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La promesse d’un paradis spirituelFin prochaine de la détresse mondiale
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5, 6. a) Selon Ésaïe 54:1, quelle raison la “femme” céleste avait-elle de se réjouir? b) De combien de “fils” allait-elle devenir la mère spirituelle?
5 “‘Pousse des cris joyeux, femme stérile, qui n’a pas enfanté! Épanouis-toi en clameurs de joie et pousse des cris stridents, toi qui n’as pas eu les douleurs de l’enfantement, car les fils de celle qui est désolée sont plus nombreux que les fils de la femme qui a un propriétaire et époux’, a dit Jéhovah.”
6 L’apôtre chrétien Paul applique ce texte divinement inspiré non pas à la nation juive après son exil à Babylone, mais à l’organisation céleste de Jéhovah comparée à une femme. Selon la prophétie d’Ésaïe, l’organisation céleste de Dieu devait avoir d’autres enfants que le Messie Jésus qu’elle attendit longtemps, comme si elle était stérile. Elle devait devenir la mère spirituelle des 144 000 adjoints du Messie Jésus qui, lui, serait le premier-né par rapport à ces futurs fils spirituels de l’organisation céleste de Dieu. Elle allait commencer à se réjouir dès la naissance de ce premier-né, mais elle continuerait ensuite d’engendrer tous les cohéritiers du Royaume. L’apôtre Paul, qui fit l’application d’Ésaïe 54:1 sous l’inspiration de Dieu, était lui-même un de ces futurs cohéritiers du Christ.
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La promesse d’un paradis spirituelFin prochaine de la détresse mondiale
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8 “Car il est écrit [en Ésaïe 54:1]: ‘Réjouis-toi, femme stérile [la Jérusalem d’en haut], qui n’enfante pas; éclate et pousse des cris, toi, celle qui n’a pas les douleurs de l’enfantement; car les enfants de celle qui est désolée sont plus nombreux que les enfants de celle qui a le mari.’ Or nous, frères, comme Isaac, nous sommes des enfants appartenant à la promesse. Mais, de même que celui [Ismaël] qui était né selon la chair persécutait alors celui [Isaac] qui était né selon l’esprit, ainsi en est-il encore maintenant. Cependant, que dit l’Écriture? ‘Chasse la servante et son fils, car le fils de la servante n’héritera absolument pas avec le fils de la femme libre.’ Ainsi donc, frères, nous sommes enfants, non pas d’une servante, mais de la femme libre.
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