18e partie : “ Que ta volonté soit faite sur la terre ”
Après que Jésus eut été baptisé dans le Jourdain par Jean-Baptiste, Jéhovah Dieu le baptisa des cieux du saint esprit, l’instituant ainsi comme “ Roi qui imposera la volonté suprême ” dans le monde nouveau de justice. Il devint le “ rocher ” symbolique sur lequel l’assemblée des disciples devait être édifiée. Il se mit à rassembler des disciples qui deviendraient “ les saints qui régneront ” avec lui dans son royaume céleste sur le monde nouveau. Le jeudi soir, nuit de la pâque, le 14ème jour du mois de Nisan, en l’an 33 de notre ère, il célébra d’abord la pâque juive avec ses onze fidèles apôtres. Ensuite, il introduisit ce qui est appelé “ le souper du Seigneur ”. Il rompit le pain sans levain et le leur offrit à manger, disant qu’il représentait son corps humain parfait qui devait être sacrifié en faveur des pécheurs humains. Puis il leur offrit une coupe de vin à boire en leur disant que le vin symbolisait son sang, par ces paroles : “ Ceci signifie mon “ sang de l’alliance ” qui doit être répandu pour beaucoup, pour la rémission des péchés. ” — Mat. 26:27, 28.
CHAPITRE VII
LES SAINTS QUI GOUVERNERONT
16. Par conséquent, de quoi ce souper annuel devrait-il les aider à s’abstenir ? Et, en souvenir de quoi le célèbrent-ils ?
16 La célébration annuelle du souper du Seigneur, le quatorzième jour de Nisan, calendrier lunaire, devait permettre aux participants de résister avec plus de force à toutes les formes d’idolâtrie et de rendre un dévouement exclusif au seul vrai Dieu vivant, Jéhovah, qui pourvut en leur faveur à son Agneau, Jésus-Christ. Jésus n’ordonna pas à ses disciples de célébrer son anniversaire, dont la date exacte n’est pas donnée dans la Bible, la célébration des anniversaires humains étant une coutume païenne. Cependant, il imposa une célébration à son assemblée fidèle des Israélites spirituels : Le “ souper du Seigneur ” qu’il institua à Jérusalem, ce soir de la pâque. Il “ prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci (signifie, NW) mon corps, qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. ” Et l’apôtre Paul, commentant cet événement, déclara : “ Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. ” (I Cor. 11:23-26). C’est ainsi que Jésus nous ordonna de célébrer sa mort, non sa naissance.
17. Quand et combien de fois les témoins modernes de Jéhovah ont-ils célébré le souper du Seigneur ? Depuis quelle date, selon les rapports ?
17 Depuis 1870, selon les rapports publiés, en obéissance à cet arrangement et commandement du Seigneur Jésus-Christ, le peuple voué, engendré de l’esprit, que Jéhovah a introduit dans sa nouvelle alliance, a célébré le souper du Seigneur tous les ans, le jour anniversaire de son institution par Jésus, le 14 Nisana.
18. Comment se sont-ils efforcés de prendre part aux symboles sans apporter de jugement contre eux-mêmes ?
18 Dans le pain sans levain et le vin utilisés en cette circonstance, ils ont discerné le corps humain parfait et le sang du Seigneur Jésus, leur cœur étant rempli de gratitude. Ils se sont efforcés de manifester un respect et une appréciation convenables pour ces précieuses dispositions en vue de leur salut, afin de ne pas participer aux symboles d’une manière qui déprécierait ces choses. Ils avaient à l’esprit l’avertissement de Paul : “ C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par (Jéhovah), afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. ” — I Cor. 11:27-32, 20, 21.
