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Enseignant, enseignementAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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Les anciens (gr. presbuteroï) qui travaillaient dur pour instruire leurs frères méritaient leur respect, leur considération (comparez avec Hébreux 13:17) et même l’aide matérielle qu’ils étaient disposés à leur offrir. C’est là ce que Paul entendait par ces mots: “D’autres part, que celui à qui on enseigne de vive voix la parole fasse participer à toutes bonnes choses celui qui donne un tel enseignement oral.” (Gal. 6:6). “Que les aînés qui président d’une excellente manière soient jugés dignes d’un double honneur, surtout ceux qui travaillent dur dans la parole et dans l’enseignement. La parole de l’Écriture dit en effet: ‘Tu ne devras pas museler le taureau quand il battra le grain’; et encore: ‘L’ouvrier mérite son salaire.’” — I Tim. 5:17, 18.
Les hommes qui, de façon désintéressée, s’efforçaient de devenir des surveillants capables d’enseigner dans la congrégation ‘désiraient une belle œuvre’. (I Tim. 3:1.) Dès lors, le disciple Jacques ne pensait manifestement pas à de tels chrétiens lorsqu’ils écrivit ceci: “Ne soyez pas nombreux, mes frères à devenir enseignants, sachant que nous recevrons un jugement plus sévère.” (Jacques 3:1). De toute évidence, ces propos n’étaient pas destinés à décourager les frères qui voulaient devenir capables d’enseigner. Ils soulignaient plutôt la lourde responsabilité qui repose sur les enseignants de la congrégation. Selon toute apparence, certains s’étaient érigés en enseignants sans être pour autant nommés comme tels ou sans en remplir les conditions. Ceux à qui Jacques pensait ressemblaient sans doute beaucoup à ceux que Paul écrivit à Timothée en ces termes: “Certains se sont laissés détourner vers de vains bavardages, voulant être des enseignants de la loi, mais ne comprenant ni ce qu’ils disent, ni ce sur quoi ils sont absolument affirmatifs.” (I Tim. 1:6, 7). De toute évidence, ces hommes convoitaient le prestige qui accompagnait la fonction d’enseignant de la congrégation. Toutefois, Jacques remit les choses à leur juste place en montrant qu’on exigerait davantage des enseignants. Ils devraient rendre des comptes, plus encore que les autres membres de la congrégation (comparez avec Romains 14:12). Pourtant, comme les autres, il leur arriverait aussi de trébucher en parole. — Jacq. 3:2.
En quel sens tous les chrétiens doivent-ils enseigner?
Si seul un nombre relativement restreint de chrétiens étaient enseignants dans la congrégation, tous n’en devaient pas moins s’efforcer d’atteindre un objectif désirable: devenir capables d’enseigner leurs croyances à d’autres personnes, du moins en privé. C’est là ce que les chrétiens hébreux se virent rappeler en ces termes: “Alors que vous devriez être, depuis le temps, des enseignants, vous avez de nouveau besoin que quelqu’un vous enseigne depuis le commencement les choses élémentaires des déclarations sacrées de Dieu.” Puisque les Juifs avaient été les premiers à connaître la bonne nouvelle au sujet du Christ, ils auraient dû être, non plus des tout-petits sur le plan spirituel, mais des modèles de maturité chrétienne, capables d’instruire d’autres personnes (Héb. 5:12 à 6:2). Dès lors, il devient clair que le rédacteur inspiré parlait de l’enseignement nommé. On trouve une idée semblable lorsqu’il décrit le Juif qui, en raison de sa connaissance, devenait “le censeur des gens déraisonnables, l’enseignant des tout-petits”. (Rom. 2:17-20.) Cependant, dans ce cas également, Paul montre que le mode de vie de l’enseignant doit être compatible avec son enseignement pour que ce dernier puisse honorer Dieu. — Rom. 2:21-24.
Les chrétiens pouvaient aussi s’instruire les uns les autres. Ainsi, entre autres choses, les femmes âgées pouvaient apprendre aux jeunes femmes à ‘aimer leur mari et leurs enfants, à être de bons sens, chastes, occupées dans la maison, bonnes, à être des épouses qui se soumettent à leur mari, pour qu’on ne parle pas en mal de la parole de Dieu’. Cet enseignement, donné en privé, pouvait être très efficace lorsqu’il s’accompagnait d’un bon exemple. — Tite 2:3-5; comparez avec II Timothée 1:5; 3:14, 15.
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En-TappuahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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EN-TAPPUAH
{Article non traduit.}
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EnterrementAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ENTERREMENT
{Article non traduit.}
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EntraillesAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ENTRAILLES
Voir INTESTINS.
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EntravesAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ENTRAVES
Voir LIENS.
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ÉpaphrasAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ÉPAPHRAS
(abréviation d’Épaphrodite).
Fidèle ministre du Christ qui, en prêchant la bonne nouvelle aux Colossiens, leur fit connaître la faveur imméritée de Dieu et contribua donc très certainement à la formation de la congrégation de Colosses. À l’époque du premier emprisonnement de Paul, Épaphras vint à Rome avec un rapport encourageant sur l’amour et la fermeté de la congrégation de Colosses (Col. 1:4-8). Épaphras a dû rester à Rome un certain temps puisque Paul, dans sa lettre aux Colossiens, leur transmit ses salutation en leur assurant que cet esclave de Jésus Christ luttait continuellement ‘pour eux dans ses prières, pour que, finalement, ils soient des hommes complets et remplir d’une ferme conviction dans toute la volonté de Dieu’. Comme Paul en témoigna, ce compagnon d’esclavage bien-aimé se donnait aussi beaucoup de peine pour les frères de Laodicée et de Hiérapolis (Col. 4:12, 13). Dans sa lettre à Philémon, Paul transmet encore les salutations d’Épaphras qu’il appelle “mon compagnon de captivité en union avec Christ”. — Philém. 23.
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ÉpaphroditeAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ÉPAPHRODITE
(gr. beau, charmant).
Ce chrétien digne de confiance, de la congrégation de Philippes, en Macédoine, fut envoyé avec un don vers Paul, lorsque celui-ci était prisonnier à Rome (vers 60-61) (Phil. 2:25; 4:18). Durant son séjour dans cette ville, Épaphrodite “est tombé malade et a été bien près de la mort; mais Dieu a eu pitié de lui”. Les Philippiens, qui avaient eu vent de sa maladie, s’inquiétèrent et s’enquirent peut-être de son état de santé. Navré de savoir que les Philippiens avaient entendu parler de sa maladie, Épaphrodite avait un vif désir de les voir. C’est pourquoi Paul jugea bon de le renvoyer dès qu’il fut guéri et lui confia la lettre destinée à la congrégation de Philippes. Paul invita les frères à réserver à Épaphrodite “l’accueil coutumier dans le Seigneur” et à ‘continuer à chérir des hommes tels que lui’. En effet, c’est à cause de l’œuvre du Seigneur qu’Épaphrodite s’était exposé au danger et s’était trouvé si près de la mort. — Phil. 2:25-30.
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ÉpauleAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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ÉPAULE
Jadis, comme aujourd’hui, l’épaule servait à porter les fardeaux (Gen. 21:14; Ex. 12:34). L’arche de l’alliance devait être portée, non pas sur un chariot, mais
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