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Le pouvoir de la Parole de Dieu dans ma vieLa Tour de Garde 1977 | 15 mars
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la société ne le permettrait pas. Nous avons dû attendre la décision pendant huit mois.
J’écris ces lignes de chez moi et non d’une prison. En effet, la compagnie a donné son accord pour que je rembourse ma dette. Ainsi, non seulement nous avons eu la joie d’inculquer la connaissance de Jéhovah à nos enfants, mais à notre dernière assemblée de circonscription notre fille de seize ans a symbolisé l’offrande de sa personne à Jéhovah Dieu par le baptême. Ensuite, après avoir terminé ses études, elle est devenue pionnier auxiliaire. Le 1er juillet 1976, j’ai commencé moi aussi le service à plein temps.
Mon mari a maintenant des responsabilités dans la congrégation et, l’été dernier, pendant les vacances, il a eu le privilège de travailler à deux assemblées de district.
Nous remercions Jéhovah pour sa bonté et sa miséricorde, et de nous avoir permis de le servir. Nous avons vraiment pu vérifier la véracité du Psaume 144:15, qui déclare : “Heureux est le peuple dont le Dieu est Jéhovah !”
— D’une de nos lectrices.
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Vous en souvenez-vous ?La Tour de Garde 1977 | 15 mars
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Vous en souvenez-vous ?
Avez-vous lu attentivement les derniers numéros de La Tour de Garde ? Si oui, vous vous souviendrez certainement de ces quelques pensées :
● Comment, d’après Romains 8:3, Jésus Christ a-t-il “condamné le péché dans la chair” ?
En accomplissant parfaitement la volonté de Dieu, l’homme Jésus Christ a démontré que le péché n’est pas quelque chose de nécessaire ou d’inhérent chez l’homme. — P. 453.
● À qui l’apôtre Paul fait-il particulièrement allusion quand, dans sa lettre aux Philippiens, il parle de ceux qui “prêchent le Christ par envie et par rivalité” ? — Phil. 1:15.
Il pensait surtout aux Juifs qui se disaient chrétiens, mais qui s’étaient détournés de l’enseignement des apôtres. Ces Juifs avaient peur d’être persécutés ou de devenir un objet de honte. N’ayant pas de bons mobiles, ils cherchaient à provoquer la contestation et à susciter des doutes et des divisions, afin de détruire le travail de Paul. — P. 488.
● Comment les chrétiens sont-ils transformés à l’image de Dieu “de gloire en gloire” ? — II Cor. 3:18.
En proclamant la vérité de Dieu et en se conformant toujours plus à sa personnalité et à ses voies, les chrétiens peuvent progresser de gloire en gloire. Leurs paroles et leurs actions glorifient davantage le Dieu dont ils cherchent à refléter l’image. — Pp. 519, 520.
● Sommes-nous certains que Jéhovah Dieu agira toujours avec justice ?
Oui, car nous disposons du récit digne de foi de ses actions en faveur de Noé, d’Abraham et de nombreux autres humains, récit qui montre clairement que Dieu n’agira jamais d’une manière injuste, mais toujours en accord avec ses règles de justice immuables. — Pp. 530-532.
● Pourquoi Dieu ne s’est-il pas montré partial en choisissant les Israélites pour en faire son peuple ?
Jéhovah a choisi les Israélites non pas en raison de leur puissance ou de leur grand nombre, mais à cause de l’amour que leurs ancêtres lui avaient témoigné (Deut. 4:37). Dieu ne les a pas favorisés d’une manière partiale, car il leur a demandé des comptes, et cela d’une manière plus exigeante qu’aux autres peuples qui n’avaient pas reçu ses lois. En outre, le Très-Haut a agi de manière à ce que toute l’humanité puisse être bénie et puisse bénéficier de toutes les bonnes choses qu’il a prévues pour la vie. Il n’empêcha pas non plus les gens des autres nations de se tourner vers lui pour bénéficier de sa sollicitude. — Pp. 547, 548.
● Comment pouvons-nous éviter de développer une jalousie injustifiée dans notre cœur et chez les autres ?
Pour cela, il faut s’efforcer de cultiver un plus grand amour pour nos semblables et apprendre à apprécier leurs qualités et leurs actions. Nous devons aussi veiller à nos paroles et à nos actes, afin qu’ils ne provoquent pas la jalousie des autres. — Pp. 579, 580.
● D’après Hébreux 4:12, en quel sens la ‘parole de Dieu s’est-elle révélée vivante’ en rapport avec la promesse qui avait été faite à Israël ?
Les Israélites qui furent délivrés de l’esclavage en Égypte avaient reçu la promesse qu’ils entreraient dans le repos de Dieu, en ce sens que durant leur vie en Terre promise ils se reposeraient ou seraient soulagés après l’esclavage et l’oppression qu’ils avaient subis. Cette parole ou promesse n’était pas morte, mais bien vivante ; sa réalisation était certaine. Effectivement, les Israélites qui exercèrent la foi dans cette promesse entrèrent dans un repos en Terre promise. — P. 663.
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