19. Depuis 1932 en particulier, quelle grande foule a assisté à la célébration du souper du Seigneur ? Et pourquoi ?
19 Tout particulièrement depuis la célébration du souper du Seigneur, le dimanche 20 mars 1932, après le coucher du soleil, des multitudes de personnes semblables à des brebis, les “ autres brebis ” du bon berger Jésus-Christ, ont assisté à cette célébration annuelle, non pour prendre part aux symboles, mais pour observer. Par exemple, à la Commémoration qui eut lieu le 3 avril 1958, après le coucher du soleil, il y eut, selon les rapports, une assistance de 1 150 000 personnes dans les lieux de réunion des témoins de Jéhovah du monde entier. De ce nombre, 15 000 seulement participèrent au pain et à la coupe. La “ grande foule ” des autres brebis n’y prit aucune part, ses membres reconnaissent ne pas appartenir à l’assemblée des Israélites spirituels dans la nouvelle alliance validée par le sang de Jésus. Ils reconnaissent aussi que Jésus institua ce souper avec ceux qui devaient être introduits dans l’alliance pour le Royaume. À table, dans la discussion qui suivit ce nouveau souper, Jésus dit à ses onze fidèles apôtres : “ Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ; c’est pourquoi (je fais une alliance avec vous comme mon Père a fait une alliance avec moi, pour un royaume, NW), afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël. ” (Luc 22:28-30). Les “ autres brebis ”, présentes en qualité d’observatrices, ont en elles la preuve scripturale qu’elles ne sont pas dans cette alliance pour le Royaume.
20. Que fit Jésus aux onze apôtres qui s’enfuirent quand il fut trahi ? Et quand furent-ils introduits dans la nation de l’Israël spirituel ?
20 Il est vrai que ces onze apôtres s’enfuirent et abandonnèrent Jésus quand il fut arrêté un peu plus tard cette nuit-là, dans le jardin de Gethsémané. Mais, après sa résurrection d’entre les morts, le matin du 16 Nisan, Jésus apparut à ses disciples qui, pleins de crainte, s’assemblaient dans la clandestinité. Quarante jours plus tard, il leur apparut pour la dernière fois. Il leur annonça que le royaume de Dieu ne serait pas restauré pour la nation terrestre d’Israël et leur ordonna de rester à Jérusalem jusqu’à ce que le saint esprit de Dieu vînt sur eux. Puis, il monta au ciel et échappa à leur vue. Alors, deux anges leur apparurent et dirent : “ Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel. ” (Actes 1:1-11). Dix jours plus tard, le jour de la fête de la Pentecôte à Jérusalem, Jésus-Christ, à la droite de son Père dans le ciel, les baptisa du saint esprit, lequel, par une manifestation miraculeuse, fut répandu sur les 120 disciples rassemblés. Ils furent ainsi engendrés de l’esprit pour être des enfants spirituels de Dieu et furent introduits dans la nation nouvellement née de l’Israël spirituel.
21. Dans quelle alliance furent-ils introduits grâce au sang de Jésus ? Dans quel but furent-ils oints et sanctifiés ?
21 En leur qualité d’Israélites spirituels, ils furent introduits dans la nouvelle alliance au moyen du sang répandu du Médiateur, Jésus-Christ, et devinrent le peuple pour le nom de Jéhovah, ses témoins. Ils furent oints pour être héritiers du Royaume avec Jésus-Christ et introduits ainsi dans l’alliance pour le Royaume, avec lui, l’Héritier et Seigneur du roi David. Par cette onction du saint esprit, ils furent délégués ou ordonnés pour prêcher la bonne nouvelle du Royaume à toutes les nations. Par le pouvoir sanctifiant du saint esprit, ils devinrent des “ saints ” ou “ une nation sainte ”. — Actes 2:1-38 ; Rom. 8:15-17 ; I Jean 2:20, 27 ; I Pierre 2:9.
ORGANISATION DE L’ASSEMBLÉE SUR LA MASSE DE ROCHER
22. Quand Jésus commença-t-il à bâtir l’assemblée sur la masse de rocher, et qui employa-t-il comme fondements secondaires ?
22 En ce jour de la Pentecôte où ses disciples sur la terre furent baptisés du saint esprit, Jésus commença à bâtir son assemblée sur lui-même en tant que masse de rocher (petra). Longtemps auparavant, Jéhovah avait employé les douze fils de Jacob (Israël) comme fondements de la nation d’Israël, composée de douze tribus (Gen. 49:1, 2, 28). Suivant cet exemple, Jésus-Christ employa ses douze fidèles apôtres comme fondements secondaires édifiés sur lui-même. Il décrivit son assemblée comme une ville ayant douze pierres fondamentales : “ La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l’agneau. ” (Apoc. 21:14). Mais, pour montrer que Jésus glorifié dans le ciel est le fondement de sustentation, l’apôtre Paul dit à l’assemblée : “ Vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes (chrétiens), Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire. En (union avec, NW) lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint (pour Jéhovah, NW). En (union avec) lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en esprit. ” — Éph. 2:19-22.
