Un excellent objectif pour les jeunes
“La piété est utile à tout, puisqu’elle possède la promesse de la vie présente et de la vie qui est à venir. Elle est fidèle, cette parole, et digne de tout accueil.” — I TIMOTHÉE 4:8, 9.
1, 2. a) Quelles sont pour beaucoup de jeunes les perspectives les plus attrayantes? Quelles questions cela soulève-t-il? b) Pourquoi les jeunes sont-ils aujourd’hui en butte à des pressions particulières?
QU’EST-CE que la vie peut vous offrir de mieux? Selon une enquête menée récemment auprès d’un groupe de jeunes gens très différents, leur objectif le plus important, c’est “obtenir un emploi qui les intéresse” et “être à l’aise sur le plan matériel”. De plus en plus de jeunes veulent embrasser une carrière et, dans certains endroits, le nombre de ceux qui désirent entrer à l’université pour obtenir un emploi bien rémunéré bat tous les records. Beaucoup voient là la possibilité de jouir de la sécurité, de la force et du contentement dans la vie. Qu’en pensez-vous, jeunes gens? Et vous qui êtes adultes, surtout si vous avez des enfants, comment jugez-vous réellement ces différentes possibilités? Sont-elles à vos yeux le moyen de connaître une “vie meilleure”?
2 S’il est une époque où les jeunes ont besoin d’être forts et de trouver le contentement, c’est bien maintenant, dans “les derniers jours”, alors que les temps sont “durs”. (II Timothée 3:1-5.) Les jeunes sont aujourd’hui soumis à des pressions qu’on aurait jugées inimaginables il y a seulement une génération. Les changements rapides qui ont affecté la société, tels que la désagrégation de la cellule familiale et la décadence des mœurs, sont à l’origine de troubles affectifs très graves.
Il faut être fort et trouver le contentement
3, 4. Qu’est-ce qui montre que bon nombre de jeunes gens manquent de force intérieure, et pourquoi peut-on dire que la prospérité matérielle ne procure pas cette force?
3 De plus en plus de jeunes se rendent compte qu’ils n’ont pas la force intérieure nécessaire pour résister aux pressions de la vie (voir Éphésiens 3:16). Un rapport récent de l’Institut national de la santé mentale aux États-Unis montre qu’un jeune sur cinq est sérieusement dépriméa. Dans ce pays, le nombre des suicides parmi les jeunes a plus que doublé entre 1961 et 1975. Chaque année, presque 8 000 jeunes se donnent la mort; quant au nombre des tentatives de suicide, il est 50 fois plus élevé. Certaines autorités qualifient ce problème d’“épidémie”. D’autres rapports révèlent qu’un nombre surprenant de jeunes gens sont admis dans les hôpitaux psychiatriquesb.
4 Il est vrai que tous les jeunes ne jouissent pas de conditions matérielles favorables. Toutefois, quand on considère que le rapport mentionné plus haut concerne un grand pays prospère, il est clair que la richesse ne peut à elle seule aider les jeunes ‘à éloigner de leur cœur le déplaisir et à écarter de leur chair le malheur’. (Ecclésiaste 11:9, 10.) Des avantages d’ordre matériel ne donnent que peu de vigueur à celui qui doute de lui-même, qui est affligé par le découragement, par l’insécurité ou par un sentiment de culpabilité. La Bible fait cette remarque: “T’es-tu montré découragé au jour de la détresse? Ta force sera mince.” — Proverbes 24:10.
5, 6. L’acquisition des biens matériels nous permettra-t-elle de jouir d’une “vie meilleure”? Donnez un exemple.
5 Cependant, l’acquisition de biens matériels peut-elle finalement procurer le contentement, une “vie meilleure”? Le roi Salomon, qui était très riche, a fait cet aveu: “Et moi, je me suis tourné vers toutes mes œuvres qu’avaient faites mes mains et vers le dur travail auquel j’avais travaillé dur pour l’exécuter, et voici, tout était vanité et poursuite de vent.” (Ecclésiaste 2:3-11). Ses œuvres lui avaient procuré un certain plaisir, mais il avait néanmoins le sentiment que tout cela était vanité.
