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Un réconfort puissant: l’espérance du paradis à venirRéveillez-vous ! 1979 | 22 novembre
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redonnant la vie sur une terre transformée en paradis. Rien d’étonnant qu’avec une telle espérance les serviteurs de Dieu ne “s’affligent pas comme les autres qui n’ont pas d’espérance’. — I Thess. 4:13.
L’attente confiante du paradis
Que ce soit à l’occasion d’un enterrement ou lorsqu’on réconforte une personne endeuillée, on attire souvent l’attention des gens sur le dessein que Dieu entretenait à l’origine pour la terre. Ce dessein était que le paradis du jardin d’Éden s’étende sur toute notre planète (Gen. 1:28). Ce dessein, c’est certain, ne sera ni déjoué ni contrecarré. Certes, dans sa sagesse, Dieu a permis à l’imperfection de subsister parmi les hommes jusqu’à ce que son Fils vienne sur la terre pour offrir un sacrifice de rachat et que le Royaume céleste soit instauré. Mais nous pouvons être pleinement confiants que le paradis sera bel et bien restauré sur la terre. Alors, les morts qui ressusciteront sur notre globe seront à même de jouir d’une vie bien meilleure, plus paisible et gratifiante qu’auparavant. Cette espérance étayée par la Parole de Dieu ne constitue-t-elle pas un réconfort puissant?
L’esprit encore occupé par ces pensées, je pris congé des parents et des connaissances de la défunte mère de mon ami. En quittant ce petit paradis qu’est le parc d’Ohlsdorf, j’étais néanmoins réjoui par l’espoir que c’est un autre paradis qui nous attend prochainement, un paradis terrestre que pourront apprécier aussi bien les vivants que les morts.
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Des inondations catastrophiquesRéveillez-vous ! 1979 | 22 novembre
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Des inondations catastrophiques
Reportage du Brésil
L’EAU, c’est bien connu, recèle une puissance terrifiante. Domestiquée, celle-ci rend de signalés services à l’homme. Par contre, lorsqu’elle se déchaîne, sa violence devient dévastatrice.
Cette puissance destructrice de l’eau, le Brésil en a fait la tragique expérience au début de l’année, et ce à un degré encore jamais atteint. Des inondations d’une ampleur sans précédent ont en effet semé la panique sur un territoire aussi vaste que la France, la Belgique, les Pays-Bas et le Portugal réunis. “L’une des plus graves catastrophes naturelles que le Brésil ait jamais connues”, titraient les journaux. Tout l’État de Minas Gerais, la majeure partie de l’État d’Espirito Santo, le nord de l’État de Rio de Janeiro et le sud de l’État de Bahia furent gravement sinistrés. Les eaux envahirent les deux principaux axes de communication routière qui donnent accès à la région nord-est du Brésil, coupant le pays en deux.
Nous publions ci-dessous le récit d’un témoin oculaire qui, au plus fort de la catastrophe, s’efforça de rejoindre São Paulo depuis la région du nord-est.
La zone du sinistre
“Lorsque notre autocar arriva à Linhares, dans l’État d’Espirito Santo, un spectacle bouleversant s’offrait à nos yeux, celui d’un paysage ravagé par quarante jours de pluie. La Doce avait inondé la région, balayant tout sur son passage.
“La montée des eaux le long des rives du fleuve avait été si soudaine que personne n’avait eu le temps de se mettre en sécurité. Les fermes d’élevage avaient complètement disparu.
“Pourrions-nous gagner São Paulo? Tous les grands axes étaient barrés par la police militaire. La route principale était très endommagée. Nombre de ponts s’étaient effondrés, abattus par les eaux comme de vulgaires fétus de
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