23, 24. Qu’impliquait l’édification par Jésus de l’assemblée sur lui-même ? Comment Paul le fit-il comprendre dans Éphésiens 4:10-14 ?
23 En édifiant l’assemblée sur lui-même comme masse de rocher, Jésus la bâtit non seulement en amoncelant sur lui-même des “ pierres vivantes ”, ses disciples voués et baptisés, mais encore en les organisant pour le service de Jéhovah en tant que temple ou sanctuaire de Dieu. Cela réclamait la nomination de nombreux serviteurs spéciaux et leur affectation à des fonctions au sein de l’assemblée. L’apôtre Paul explique cela dans les termes suivants concernant le travail d’organisation accompli par Jésus dans le ciel :
24 “ Celui qui est descendu (sur la terre), c’est le même qui est monté au-dessus de tous les cieux, afin de remplir toutes choses. Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes (missionnaires, NW), les autres comme pasteurs et docteurs (instructeurs, NW), pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance (exacte, NW) du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants. ” — Éph. 4:10-14.
25. Quel était le dessein de Jésus en organisant l’assemblée et en y établissant des serviteurs spéciaux ?
25 En organisant l’assemblée et en nommant des serviteurs spéciaux, Jésus voulait que les saints reçoivent une formation complète en vue de l’œuvre ministérielle, qu’ils ne restent pas des enfants mais deviennent tous des hommes faits en union avec le Christ, des “ personnes d’âge avancé ” du point de vue spirituel chrétien, des “ anciens ” ou personnes d’un âge mûr, comme le préfiguraient les vingt-quatre “ anciens ” de la vision de Jean, assis sur des trônes autour du trône céleste de Dieu. — Apoc. 4:4, 10b.
26. Comment de nombreuses assemblées furent-elles établies à l’extérieur de Jérusalem ? Là où l’on disposait d’hommes compétents, que possédaient les assemblées ?
26 La première assemblée chrétienne locale fut établie à Jérusalem. Le corps dirigeant visible de la “ nation sainte ” de l’Israël spirituel y avait son siège, lequel fut transféré peu de temps avant la destruction de Jérusalem, en 70. Mais, par suite du vaste témoignage, rendu dans la ville à la Pentecôte et dans les jours qui suivirent à des milliers de visiteurs qui devinrent des croyants, des assemblées furent établies dans de nombreuses autres agglomérations, villes et communautés. Leur nombre s’accrut encore après que l’autorisation eut été donnée de prêcher la bonne nouvelle du Royaume aux non-Juifs à partir de l’an 36 apr. J.-C. Toutes ces assemblées étaient organisées, sur le plan local, en vue des réunions et de la prédication dans le champ. Là où l’on pouvait disposer de tels serviteurs spéciaux, l’assemblée avait des serviteurs ministériels, surveillants et assistants. Par exemple : À qui Paul écrivit-il dans la ville de Philippes en Macédoine ? Voici l’introduction de sa lettre aux Philippiens : “ Paul et Timothée, serviteurs de Jésus-Christ, à tous les saints en Jésus-Christ qui sont à Philippes, aux (surveillants et serviteurs ministériels, NW). ” (Phil. 1:1). Paul appela aussi l’attention sur les surveillants de l’assemblée d’Éphèse, en Asie Mineure. — Actes 20:17-28.
27. Pourquoi les lettres de Paul à Timothée et à Tite avaient-elles un caractère particulier ? Que devaient être tous les serviteurs spéciaux avant d’être nommés ?
27 Timothée et Tite étaient des surveillants généraux au-dessus des assemblées dans certains territoires désignés. Il s’ensuit que les deux lettres de Paul à Timothée et celle qu’il adressa à Tite sont en réalité des instructions destinées aux surveillants. Cependant, dans I Timothée 3:1-12 et Tite 1:5-9, l’apôtre Paul énonce les qualités requises de ceux que Timothée et Tite jugeraient aptes à être établis surveillants et serviteurs ministériels dans les assemblées chrétiennes locales. Naturellement, tous ces serviteurs spéciaux devaient être des “ anciens ”, chrétiens, ou des hommes âgés du point de vue spirituel. Il en dut être ainsi des douze apôtres ; et Pierre parle de lui-même comme d’un “ ancien ” ou “ presbytre ” (d’après le grec) quand il écrit : “ Les anciens qui sont parmi vous, je les exhorte, moi, ancien (presbyteros, grec ; presbytre, Li), comme eux, témoin des souffrances du Christ, et qui dois participer à la gloire qui va être révélée. ” — I Pierre 5:1, Jé.