6 Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui affirment bien haut que les études supérieures sont un des moyens qui permettent de connaître une “vie meilleure”. Aux États-Unis, un ancien gouverneur a même parlé de la formation universitaire comme d’“une nécessité pour être fort, pour réussir et pour survivre”. En est-il vraiment ainsi? Eh bien, 846 anciens élèves d’une université prestigieuse ont rédigé un “rapport” sur leur vie dix ans après leur sortie de l’université. “Bien que le rapport ait çà et là un côté joyeux et agréable, fait remarquer un ancien élève de cette promotion, on dénote un fond de pessimisme, d’amertume et même de désespoir.” Un autre ancien élève qui, 25 ans après sa sortie de l’université, avait atteint “certains objectifs financiers” reconnaissait néanmoins: “Mes échecs dans ma vie privée l’emportent tellement sur mes succès que, Dieu merci, les uns comme les autres ne seront pas mentionnés dans le rapport.” Est-ce là ce que la vie a de mieux à offrir?
Ce que la vie a de mieux à offrir
7. Pour quel genre de carrières Timothée aurait-il pu recevoir une formation, mais quelle recommandation Paul lui a-t-il faite?
7 Dans les lettres divinement inspirées qu’il a écrites à Timothée, un disciple chrétien, l’apôtre Paul a proposé quelque chose de meilleur. Le jeune Timothée avait été envoyé à Éphèse, un des grands centres commerciaux de l’Antiquité, où il avait dû voir pas mal d’hommes poursuivre toutes sortes de carrières. Lui-même aurait pu essayer de devenir un marchand opulent ou rechercher la célébrité soit à l’école de Tyrannus, soit au théâtre local (I Timothée 1:3; Actes 19:1, 9, 29). Il aurait sans doute pu recevoir une formation qui lui aurait permis d’entreprendre une carrière dans le monde et de gagner de l’argent. Mais Paul lui a fait cette recommandation: “Exerce-toi en ayant pour but la piété. L’exercice corporel, en effet, est utile à peu de choses, mais la piété est utile à tout, puisqu’elle possède la promesse de la vie présente et de la vie qui est à venir.” Effectivement, la piété est “utile à tout”. Ce n’était pas pure spéculation, car Paul a ajouté: “Elle est fidèle, cette parole, et digne de tout accueil.” Il savait par expérience personnelle ce qui pouvait lui faire connaître la vie la plus riche qui soit. — I Timothée 4:7-9; II Corinthiens 6:10.
8, 9. a) Qu’est-ce que la piété? b) Quelle merveilleuse perspective vous est offerte, et pourquoi faut-il faire des efforts?
8 Mais qu’est-ce que la piété? C’est un fervent attachement à Dieu qui vient d’un cœur stimulé par une gratitude profonde qu’engendrent les qualités attirantes de Dieu. Alors que “la crainte pieuse” (Hébreux 12:28) est essentiellement une crainte révérencielle, la crainte de faire quelque chose qui déplaît à Dieu, la “piété”, quant à elle, est un sentiment venant du cœur qui incite la personne à vivre d’une manière qui plaise à Dieu parce qu’elle l’aimec. Cette qualité du cœur conduit à “l’intimité avec Dieu”; elle permet d’entretenir avec lui des relations personnelles qui font qu’on a la conviction de bénéficier de son approbation et de son aide (Job 29:4). La possibilité qui vous est offerte de nouer une amitié personnelle avec Dieu a autrement plus de valeur que tout ce qui peut vous être proposé. — Voir Jérémie 9:23, 24.
