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La vérité, fléau pour les Égyptiens modernesLa Tour de Garde 1965 | 1er novembre
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aux yeux de Dieu. Une remarquable manifestation de cette plaie eut lieu en 1926, à Londres, en Angleterre, lors du congrès tenu par les témoins de Jéhovah. En effet, à l’occasion de ce rassemblement fut prononcée la conférence publique intitulée “Pourquoi les puissances du monde chancellent-elles ? — Le remède”, qui renforçait la Résolution que les congressistes venaient de prendre. Cette Résolution déclarait que la Société des Nations a complètement échoué, parce que “l’homme, cédant aux suggestions de Satan, a repoussé la loi divine parfaite” et que seul le Royaume de Dieu ôtera l’ignorance aveugle dans laquelle l’humanité se trouve depuis bien longtemps (Rév. 16:10, 11). De même, la résolution adoptée en 1963 lors d’une assemblée autour du monde a mis en relief que les ténèbres de la défaveur divine ont enveloppé l’“Égypte” moderne. Les témoins de Jéhovah ont imprimé de nombreuses publications attestant que ceux qui passent pour être les sauveurs de l’humanité, que ce soient des hommes, des mouvements ou des organisations comme la Société des Nations qui a été saluée comme “la seule Lumière”, ne sont en réalité ni des lumières ni des sauveurs. La conférence publique et la résolution présentées lors de l’assemblée de Londres en 1926, furent imprimées sous forme de tract et diffusées en cinquante millions d’exemplaires. En outre, la société Watch Tower paya une page de publicité au journal Daily News, qui comptait 800 000 lecteurs, afin de diffuser le texte de ce message. Toutes les publications montrant à quel point sont profondes les ténèbres qui couvrent l’Égypte antitypique, appartiennent à la neuvième plaie, et de tels messages publiés par les témoins de Jéhovah accablent sans aucun doute tous les hommes qui se tournent vers ces organisations du monde comme vers la lumière.
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Dixième plaie : la mort des premiers-nésLa Tour de Garde 1965 | 1er novembre
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Dixième plaie : la mort des premiers-nés
1, 2. En quoi consistait la dixième plaie, et quel effet produisit-elle sur Pharaon ?
LA DIXIÈME plaie constitue le point culminant de cette série de fléaux qui s’abattirent sur l’Égypte ancienne. Il s’agit de la mort des premiers-nés. Le livre de l’Exode (11:1 à 12:36) fait un récit détaillé de cette plaie. Quelle démonstration de la puissance de Jéhovah ! En cette occasion, il manifesta à la fois son pouvoir de protéger et de détruire. Tous les premiers-nés périrent, depuis le premier-né de Pharaon jusqu’au premier-né du captif dans sa prison et jusqu’à tous les premiers-nés des animaux. En cette nuit, il fut prouvé que les dieux de l’Égypte n’étaient vraiment pas des dieux, car ils n’avaient été d’aucun secours. Cela fut particulièrement vrai d’Amôn-Râ, le prétendu protecteur de tous les premiers-nés. Où était-il cette nuit-là ? Dès lors, aucun doute ne subsista quant à savoir laquelle de ces deux divinités était la plus grande : Amôn-Râ, adorée par Pharaon, ou Jéhovah, le Dieu de Moïse.
2 Oubliant qu’il avait menacé de tuer Moïse et Aaron s’ils se présentaient à lui de nouveau, Pharaon les fit appeler d’urgence et leur dit : “Levez-vous, sortez du milieu de mon peuple, vous et les enfants
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