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Comment ‘manger et boire à la gloire de Dieu’La Tour de Garde 1975 | 15 août
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pas se livrer à des excès, à ne pas gaspiller la nourriture et à ne pas prendre plus de nourriture que ce que l’on peut manger raisonnablement. Une personne aura également moins tendance à se montrer difficile. Si elle fait preuve de gratitude, même ceux qui ont peu de moyens la recevront volontiers chez eux. Même si leur repas est simple, ils pourront se sentir à l’aise et ils ne craindront pas que les choses ne lui conviennent pas.
Nous avons donc de bonnes raisons de manger et de boire à la gloire de Dieu. Ce faisant, nous nous abstiendrons de tout excès dans le manger et le boire et nous garderons notre dignité. En faisant appel à la conscience des autres, nous éviterons de les faire trébucher. Par-dessus tout, en agissant conformément à la “parole” de Dieu et en prenant nos repas avec actions de grâces, nous éprouverons une réelle satisfaction, sachant que notre conduite nous vaudra des bénédictions éternelles.
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La mort d’un dieuLa Tour de Garde 1975 | 15 août
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La mort d’un dieu
QU’EST-CE qu’un dieu ? Le mot “dieu” signifie “puissant”. Il a souvent été attribué à ce qui est l’objet d’un culte et qui est jugé puissant ou capable de faire du bien ou du mal à ceux qui pratiquent ce culte. Ce dieu peut être un objet, une personne, un groupe d’hommes ou une organisation.
Le dieu dont il est question ici est un groupe ou une classe d’hommes. La Bible en parle comme de “l’homme qui méprise la loi”. L’apôtre Paul nous le décrit en ces termes :
“Il se dresse en adversaire [contre le Dieu Tout-Puissant] et s’élève au-dessus de quiconque est appelé ‘dieu’ ou objet de vénération, si bien qu’il s’assoit dans le temple du Dieu, s’exhibant lui-même en public comme dieu.” — II Thess. 2:3, 4.
Qui correspond à cette description de “l’homme qui méprise la loi” ? Nous répondrons en posant ces questions : Qui s’est attribué des titres comme “révérend”, “grand révérend”, “père”, “saint père”, etc., ce qui est tout à fait contraire aux paroles de Jésus rapportées dans Matthieu 23:8-12 (voir aussi Job 32:21, 22) ? N’est-ce pas le clergé catholique et protestant ? Les membres du clergé ne prétendent-ils pas que “le troupeau de Dieu” leur appartient ? En de nombreux endroits, ne font-ils pas de grands efforts pour empêcher d’autres personnes, qui ne partagent pas leur enseignement, de parler de la Parole de Dieu à leurs ouailles (I Pierre 5:2) ? C’est exactement ainsi que les conducteurs religieux juifs ont agi envers la prédication de Jésus (Luc 11:52). Considérez également l’attitude des chefs juifs dans les temps préchrétiens. — Ézéch. 34:1-6 ; Michée 3:5.
Les membres du clergé ont influencé les gouvernements pour qu’ils interdisent ou limitent considérablement l’activité de ceux qui s’efforçaient d’enseigner la vérité biblique à leurs semblables, quand ils ne les ont pas incités à les persécuter. Beaucoup d’ecclésiastiques nient l’inspiration de la Bible et prétendent qu’elle renferme des “mythes”, qu’elle est “démodée” ou qu’elle est inapplicable à notre époque moderne. Ce faisant, ils font passer leur parole avant celle de Dieu, révélant ainsi qu’ils méprisent sa loi.
Le clergé de la chrétienté a cherché à s’élever au rang de dieu, mais il a commis bien des choses impies. Il s’est fait ami du monde, devenant ainsi ennemi de Dieu, comme l’écrivit Jacques, demi-frère de Jésus (Jacq. 4:4). Ses membres ont été les confidents et les conseillers des chefs politiques et des hommes de la haute finance. Ils ont servi ceux qui ont déclenché
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