9 Suffit-il d’avoir des parents pieux ou d’avoir reçu le baptême chrétien pour bénéficier automatiquement de telles relations avec Dieu? Non. Il est indispensable de cultiver certaines vertus chrétiennes, et notamment la sincérité du cœur (II Pierre 1:5-8). Il faut devenir une personne que ‘son cœur pousse’ à accomplir des “actes de piété”. (Voir Exode 36:2; II Pierre 3:11; Colossiens 3:22.) Bien qu’ayant été élevé dès sa plus tendre enfance dans la voie de la vérité, Timothée a dû cultiver la piété. De nos jours aussi il est nécessaire de faire de grands efforts pour que la piété devienne pour nous “un moyen de grand gain”. (I Timothée 6:6.) Comment cela?
Une vie d’un haut niveau moral
10, 11. Comment la piété a-t-elle permis à Timothée de s’élever?
10 À Éphèse, Timothée menait une vie pieuse au milieu de gens qui ‘marchaient dans la stérilité de leur intelligence’. (Éphésiens 4:17.) Ce dont ils nourrissaient leur esprit ne leur était d’aucun profit réel; ce n’était qu’une vanité. Commentant Éphésiens 4:17, R. Lenski, un bibliste, écrit: “Quel tableau! Des hommes capables de réfléchir et à l’esprit prompt, des créatures douées de raison, traversent la vie en obéissant aux injonctions d’un esprit qui, à chaque étape comme à la fin de leur vie, ne les mène à rien, ou plutôt à un échec monumental et tragique.”
11 Timothée pouvait constater que la vie des Éphésiens était vaine et dégradante. Beaucoup adoraient la déesse Artémis, mais leur culte fanatique était en fait voué à une statue inanimée. Les orgies et la prostitution sacrée faisaient partie de ce culte (Actes 19:23-34). En revanche, Timothée menait une vie autrement plus vertueuse que celle des gens des nations qui étaient “éloignés de la vie qui appartient à Dieu, (...) ayant perdu tout sens moral”. (Éphésiens 2:6; 4:18, 19.) En raison de la piété dont il faisait preuve en menant “la vie qui appartient à Dieu”, il s’était fait un ami du plus grand Personnage de l’univers. La possibilité de nouer des relations personnelles avec le Dieu vivant grâce à la piété est vraiment la perspective la plus précieuse qui soit. Saisirez-vous cette possibilité?
12. Qu’a dit une jeune chrétienne au sujet du “grand gain” que peut procurer la piété? Quel est votre sentiment?
12 Bon nombre de gens vouent aujourd’hui un culte au sexe, aux plaisirs, à la richesse ou aux études supérieures avec autant de zèle que les Éphésiens du passé en mettaient à adorer Artémis (Matthieu 6:24; Éphésiens 5:3-5; Philippiens 3:19). Mais les humains qui recherchent la piété mènent une vie d’une qualité autrement plus grande. Une chrétienne de 24 ans a fait ce commentaire: “La moitié des jeunes avec qui j’avais l’habitude de sortir avant que j’étudie la Bible sont en prison, et la plupart d’entre eux se droguent. Beaucoup de filles ont un enfant illégitime. Leur vie est un vrai gâchis. Quelques-uns sont même morts. Je suis profondément reconnaissante de pouvoir considérer ma vie et d’en être fière.” D’autres jeunes chrétiens partagent de tout cœur ce point de vue.
13. Pourquoi donne-t-on un sens à sa vie en obéissant au commandement consigné en II Timothée 4:5?
13 Ceux qui mènent une vie pieuse possèdent un trésor, le ministère chrétien (II Corinthiens 4:1, 7; II Timothée 4:5), ce qui donne un sens à leur vie. Ils ont un défi à relever. Au lieu de rechercher les sensations factices que procurent les œuvres de fiction présentées sur le petit ou le grand écran, les chrétiens qui participent au ministère visitent chez eux des personnes bien vivantes afin de les aider. Ils traitent également de problèmes réels. Quelle joie lorsqu’ils voient des gens qui menaient une vie immorale, violente ou désespérée accepter l’enseignement de la Bible, rejeter leurs mauvaises habitudes passées, cultiver le respect de soi et servir Jéhovah! Il n’est pas de carrière plus enrichissante et qui produise autant de bienfaits durables.
