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Bref aperçu du mormonismeLa Tour de Garde 1963 | 15 février
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À cause de leur croyance anti-scripturale selon laquelle l’existence consciente de l’homme continue après la mort, les mormons affirment que les liens du mariage sont toujours valables après la mort. Wallace Bennett dit : “ Les mormons croient qu’une cérémonie célébrée dans un temple, par celui qui détient le pouvoir nécessaire, consacre une union éternelle, qui ne peut être rompue par la mort. ” Rien dans la Bible ne prouve pareille assertion.
Contrairement à l’enseignement des mormons, la Bible nous apprend que la mort dissout les liens du mariage. En Romains 7:2, il est écrit : “ Une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari. ” Remarquons également ce que dit le Christ : “ À la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. ” (Mat. 22:30). Ainsi, en ce qui concerne le mariage, ils seront donc comme des anges, c’est-à-dire célibataires. Brigham Young admettait le célibat des anges, car il dit : “ Ils sont célibataires, sans famille ni royaume sur lequel régner. ” La vérité, c’est que la mort met fin à tout lien conjugal.
L’ACTIVITÉ MISSIONNAIRE
Les mormons déploient une grande activité missionnaire afin de répandre leurs croyances, mais aucun mormon n’en fait une vocation, un travail permanent, à l’instar de Jésus-Christ et de l’apôtre Paul. Les missionnaires sont en général des jeunes gens de vingt ans environ, qui séjournent deux ans dans des pays d’expression anglaise et deux ans et demi dans les pays parlant une autre langue. Après ce court stage, ils rentrent chez eux pour reprendre leur train de vie dans la communauté.
Au cours de leur séjour dans un pays étranger, les missionnaires travaillent deux par deux, de porte en porte. Quand le maître de maison les invite à entrer, ils essaient d’entamer une étude se rapportant aux croyances de leur Église. Ces leçons, présentées de façon agréable, ont pour but de convertir l’intéressé à leur religion. Même si le maître de maison apprécie leur amabilité et qu’il ait besoin de leur aide pour son instruction et sa conduite spirituelle, les missionnaires ne feront pas preuve d’assez d’amour à son égard : ils quitteront le pays à la fin de leur séjour de deux, ou deux ans et demi, qui leur est imposé. À leur départ, l’hôte est remis entre les mains de deux nouveaux missionnaires, pour autant qu’il y en ait.
La sincérité des mormons dans leurs croyances ne peut être mise en doute, mais cette sincérité ne suffit pas pour prouver la véracité de leurs croyances. La vérité n’est pas déterminée par des convictions personnelles. Depuis l’époque des apôtres, bien des personnes ont prétendu avoir eu des visions de Dieu et être parmi ses prophètes. La ferme conviction de ceux qui les croyaient, ne changeait pas en vérités les enseignements de ces prophètes. De tels hommes, qui s’étaient institués d’eux-mêmes, devaient proclamer leurs propres écrits comme étant saints, afin d’étayer leurs enseignements qui ne trouvaient aucun appui dans la Bible. La protection la plus sûre contre de telles duperies, c’est de confronter les enseignements religieux avec la Bible. Pour connaître la vérité, servez-vous de la Bible comme pierre de touche. Suivez le conseil de l’apôtre Jean : “ Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. ” — I Jean 4:1.
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Il instruit son institutrice et la classeLa Tour de Garde 1962 | 15 novembre
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Il instruit son institutrice et la classe
“ Un jour je reçus un coup de téléphone de l’institutrice de mon fils ”, rapporte un témoin de Jéhovah de l’Ohio. “ Au cours de l’entretien, elle exprima le désir que je vienne à l’école le plus tôt possible, car mon fils de huit ans bouleversait toute la classe. À mon arrivée, elle m’apprit qu’il racontait à ses camarades que Dieu avait un nom, Jéhovah. J’expliquai donc à l’institutrice pourquoi Dieu avait un nom, que ce dernier était cité plus de 6 000 fois dans les Écritures hébraïques et je conclus en lui lisant Psaume 83:19, AC 83:18, NW. Depuis ce jour, elle a posé à mon fils maintes questions touchant ses croyances religieuses. ”
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