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Comment faire face à l’adversité ?Réveillez-vous ! 1977 | 22 octobre
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des pensées bibliques à notre interlocutrice. Comme je remarquais son intérêt pour ce qu’elle entendait, mon sentiment de dépression fit place à une véritable joie. Quand nous avons quitté cette dame, tout sentiment de découragement m’avait quittée. La joie qu’on éprouve à partager les vérités bibliques est indicible.”
Vous arrive-t-il d’être découragé ? Alors, voyez comment vous pouvez aider d’autres personnes. Cela ne supprimera pas vos problèmes, mais vous pourrez mieux y faire face. — Luc 6:38 ; Phil. 4:8, 9.
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Des juges perspicaces protègent les droits des minoritésRéveillez-vous ! 1977 | 22 octobre
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Des juges perspicaces protègent les droits des minorités
UN JUGE célèbre pour sa sagacité a déclaré : “La loi n’est jamais plus noble que lorsqu’elle tranche dans des principes de pure forme et des émotions passagères pour protéger des citoyens impopulaires contre la discriminationa.”
Une affaire jugée récemment à Tacoma, ville de l’État de Washington, donne un bel exemple d’impartialité de la justice.
Une minorité religieuse avait décidé de construire un lieu de culte dans le comté de Pierce, à treize kilomètres de Tacoma. Le bâtiment était prévu pour accueillir 1 800 personnes et devait servir à des assemblées regroupant plusieurs congrégations de Témoins de Jéhovah. Ceux-ci avaient acheté un terrain de 3,6 hectares dans une zone peu construite, où les règlements d’urbanisme autorisaient la construction “d’églises” ou de lieux de culte.
Les plans et les documents furent établis soigneusement, allant même au delà de ce que les normes techniques exigeaient. Les Témoins coopérèrent pleinement avec les autorités. La Commission d’hygiène donna son accord et, après quelques légères modifications, l’architecte-conseil approuva le projet ainsi que la Commission de l’environnement qui jugea que la salle d’assemblées “ne nuirait en rien à l’environnement”.
Restrictions illégales
En janvier 1976, une demande de permis de construire fut adressée à l’inspecteur en chef de l’urbanisme, M. Bill Horn. C’est alors que commencèrent les difficultés, car le permis fut refusé. M. Horn reconnut qu’une “église” pouvait être construite à cet endroit, mais il déclara que les Témoins de Jéhovah, eux, ne pouvaient pas y édifier leur salle de réunion. Sa lettre invoquait deux raisons pour ce refus : “Votre salle d’assemblées prévoit
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