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BoulangerAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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d’une miche de pain “de la rue des boulangers”, tant qu’il y eut des provisions (Jér. 37:21). Les commerçants boulangers occupaient donc une rue particulière à Jérusalem. Des années plus tard, lors de la reconstruction de la muraille de Jérusalem sous la surveillance de Néhémie, on répara également la “Tour des Fours à Pain”. (Néh. 3:11; 12:38.) On ne sait pas avec certitude comment cette tour en vint à s’appeler ainsi, mais il est possible qu’on lui ait donné ce nom insolite parce que c’est là que se trouvaient les fours des boulangers professionnels.
Aujourd’hui, en Orient, en général ce n’est pas le boulanger professionnel qui prépare la pâte. Chacun la fait chez soi puis l’apporte au boulanger public. Il n’est donc pas rare de voir une garçon boulanger circuler dans les rues en portant en équilibre sur la tête des plateaux de pains tout juste sortis du four. Il les livre à domicile. Dans les temps bibliques aussi, il était sans doute courant que le boulanger professionnel cuise la pâte à pain (ou même la viande et les légumes) qu’on lui apportait. Après avoir retiré le pain ou les gâteaux de son four à l’aide d’une longue pelle, le boulanger les huilait parfois. Il semble que le proverbe arabe fait allusion à l’excellente qualité du pain cuit dans les grands fours des boulangers professionnels de l’Orient quand il dit: “Envoie ton pain au four du boulanger, même si ce dernier doit en manger la moitié.”
Le boulanger du roi était manifestement un personnage assez important dans l’Égypte antique. Dans la vallée des rois de Thèbes, une peinture murale de la tombe de Ramsès III représente une boulangerie royale égyptienne en plein travail. On y voit les différentes étapes de la fabrication du pain, telles que le pétrissage de la pâte avec les pieds, la division de la pâte en pains et la préparation du four.
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BouquetinAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOUQUETIN
Voir CHÈVRE.
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BourseAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOURSE
Petit sac porté par les hommes comme par les femmes, et destiné à recevoir de l’or, de l’argent, du cuivre, des pièces de monnaie ou d’autres objets. Les femmes portaient parfois, en guise d’ornement, des bourses ou des sacs à mains qui pouvaient être de forme allongée et arrondie (És. 3:16, 22; 46:6; Mat. 10:9). Les premières bourses étaient en cuir, en étoffe ou tressées avec des joncs. Comme elles ressemblaient à de petits sacs, on les fermait avec une lanière de cuir ou une cordelette.
Les anciens utilisaient aussi la “bourse de ceinture” (litt. gr. zônê, “ceinture” [Mat. 10:9; Marc 6:8]), peut-être une sorte de ceinture dans laquelle on pouvait enfouir des pièces de monnaie. Elle pouvait comporter un creux dans lequel on déposait l’argent, ou bien, si elle était faite d’une pièce d’étoffe repliée plusieurs fois, on pouvait mettre l’argent dans ses plis.
Quand il envoya prêcher les 70 disciples, Jésus leur dit de ne pas prendre de bourses, montrant par là qu’ils devaient compter sur Jéhovah pour leurs besoins et que les gens s’intéresseraient à leur message leur offriraient une certaine aide matérielle en échange (Luc 10:1, 4, 7). Mais peu avant sa mort, Jésus conseilla cette fois à ses disciples de prendre une bourse. Il savait que ceux-ci seraient bientôt dispersés et persécutés. Même ceux qui seraient favorables à leur message auraient peut-être peur de les aider. Il fallait donc que les disciples de Jésus soient prêts à pourvoir eux-mêmes à leurs besoins matériels. — Luc 22:35, 36.
Soulignant la grande valeur des choses spirituelles, Jésus exhorta ses disciples à se faire des bourses qui ne s’usent pas en acquérant un trésor au ciel. — Luc 12:33.
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BoutonAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOUTON
Partie ornementale du porte-lampes utilisé dans le tabernacle et désignée par le mot hébreu Kaphtôr (ou kaphtor); probablement une saillie de forme arrondie (Ex. 25:31-36; 37:17-22). Les “boutons” alternaient avec les fleurs sur la tige principale et sur chacune des six branches secondaires du porte-lampes. Il semble que plusieurs de ces “boutons” formaient comme un renflement, une protubérance servant de support aux branches. On peut observer ces “boutons” sur le porte-lampes qui est représenté sur l’arc de Titus (à Rome). On y voit des soldats romains portant le butin qu’ils ont pris dans le temple de Jérusalem détruit en 70.
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BozcathAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOZCATH
{Article non traduit.}
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BozezAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOZEZ
Voir MICMASCH.
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BozrahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BOZRAH
(place forte).
1. Importante ville d’Édom, pays du père de Jobab, roi édomite qui régna au deuxième millénaire avant notre ère (Gen. 36:31, 33; I Chron. 1:44). Son importance ressort du fait que les prophètes inspirés Ésaïe, Jérémie et Amos l’ont citée pour représenter Édom dans son ensemble, nation condamnée à la désolation. — És. 34:5, 6; 63:1-4; Jér. 49:12, 13, 17, 22; Amos 1:11, 12.
Le nom de Bozrah indique que ce fut une ville fortifiée. Elle est identifiée à la moderne Buseira, qui se situe à 39 kilomètres au sud-est de l’extrémité méridionale de la mer Morte, sur la route principale menant à Pétra. Bozrah occupait donc une position assez centrale dans le royaume édomite et commandait l’accès aux mines de cuivre de l’Arabah.
2. Dans sa prophétie contre Moab, Jérémie (48:24) cite Bozrah parmi les villes “du pays de Moab”. Elle est mentionnée avec d’autres villes du plateau ou de “la terre du plat pays [héb. mîshôr]” (v. 48:21), et l’utilisation de ce même mot hébreu en rapport avec Bézer (Deut. 4:43) a amené certains biblistes à les considérer comme étant un seul et même lieu.
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BraceletAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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BRACELET
Ornement en forme de cercle qui se portait au poignet ou au-dessus du coude; il pouvait s’agir d’un anneau formant un cercle complet ou d’un anneau comportant une ouverture ou un fermoir. Dans la catégorie du bracelet on peut ranger les rubans en forme d’anneau qui se portent au-dessus du coude. Dans les temps anciens, cette parure était portée aussi bien par les hommes que
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