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Quand des institutions très anciennes s’écroulent, la survie est-elle possibleLa Tour de Garde 1968 | 15 février
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19. Quelles sont les questions qui permettront à chacun de prendre une décision, et pouvons-nous tarder à prendre cette décision ?
19 Voici clairement énoncées les questions qui permettront à quiconque entend la parole, lit et comprend ces choses, de prendre une décision : Quels fruits désirez-vous produire ? Voulez-vous vivre peu de temps dans un monde où abondent les œuvres de la chair et mourir ensuite pour toujours, ou bien désirez-vous vivre éternellement dans un monde qui sera rempli de beaux fruits de l’esprit de Dieu ? Maintenant que le septième et dernier fléau est répandu, il ne reste que peu de temps pour échapper au tremblement de terre et à la pluie de grêlons extraordinairement grande qui sont annoncés. Agissez sans retard si vous voulez échapper à la catastrophe finale. Même si vous considérez une religion, un gouvernement, une institution ou une idéologie comme établis depuis longtemps, abandonnez-les dès maintenant, et optez pour la seule chose durable : le Royaume de Dieu sous l’autorité du Christ.
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Pourquoi y a-t-il tant à faire ?La Tour de Garde 1967 | 15 décembre
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Pourquoi y a-t-il tant à faire ?
IL N’Y A pas de doute à ce sujet : à notre époque, les témoins chrétiens de Jéhovah ont beaucoup à faire. Il y a la lecture et l’étude de la Bible et des publications bibliques, l’assistance aux cinq réunions hebdomadaires de la congrégation ainsi que la préparation personnelle que celles-ci nécessitent. En outre, il y a la participation aux différentes activités ministérielles : prédication de maison en maison, nouvelles visites, études bibliques à domicile, sans compter l’aide que ces témoins doivent apporter à leurs frères chrétiens, la préparation des sujets qu’ils présentent aux différentes réunions, etc. Pour les serviteurs de la congrégation viennent s’ajouter d’autres tâches à assumer.
Il y a beaucoup à faire, cela ne fait aucun doute ! Mais avez-vous déjà réfléchi au fait que les ministres chrétiens ne sont pas les seuls à être très occupés ? Songez un instant aux gens qui exercent des professions libérales, comme les médecins, eux aussi ont souvent beaucoup à faire. Il n’est pas rare qu’un docteur consciencieux consacre jusqu’à soixante-dix heures au moins par semaine à l’exercice de sa profession, pour répondre à l’appel de ses malades. Et par surcroît, n’est-il pas tenu de lire beaucoup pour se tenir au courant des progrès de la médecine ?
Si un médecin consciencieux a de bonnes raisons d’être très occupé, les témoins de Jéhovah en ont eux aussi, et même beaucoup plus que lui. Pourquoi cela ? Parce que l’œuvre qu’ils accomplissent est bien plus importante. En effet, il s’agit d’une guérison spirituelle qui mène à la vie éternelle, guérison dont tout le monde a besoin. Toutefois, leur œuvre exige beaucoup de temps et de patience, car il faut d’abord que les gens prennent conscience de leur maladie spirituelle et sentent qu’ils ont besoin de cette guérison, car la plupart des hommes ne sont pas conscients de leur condition spirituelle.
L’URGENCE DE NOTRE ÉPOQUE
Une autre raison pour laquelle ces ministres ont tant à faire, c’est qu’il leur reste peu de temps pour accomplir cette guérison spirituelle. À la vérité, nous vivons une époque pressante. Jésus la compara à celle de Noé, et nous savons que ce dernier avait beaucoup à faire : il lui fallait s’occuper de sa famille, de la prédication, de la construction de l’arche, du rassemblement des animaux et de l’emmagasinement de vivres pour assurer pendant un an la subsistance des habitants de l’arche. — Gen. 6:13 à 7:5 ; Mat. 24:37-39.
Pensez aussi à Gédéon et à sa petite troupe qui mirent en fuite les Madianites. Ils ressentaient la nécessité d’agir vite s’ils voulaient remporter la victoire, et c’est pourquoi le récit nous apprend à leur propos qu’ils étaient ‘fatigués, mais poursuivaient toujours’. — Juges 8:4.
En qualité de chrétiens, nous sommes engagés dans une guerre spirituelle ; nous avons à lutter contre les forces responsables de la maladie spirituelle du monde. Ce combat nous tient occupés, et parfois, quoique fatigués, nous continuons la poursuite, pour ainsi dire. Nous allons toujours de l’avant, car nous savons que des vies sont en jeu.
Jésus déclara en une certaine occasion : “Il nous faut accomplir les œuvres de celui qui m’a envoyé tant qu’il fait jour ; la nuit vient où aucun homme ne peut travailler.” Cette nuit vint pour lui. Mais aujourd’hui Harmaguédon approche ; il ne peut être très éloigné puisque la génération de 1914 ne passera pas avant qu’il n’ait eu lieu ! Nul doute que le temps se fait court ! Ne convient-il donc pas que nous ayons toujours beaucoup à faire au fur et à mesure que ce combat divin se rapproche ? — Jean 9:4 ; Mat. 24:34.
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