision ne signifie rien, mais ce qui signifie quelque chose, c’est l’observation des commandements de Dieu.” — I Cor. 7:19.
Symboliquement parlant, la “circoncision” revêt différents sens figurés. Ainsi, quand on avait planté un arbre en Terre promise, on devait ‘considérer son fruit comme son “prépuce”. Pendant trois ans il restait incirconcis. On ne devait pas le manger’. (Lév. 19:23.) De même, Moïse dit à Jéhovah: “Voici que je suis incirconcis des lèvres. Comment donc Pharaon m’écouterait-il?” (Ex. 6:12, 30). Figurément parlant, on désignait du nom d’“incirconcis” les gens pour qui on éprouvait de la répulsion et du mépris, et qui ne méritaient qu’une sépulture dans une fosse commune, avec les exécutés de la pire espèce. — Ézéch. 32:18-32.
Dieu exigeait des Israélites qui étaient déjà circoncis dans la chair qu’ils fassent aussi circoncire leur cœur. Moïse déclara en Israël: “Vous devrez circoncire le prépuce de votre cœur et ne plus raidir votre cou.” “Jéhovah, ton Dieu, devra circoncire ton cœur et le cœur de ta descendance, pour que tu aimes Jéhovah, ton Dieu, de tout ton cœur et de toute ton âme, par égard pour ta vie.” (Deut. 10:16; 30:6). C’est également ce que Jérémie rappela à la nation rebelle de son époque (Jér. 4:4). ‘Circoncire son cœur’ signifie éliminer de ses mobiles et de ses centres d’intérêt tout ce qui déplaît à Jéhovah, ce qui est impur à ses yeux et qui rend le cœur insensible. De même, on qualifie d’‘incirconcises’ les oreilles qui se ferment ou qui ne veulent pas entendre. — Jér. 6:10; Actes 7:51.
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CireAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CIRE
La cire dont il est question dans la Bible est probablement la cire d’abeille, substance jaune sombre que cet insecte utilise pour former les parois ds alvéoles dans lesquels il se dépose du miel ou des larves. Ce sont les ouvrières qui produisent la cire. Après avoir consommé d’importantes quantités de miel, elles sécrètent la cire dans des glandes spéciales de leur abdomen. La cire, qui est excrétée par de minuscules orifices forme des petits flacons blancs à l’extérieur de l’abdomen de l’abeille, qui le porte alors à sa bouche et les mastique avant de s’en servir comme matériau de construction. L’abeille commande sa production de cire et ne la fabrique qu’en fonction des besoins. — Voir ABEILLE.
Il est facile de séparer la cire du miel. Si l’on fait fondre ce dernier dans de l’eau tiède, la cire remonte à la surface de l’eau où l’on peut l’écumer. Dans plusieurs images poétiques de la Bible, la fusion de la cire représente la détresse du cœur (Ps. 22:14), la dissolution de montagnes et de plaines (Ps. 97:5; Michée 1:4), et la destruction des ennemis de Dieu. Le Psalmiste s’exclame: “Comme fond la cire, à cause du feu, que les méchants périssent de devant Dieu!” — Ps. 68:1, 2.
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Cisaille à émonderAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CISAILLE À ÉMONDER
Voir INSTRUMENTS AGRICOLES.
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CisaillesAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CISAILLES
{Article non traduit.}
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CitéAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CITÉ
{Article non traduit.}
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CiterneAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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CITERNE
Cavité artificielle creusée dans le sol, servant généralement à conserver l’eau. À la différence des puits qui sont creusés pour atteindre des nappes d’eau souterraines, les citernes sont essentiellement destinées à recueillir et à conserver les eaux de ruissellement, qu’elles soient pluviales ou de source. Contrairement aux étangs, elles sont généralement couvertes. Le mot hébreu pour “citerne”, bôr, est également traduit par “cachot” lorsque la cavité en question est utilisée à cette fin (Gen. 40:15) et par “fosse” quand il est fait allusion au “Schéol”. — Ps. 30:3; Prov. 1:12; Ézéch. 31:14, 16.
Les citernes étaient indispensables en Palestine dans les temps bibliques. C’était fréquemment le seul moyen de maintenir une réserve d’eau suffisante, car les puits et les sources étaient rares dans les régions montagneuses et, là où il y en avait, ils étaient souvent taris vers la fin de l’été. Ces réservoirs artificiels permirent même à des villages de s’établir en des endroits où l’eau aurait été trop rare autrement, comme dans le Négueb. Jéhovah donna à son peuple l’assurance qu’il trouverait des citernes déjà creusées quand il entrerait en Terre promise (Deut. 6:10, 11; Néh. 9:25). La Bible signale que le roi Ozias tailla “de nombreuses citernes” dans tout le pays de Juda (II Chron. 26:1, 10). De la haute Galilée jusqu’au Négueb, les citernes se dénombraient littéralement par milliers et on en a découvert une multitude, certaines parties du territoire en étant absolument criblées. Il semblait souhaitable que chaque foyer possédât sa propre citerne, même chez les Moabites. D’après la stèle de Mésa, ce roi moabite, qui vécut au dixième siècle avant notre ère, déclara: “Il n’y avait pas de citerne au milieu de la cité, dans Qerihô, aussi donna–t–on cet ordre à tout le peuple: ‘Faites–vous chacun une citerne dans votre maison!’” (Sur la pierre et l’argile, H. Michaud, pp. 39, 40). Sennachérib tenta de séduire les habitants de Jérusalem en leur promettant que s’ils capitulaient devant lui, chacun pourrait boire “l’eau de sa propre citerne”. — II Rois 18:31; És. 36:16.
En général, les citernes étaient taillées dans le roc. Quand la roche était massive et sans fissure, il y avait peu de risques de fuites, mais dans le calcaire poreux qui recouvre la plus grande partie de la Palestine, il fallait étancher les parois avec du plâtre. Le fond et les parois des citernes creusées dans la terre étaient couverte d’une maçonnerie de briques ou de pierres que l’on plâtrait ensuite pour former des murs compacts. Ces citernes, dont l’ouverture ne mesurait parfois que de 30 à 50 centimètres de diamètre, s’élargissaient de plus en plus vers le fond, si bien qu’elles avaient la forme d’une poire.
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