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Le service sacré au “temps de la fin”La Tour de Garde 1980 | 15 novembre
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toutes les choses que je vous ai commandées. Et voici que je suis avec vous tous les jours jusqu’à la conclusion [suntéléïa] du système de choses.” (Mat. 28:19, 20; 4:15; I Cor 15:6). Depuis la fin des “temps des Gentils” en 1914, nous vivons la “conclusion du système de choses”. Nous tous qui sommes des disciples voués et baptisés du Christ ressuscité et investi de pouvoir, nous avons ordre d’accomplir le “service sacré” qu’il nous a confié et de l’assumer jusqu’au terme de la “conclusion du système de choses”, sans jamais nous relâcher.
21. a) Quels privilèges reçoivent ceux qui sont admis dans la Nouvelle Jérusalem céleste? b) Quelles bénédictions attendent les membres de la “grande foule” qui se montrent fidèles jusqu’à la fin de la “grande tribulation”?
21 Nous lisons à propos des 144 000 Israélites spirituels qui sont admis dans la ville céleste, la Nouvelle Jérusalem: “Et il n’y aura plus aucune malédiction. Mais le trône de Dieu et de l’Agneau sera dans la ville, et ses esclaves le serviront par un service sacré [latreuéïn]; et ils verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts.” (Rév. 22:3, 4). Quant aux membres fidèles et obéissants de la “grande foule” non dénombrée, ils se verront accorder le “salut” lors de la “grande tribulation” qui clôturera le “temps de la fin”. Sous le Royaume millénaire de l’Agneau de Dieu, ils continueront à ‘servir Dieu par un service sacré’ dans les cours terrestres de son temple spirituel. “Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux.” — Rév. 7:9-17.
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Rébecca — Une femme que Jéhovah a bénieLa Tour de Garde 1980 | 15 novembre
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Rébecca — Une femme que Jéhovah a bénie
C’EST Jéhovah Dieu lui-même qui guida le choix de Rébecca comme femme d’Isaac, fils d’Abraham. Mais pourquoi choisit-il justement Rébecca? Sans doute avait-elle des qualités d’une grande valeur aux yeux de Dieu. Il fallait, en effet, qu’elle soit capable de servir le dessein de Dieu en devenant mère de la nation dont il ferait un peuple pour son nom.
C’est après la mort de Sara, sa femme bien-aimée, qu’Abraham prit des dispositions pour trouver une compagne à son fils Isaac, qui avait maintenant une quarantaine d’années. Ne voulant pas que son fils se lie à une femme qui n’adorait pas Jéhovah, Abraham demanda à son intendant (sans doute son fidèle serviteur Éliézer) d’aller jusqu’en haute Mésopotamie. Il ne lui donna aucune instruction particulière pour guider son choix. ‘L’ange de Jéhovah s’en chargera’, lui dit-il avec confiance, persuadé que le Très-Haut indiquerait d’une façon ou d’une autre quelle femme, parmi sa parenté, ferait une bonne compagne pour Isaac. — Gen. 24:1-9.
Le serviteur d’Abraham prit donc dix chameaux chargés de grands présents et se mit en route, accompagné de quelques hommes. Après plusieurs jours de voyage, il atteignit finalement Nahor, dans la haute vallée mésopotamienne. Le serviteur arriva au “temps du soir”, épuisé par la fatigue et par la soif, juste au moment où les jeunes femmes de la ville venaient chercher de l’eau au puits. Quelle excellente occasion pour lui d’accomplir sa mission! Mais comment savoir laquelle des jeunes filles il convenait de choisir? Il se tourna alors vers Jéhovah et le pria de lui donner un signe: ‘Que celle que tu as choisie s’offre à puiser aussi de l’eau pour mes chameaux quand je lui demanderai à boire.’ — Gen. 24:10-14.
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