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Jéhovah, un Dieu d’amour et de patienceLa Tour de Garde 1965 | 15 décembre
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pouvons nous permettre d’adopter une attitude hostile et renfrognée !
24, 25. a) En quel sens la porte est-elle toujours ouverte pour les membres de cette classe ? b) Quelles questions attendent une réponse ?
24 Bien que Jésus termine sa comparaison alors que le fils aîné se trouve en dehors de la maison, ce n’est pas une raison pour en déduire qu’aucun membre de cette classe ne répondra jamais à l’appel lancé par Jéhovah. La porte est toujours ouverte. N’oubliez pas que ce sont les scribes et les Pharisiens qui furent à l’origine de cette comparaison. Leur attitude de supériorité à l’égard des pécheurs et des percepteurs d’impôts était semblable à celle du fils aîné envers son frère. Toutefois, un grand nombre de ces conducteurs religieux revinrent plus tard à la raison. En fait, le récit biblique révèle qu’une “grande foule de prêtres obéissait à la foi”. — Actes 6:7.
25 Jéhovah exerce-t-il toujours ses qualités d’amour et de patience ? Depuis 1935, y a-t-il eu des faits prouvant cela ? Comment tirerons-nous profit des erreurs commises par les deux fils, et qu’apprendrons-nous de l’attitude du père telle qu’elle fut si bien décrite par Jésus ? Naturellement, nous nous intéressons vivement à la situation présente, aussi discuterons-nous de ces questions dans l’article suivant.
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Tournons-nous vers JéhovahLa Tour de Garde 1965 | 15 décembre
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Tournons-nous vers Jéhovah
1. a) Qu’est-ce qui faisait resplendir le visage de Moïse, et quels en furent les résultats ? b) Comment Paul expliqua-t-il la cause réelle du problème ?
“QUAND on se tourne vers Jéhovah, le voile est ôté.” Voilà ce qu’écrivit l’apôtre Paul à propos de la gloire de la nouvelle alliance, qui surpasse celle de l’alliance de la loi faite avec Israël par l’intermédiaire du médiateur Moïse. Quand Moïse descendit du mont Sinaï avec les deux tables du Témoignage, son visage resplendissait, si bien que le peuple était effrayé et n’osait l’approcher. Mais, selon Paul, la difficulté venait des Israélites eux-mêmes. Ils n’avaient pas une bonne attitude de cœur et d’esprit. “Leurs facultés mentales se sont émoussées. (...) En fait, jusqu’à ce jour, chaque fois que Moïse est lu, un voile est posé sur leurs cœurs.” Leur cœur et leur esprit n’étaient pas tournés vers Jéhovah dans le but de le servir par amour. Au contraire, ils endurcirent leur cœur en faisant leur propre volonté ; c’est ce que leur dit Jéhovah en ces termes : “Toujours ils s’égarent dans leur cœur, et eux-mêmes ne sont pas parvenus à connaître mes voies.” — II Cor. 3:12-16 ; Ex. 34:29-35 ; Héb. 3:10.
2. a) À ce sujet, le monde peut-il se vanter par rapport à Israël ? b) Comment la cause profonde du problème a-t-elle été rendue manifeste ?
2 Parlant du monde en général, Paul poursuit dans le même ordre d’idée et dit que “la bonne nouvelle que nous déclarons est en fait voilée, (...) chez ceux qui périssent, chez qui le dieu de ce système de choses a aveuglé l’esprit des incroyants, afin que l’éclat de la glorieuse bonne nouvelle sur le Christ, (...) ne les atteigne pas”. (II Cor. 4:3, 4.) Ésaïe déclara également : “Nous étions tous errants comme
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