Le contentement et une conscience nette
14, 15. Comment le contentement sur le plan pécuniaire rend-il notre vie meilleure?
14 “En effet, c’est un moyen de grand gain que cette piété avec la vertu qui consiste à se suffire à soi-même (...). Si donc nous avons nourriture et vêtement, nous nous contenterons de cela. Mais ceux qui sont résolus à être riches (...) se sont eux-mêmes transpercés partout de beaucoup de douleurs.” (I Timothée 6:6-10). En 1981, une enquête de la revue Psychology Today révélait que les jeunes pensent “beaucoup plus” à l’argent que les gens de n’importe quelle autre tranche d’âge. Cependant, la moitié des personnes interrogées qui s’intéressent beaucoup à l’argent (qu’elles soient d’ailleurs riches ou pauvres) se plaignaient d’être “constamment soucieuses et inquiètes”.
15 Un jeune Japonais avait réussi à sortir de la misère et à devenir riche, mais au détriment de sa santé. Plus tard, grâce à l’étude de la Bible, il cultiva la piété. “Quand je repense à la vie que je menais quand la richesse était mon principal objectif, conclut-il, je ne peux la comparer avec celle, beaucoup plus heureuse, que je connais depuis que mon but a changé. Il n’y a vraiment rien qui puisse égaler la satisfaction que l’on retire quand on met sa vie au service de notre grand Créateurd.” — Proverbes 10:22; Ecclésiaste 5:10-12.
16. Que constate-t-on au sujet de ceux qui ne gardent pas une bonne conscience?
16 Paul encourageait aussi Timothée à ‘garder une bonne conscience’. Comment cela? Notamment en traitant les femmes “en toute chasteté”. (I Timothée 1:19; 5:2.) Beaucoup de jeunes dont la conscience est devenue insensible ne se soucient guère de chasteté (I Timothée 4:2). Mais leur vie impure ne leur procure ni la paix intérieure ni le contentement. À la suite d’une enquête faite auprès de centaines d’adolescents sur leur comportement sexuel, le rapport disait au sujet des jeunes qui avaient des mœurs sexuelles impures: “Ils ont le sentiment de vivre sans but véritable et de ne connaître aucune satisfaction réelle.” Près de la moitié des jeunes gens interrogés ont exprimé ce sentiment: “En vivant ainsi, je vais gaspiller une grande partie de mes capacités.”
17. Comment ‘l’amour qui vient d’une bonne conscience’ nous aide-t-il à connaître une vie meilleure?
17 Avec le temps, un homme et une femme mariés qui honorent leur mariage se procurent des bienfaits parce qu’ils se témoignent un “amour qui vient d’un cœur pur [et] d’une bonne conscience”. (I Timothée 1:5.) En 1984, une publication sur la famille (The Journal of Marriage and the Family) disait que selon une enquête réalisée auprès de 309 couples mariés depuis peu les relations sexuelles avant le mariage étaient en partie responsables du “peu de contentement que les deux conjoints éprouvent sur le plan conjugal”. Quelle différence avec les personnes chastes! “Quel bonheur de pouvoir s’examiner en sachant que l’on est pur”, déclarait une jeune chrétienne qui est très heureuse en ménage depuis sept années. Une conscience pure, telle est la récompense des jeunes gens qui ‘deviennent un modèle en chasteté’. — I Timothée 4:12.
Une force intérieure
18, 19. a) À quel genre de pressions Timothée devait-il résister? b) Comment Dieu l’a-t-il aidé?
18 Nul doute qu’à Éphèse Timothée a dû résister à maintes pressions extérieures, telles que les tentations que peut offrir une ville opulente et immorale qui exalte ‘le plaisir et les jeux’. Il devait certainement subir aussi des pressions à l’intérieur de lui-même à cause de son manque de confiance apparent et de ses “fréquents ennuis de santé”. (I Timothée 5:23.) Mais Paul lui a fait ce rappel: “Dieu ne nous a pas donné un esprit de lâcheté, mais un esprit de puissance, d’amour et de bon sens.” — II Timothée 1:7.
