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La fidélité à l’alliance matrimoniale incite Dieu à la miséricordeLa Tour de Garde 1976 | 1er juillet
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(Josué 7:10-26.) Par conséquent, en promettant de donner à son épouse la “basse plaine d’Achor comme entrée donnant accès à l’espérance”, Jéhovah entendait par là qu’elle retournerait dans son pays, là où se trouvait cette basse plaine.
26. Quelle fut la réaction de l’épouse “au désert”, et comment Jéhovah a-t-il prouvé qu’il avait renouvelé ses relations matrimoniales avec Israël ?
26 Quelle fut la réaction du reste repentant d’Israël, l’épouse de Jéhovah ? A-t-il ‘répondu’ ? A-t-il réagi avec gratitude devant l’attitude persuasive de Jéhovah qui ‘parla à son cœur’ ? L’Histoire nous permet de répondre par l’affirmative. Longtemps auparavant, “aux jours de sa jeunesse”, la nation d’Israël avait accepté l’offre de Jéhovah qui lui proposait de devenir son épouse en concluant avec elle l’alliance de la Loi de Moïse. Pareillement, le reste repentant, alors à Babylone, accepta de renouer les liens matrimoniaux qui unissaient Israël à Jéhovah, son Époux céleste. Comme preuve que ces liens étaient renoués, Jéhovah se servit de Cyrus le Grand, Messie typique, pour faire revenir le reste des Israélites fidèles dans le pays de Juda et à Jérusalem.
27. Quelle fut désormais l’attitude du reste envers le culte de Baal, et que montrait Israël en appelant Jéhovah “Mon époux” ?
27 Le peuple de Jéhovah, uni à lui par une alliance, ne se tourna plus jamais vers le culte de Baal ni vers d’autres cultes idolâtriques. Après leur retour, les membres de ce reste rétablirent avec zèle le culte de l’Époux céleste d’Israël, son Dieu, dans le pays qu’il lui avait donné. Ils éprouvèrent la même gratitude profonde que leurs ancêtres après que Jéhovah les eut délivrés de l’Égypte et de ses armées. Ils avaient l’impression d’être unis encore plus étroitement et plus intimement à leur Époux céleste. Comme une femme, Israël s’adressa alors spontanément à Jéhovah en usant d’un langage plus intime et plus affectueux. Spirituellement parlant, cette “femme”, Israël, appela Jéhovah “Mon époux” plutôt que “Mon propriétaire”. Elle ne désirait plus se sentir seulement ‘possédée’, comme si elle n’était que la possession d’un propriétaire d’esclaves. Elle désirait plutôt être “une aide” pour Dieu, tout comme Ève, la première femme, devait l’être pour Adam, son mari (Gen. 2:19-24). Voilà qui était merveilleux !
28. Quel parallèle peut-on établir entre ces événements passés et ceux dont nous sommes témoins aujourd’hui ?
28 On peut établir un parallèle entre ces événements et ceux, extraordinaires, dont nous sommes témoins au vingtième siècle. Aujourd’hui encore, la miséricorde de Jéhovah et sa fidélité à son alliance matrimoniale spirituelle ont des effets merveilleux. Oui, vraiment, heureux ceux qui sont aujourd’hui l’objet de la miséricorde de Jéhovah !
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Réconciliation grâce à la miséricorde de Dieu avant Har-MaguédonLa Tour de Garde 1976 | 1er juillet
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Réconciliation grâce à la miséricorde de Dieu avant Har-Maguédon
1. Comment peut-on illustrer les effets de la réconciliation du reste des Israélites spirituels avec Jéhovah depuis 1919 ?
QUAND un homme se montre miséricordieux et reprend chez lui sa femme légitime qui l’avait quitté, quelle attitude celle-ci devrait-elle adopter ? Si, en plus, son mari lui donne des marques d’amour, comment devrait-elle alors le considérer ? Quels sentiments éprouvera-t-elle ? Ne l’estimera-t-elle pas davantage en raison de la faveur imméritée
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