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Respectez-vous l’interdiction “Défense d’entrer” ?Réveillez-vous ! 1971 | 8 mai
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droits de leurs semblables, car ils interdisaient le meurtre, l’adultère, le vol, etc. Le dixième commandement surtout peut être comparé à un écriteau “Défense d’entrer” ou “Propriété privée”, car il disait : “Tu ne convoiteras (...) aucune chose qui appartienne à ton prochain.” — Ex. 20:3-17.
Le sort du roi Ozias de Juda, qui ne respecta pas une interdiction divine, constitue un avertissement pour nous. Ce roi commença bien, car, dit le récit biblique, “il fit ce qui est droit aux yeux de Jéhovah”. Cependant, le succès le rendit orgueilleux et il s’arrogea un privilège réservé uniquement aux prêtres. Présomptueusement, il entra dans un lieu interdit — le temple de Jéhovah — “pour brûler des parfums sur l’autel des parfums”. Lorsque 80 prêtres s’opposèrent à lui, il se mit en colère. À cause de sa présomption, Jéhovah Dieu le frappa de la lèpre. Quelle fin tragique après un si bon commencement ! — II Chron. 26:1-21, Crampon 1905.
De nos jours, parmi les interdictions divines, les moins respectées sont celles qui concernent la chasteté. L’apôtre Paul dit à ce propos : “Car c’est ce que Dieu veut, votre sanctification, que vous vous absteniez de la fornication ; (...) que personne n’aille en cela jusqu’à nuire à son frère ou à léser ses droits.” — I Thess. 4:3-6.
En quel sens la fornication est-elle un empiètement sur la propriété privée de Dieu ? En ce sens que le corps du chrétien appartient à Dieu, puisqu’il s’est voué à lui. Or, s’il commet la fornication, il pèche contre son propre corps (I Cor. 6:18). C’est ainsi qu’il empiète en quelque sorte sur le bien de Dieu.
Sans doute la recommandation de ne pas aller “jusqu’à nuire à son frère ou à léser ses droits” constitue-t-elle un écriteau avertisseur, car elle défend au chrétien de prendre des libertés avec la femme d’un autre. De nos jours, dans maints pays, la coutume veut que les gens mariés portent une alliance. Celle-ci constitue également un “écriteau” avertisseur, car elle annonce que celui ou celle qui la porte appartient à un autre.
Non seulement la Parole de Dieu formule ces interdictions, mais elle nous aide à les respecter. Entre autres, elle nous inculque la crainte de Jéhovah Dieu. Nous avons intérêt à le craindre, puisque “notre Dieu est aussi un feu consumant”. Cette crainte a un effet salutaire, car nous lisons : “La crainte de Jéhovah est la haine du mal.” Empiéter sur les droits d’autrui est mal. Si nous haïssons le mal, nous n’empiéterons donc pas sur les droits de nos semblables. — Héb. 12:29 ; Prov. 8:13, Crampon 1905.
La Parole de Dieu contient une aide : cet ordre de Jésus appelé souvent la “règle d’or” : “Comme vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites pareillement pour eux.” Nous désirons évidemment que nos semblables respectent nos droits et nos biens ; nous devons donc respecter les leurs. — Luc 6:31.
Si d’autres ne respectent pas nos droits et nous offensent, n’oublions pas que nous péchons aussi quelquefois et que Dieu “nous a pardonné avec bonté toutes nos offenses”. (Col. 2:13.) Puisque Jéhovah Dieu nous a pardonné, nous devons pardonner aussi aux autres. Nous avons intérêt à le faire, car Jésus-Christ, commentant sa prière modèle, déclara : “Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi, tandis que si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs offenses, votre Père non plus ne vous pardonnera pas vos offenses.” — Mat. 6:12-15.
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Quand février avait 30 joursRéveillez-vous ! 1971 | 8 mai
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Quand février avait 30 jours
Le mois de février avait 30 jours jusqu’à l’époque de Jules César. Celui-ci lui enleva un jour qu’il ajouta au mois de juillet qui porte son nom. Par la suite, l’empereur Auguste fit de même pour ajouter un jour au mois qui portait son nom à lui : août.
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