19 De nombreux jeunes gens de votre âge souhaiteraient bénéficier d’une telle force. Une jeune femme qui a réussi à s’affranchir de la prostitution et de la drogue a déclaré: “Cela n’a été possible que grâce à l’aide de Jéhovah. Il y a des moments où j’éprouve de nouveau les sensations d’autrefois, mais alors je me mets aussitôt à prier. Cette capacité de vaincre ces difficultés est plus exaltante que tout ce que j’ai pu faire d’autre au cours de ma vie.” Il est indiscutable que Dieu est capable de vous ‘remplir de puissance’ et de vous donner la force intérieure nécessaire pour vaincre toutes les pressions et pour prendre de bonnes décisions. — II Timothée 4:17.
20, 21. a) Quels sont quelques-uns des bienfaits que procure la piété? b) Quelle question examinerons-nous dans l’article suivant?
20 Ainsi donc, la piété procure quantité de bienfaits. Votre “mode de vie” a un but qui surpasse de loin tous les objectifs de ceux qui n’aspirent qu’à réussir dans le domaine matériel (II Timothée 3:10). Un jeune chrétien qui a renoncé à des études universitaires pour devenir un évangélisateur à plein temps s’est exclamé: “Je poursuis la plus belle carrière que l’on puisse désirer, laquelle consiste à enseigner la bonne nouvelle et à aider d’autres personnes à connaître notre Père aimant. Quant aux ‘primes’, notamment une meilleure personnalité, elles sont supérieures à tout ce qu’on aurait pu m’offrir. Ajoutez à cela la récompense: la vie éternelle dans le Paradis, affranchi de toute peine. Alors, pourrait-on souhaiter meilleure vie que celle-là?”
21 “Mais, direz-vous peut-être, comment puis-je cultiver ce genre de piété?” Eh bien, l’article suivant vous aidera à répondre à cette question.
[Notes]
a Dans le livre Comment traiter la dépression des adolescents (angl.), Kathleen McCoy écrit: “Un certain nombre de spécialistes de la croissance et de la conduite des adolescents voient dans la dépression une cause importante des problèmes graves des adolescents, tels que l’absentéisme et les ennuis à l’école, la toxicomanie, l’alcoolisme, les dérèglements sexuels, la grossesse, les fugues et le suicide.”
b Alors que dans toutes les autres tranches d’âge le nombre des admissions dans les hôpitaux psychiatriques des États-Unis a diminué au cours d’une période de 13 ans, ce nombre a augmenté de 19 pour cent dans la tranche des 15 à 24 ans, et de 158 pour cent chez les jeunes de moins de 15 ans.
c Selon le Lexique (angl.) d’Edward Robinson, le mot grec eusébéïa est “le sentiment spontané venant du cœur [qui porte vers Dieu]”. Dans ses Remarques sur les synonymes du Nouveau Testament (angl.), J. Tittmann dit: “[La piété] désigne la vénération pour la Divinité, vénération qui se manifeste par des actes, (...) mais [la crainte pieuse] est la disposition d’esprit qui incite à craindre et à éviter de faire tout ce qui est contraire à la droiture.”
d Vous pouvez lire, dans La Tour de Garde du 1er juin 1978, le récit de la vie de Shozo Mima sous le titre “J’ai trouvé mieux que la richesse”.
Vous en souvenez-vous?
◻ Pourquoi des objectifs purement matériels n’ont-ils qu’une valeur limitée?
◻ Quelle est la plus belle perspective qui s’offre à vous?
◻ Qu’est-ce que la piété vous apporte, ce qui peut vous aider à connaître une vie meilleure?
[Illustration, page 12]
Qu’est-ce qui vous rendra vraiment heureux?
[Illustration, page 14]
Timothée fut instruit avec pour objectif la piété. Sa vie fut ainsi autrement plus vertueuse que celle des Éphésiens impurs.