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Avez-vous invité votre conjoint ?La Tour de Garde 1970 | 1er septembre
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Dans ce cas, pourquoi ne pas inviter votre conjoint à la prochaine assemblée, même s’il ne témoigne qu’un faible intérêt pour la Bible ? Même s’il n’acceptait d’assister qu’à une seule session, n’éprouveriez-vous pas une grande satisfaction, une profonde gratitude ? Certains rapports soulignent l’impression profonde que la présence à une seule session a laissée sur des personnes non vouées. Que cela vous encourage ! Voici, par exemple, ce qu’un homme non voué, mais favorablement disposé, a écrit aux témoins qu’il avait hébergés lors d’une assemblée : “Je crois que c’est tout cela : votre conduite, votre bonheur, le fait que vous ne m’avez pas prêché continuellement, les discours à l’assemblée, la conduite des assistants, qui m’a amené à conclure qu’il s’agissait là d’une très belle chose.”
Le discours public convient particulièrement à ceux qui commencent à s’intéresser à la vérité ou ne s’y intéressent que très peu. Votre conjoint, quoique non voué, remarquera probablement que plus du quart et près de la moitié des assistants ne se disent pas témoins de Jéhovah.
D’autres encore pourraient être invités à vous accompagner. Avez-vous songé à vos amis et aux membres de votre famille qui se sont montrés favorablement disposés envers le message du Royaume ? Une visite à l’assemblée pendant le week-end leur ferait certainement plaisir. Mais il serait bien de les inviter longtemps d’avance afin qu’ils aient le temps de s’organiser. Vous pouvez les aider à prendre la bonne décision en leur parlant des autres choses intéressantes qu’ils pourront voir et faire dans la ville de l’assemblée. Ce qui est vrai pour vos amis l’est aussi pour votre conjoint. Qu’ils puissent, grâce à vous, passer des moments agréables et désirer assister à une prochaine assemblée.
Vous aimez votre conjoint. Dans ce cas, ne soyez pas convaincu d’avance qu’il refusera de vous accompagner. Il vous suffira peut-être de l’inviter chaleureusement. Mais quel que soit le résultat de vos efforts, vous aurez la satisfaction de les avoir tentés.
“Voici, oh ! qu’il est agréable, qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble ! C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, descend sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de ses vêtements. C’est comme la rosée de l’Hermon, qui descend sur les montagnes de Sion ; car c’est là que l’Éternel envoie la bénédiction, la vie, pour l’éternité.” — Ps. 133.
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Continuons de croître dans la foi avec l’aide de la Parole de DieuLa Tour de Garde 1970 | 15 mars
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Continuons de croître dans la foi avec l’aide de la Parole de Dieu
Citez certains obstacles à la croissance de la foi, susceptibles même de provoquer son affaiblissement et sa disparition.
D’après la Parole de Dieu, “la foi est l’attente confiante des choses qu’on espère, la démonstration évidente de réalités que pourtant on ne voit pas”. (Héb. 11:1.) Nombreux sont ceux qui désignent le matérialisme comme l’obstacle à l’acquisition d’une telle foi. Pour d’autres, c’est la recherche des plaisirs, et pour d’autres encore, la crainte, qui, non seulement s’opposent à l’augmentation de la foi, mais encore l’affaiblissent et la font disparaître. Bien qu’il semble que ces trois choses aient contribué, dans certains cas, à l’affaiblissement de la foi, un examen approfondi de la question nous révèle que la foi s’affaiblit à cause de l’absence de nourriture venant de la Parole de Dieu.
En effet, “la foi vient après la chose qu’on a entendue”, et pour être un excellent ministre, il faut être “nourri des paroles de la foi”. Il faut prêter “plus que l’attention ordinaire” à la Parole de Dieu si on ne veut pas être emporté à la dérive. Les Thessaloniciens observaient ce conseil ; c’est pourquoi l’apôtre Paul pouvait leur écrire : “Votre foi croît beaucoup.” — Rom. 10:17 ; I Tim. 4:6 ; Héb. 2:1 ; II Thess. 1:3a.
Comment peut-on déterminer si sa foi continue de croître beaucoup grâce à la Parole de Dieu ?
Pour qu’une maison ne se détériore pas et assure le confort de son propriétaire, il est nécessaire de l’entretenir continuellement. Il en est de même pour notre foi. Pour favoriser sa croissance continuelle, nous devons sans ‘cesse nous éprouver pour voir si nous sommes dans la foi’. (II Cor. 13:5.) Comment ? En nous posant les questions suivantes : “Ma famille et moi-même étudions-nous moins ? Est-ce que je me rends compte que mes explications des différents sujets bibliques sont peu compréhensibles ? Le ministère public est-il une partie de mon programme dont je m’acquitte hâtivement ? La vérité de la Bible est-elle devenue banale pour moi parce qu’il est très facile de la posséder ?”
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