28. De quoi le corps dirigeant à Jérusalem se composait-il nécessairement ? Qu’est-ce qui montre qu’il comprenait plus de douze apôtres ?
28 Le corps dirigeant à Jérusalem ne se composait que d’“ anciens ” ou “ presbytres ” ou “ hommes âgés ”. Parmi ces hommes il n’y avait pas seulement les “ douze apôtres de l’agneau ” mais encore d’autres serviteurs de l’assemblée établie dans cette ville. Le récit contenu dans Actes 15:1, 2, 6, 22, 23 (Jé) rapporte que, lorsque l’assemblée d’Antioche en Syrie soumit une question controversée au corps dirigeant à Jérusalem, “ les apôtres et les anciens (presbytres, Li) se réunirent pour examiner cette affaire ”. Après avoir discuté, la question fut tranchée, et “ les apôtres et les anciens ” décidèrent d’envoyer certains hommes, chargés d’une lettre exposant leur décision. La lettre commençait ainsi : “ Les apôtres et les anciens (presbytres, Li), vos frères, aux frères de la gentilité (d’entre les nations, Da) qui sont à Antioche, en Syrie et en Cilicie. ” Mais comment tous ces hommes devinrent-ils des anciens ?
29. Dans la chrétienté, que sont devenus les termes “ ancien ” et “ dignité d’ancien ” ? Quelles questions soulevons-nous au sujet des textes présentés à l’appui : Actes 14:23 et Tite 1:5 ?
29 Dans les assemblées de la chrétienté, le terme “ ancien ” est devenu un titre et la “ dignité d’ancien ”, une position ou fonction à laquelle des hommes sont nommés. À l’appui de cette conception, les organisations religieuses ayant de tels anciens et dignité d’ancien invoquent Actes 14:23 qui parle de Paul et de Barnabas en leur qualité de fondateurs des assemblées : “ Ils firent nommer des anciens dans chaque église, et, après avoir prié et jeûné, ils les recommandèrent au Seigneur, en qui ils avaient cru. ” Dans Tite 1:5, nous lisons aussi : “ Je t’ai laissé en Crète, afin que tu mettes en ordre ce qui reste à régler, et que, selon mes instructions, tu établisses des anciens dans chaque ville. ” Cependant, faut-il entendre par là la nomination d’hommes à la dignité d’ancien comme à une fonction, ou la nomination d’hommes, déjà anciens au sens prescrit, à des fonctions ou positions de service dans les assemblées ? La “ dignité d’ancien ” s’obtient-elle par nomination ?
30. En Israël, vers qui Jéhovah envoya-t-il Moïse en particulier ? Que déclare au sujet des “ anciens ” “ The Jewish Encyclopedia ” ?
30 Selon le récit, aux jours lointains du prophète Moïse, l’assemblée de l’Israël naturel avait des “ anciens ”. Jéhovah Dieu envoya Moïse spécialement vers ces “ anciens ” ou hommes âgés d’Israël (Ex. 3:16, 18). Mais ces anciens étaient-ils nommés à cette dignité ou devenaient-ils des anciens en croissant physiquement et mentalement ? The Jewish Encyclopedia, tome V (de 1910), page 92, sous le titre “ Ancien ”, déclare :
Dans les temps primitifs, l’âge était une condition exigée de ceux qui détenaient l’autorité. Non seulement parmi les anciens Juifs mais aussi parmi les autres nations de l’antiquité, les anciens de la nation ou du clan formaient la classe officielle. L’institution d’anciens existait parmi les Égyptiens (Gen. 50:7), parmi les Madianites (Nomb. XXII 7), et plus tard parmi les Grecs (gérontes ou presbyteroi) et les Romains (“ patres ” ou “ senatus ”)... les anciens occupaient une position importante dans les affaires communales comme dans les affaires politiques du peuple juif. Il n’est pas certain qu’ils fussent choisis par le peuple, bien qu’étant considérés comme ses représentants... La position et la fonction d’ancien ne sont nulle part clairement définies.
[Notes]
a Voyez Zion’s Watch Tower, édition d’avril 1880, page 8, sous le titre “ Christ notre pâque ”, paragraphe 3.
b Voyez chapitre 1, pages 14-17.